Ne vous fiez pas aux apparences (avec MissBill)

l'enquête de Tom avance!!...ou recule peut-être XD

cette Lena --'


et waouh que de tendresse, un très beau moment, reste plus qu'à se débarasser de Karl hihihi

suite c'est ton tour ma rivale jtm fort

Paola était sur un petit nuage, c'était une soirée de rêve qu'elle venait de passer, elle se croyait dans un rêve. Michael était si prévenait et attentioné, personne n'avait jamais connus cela auparavent. Il était si tendre. Elle ferma les siens, et elle le sentait a nouveau l'embrasser, c'était une bien douce sensation. Elle aurait aimer que ca ne s'arrête pas. Elle se sentait si bien dans ses bras, elle s'y sentait en sécurité. Elle se sentait a nouveau femme, ca faisait si longtemps que ca n'était plus arriver. Elle passa devant un miroir et se regarda, elle se trouvait belle. Elle réfléchissait a ce qu'elle allait mettre pour lui plaire, comment coiffer ses cheveux, comment se maquiller.....
Elle se sentait comme une adolescente qui est entrain de tomber amoureuxse, elle était sur un nuage. Elle avait hâte de le revoir. Mais devait faire attention a Karl, il ne devait rien remarquer sinon......
Et puis elle devait se concentrer sur le procés, d'ici quelques jours, il aurais lieu, et elle devait être iiréprochable, mais elle n'arrivait pas a se concentrer, il occupait toutes ses pensées.

Pendant ce temps Tom intérogeait Harris Sullivan, il y avait des détails troublant.
Tom: vous n'avez rien a dire....
Le suspect en question avait décider de se murer dans le silence, il ne répondait pas, Tom essayait des l'intimider, mais rien n'y faisait.
Tom: vous êtes en très mauvaises postures. tout vous accuses
Il guettait la moindre de ses émotions, le moindre signe qui pourrait le confondre
Tom: vous habitez très près des lieux des enlèvements... vous avez forcèment vus quelques chose a moins que ( le fixe) que c'est vous qui avait tout fait
Rien et toujours rien
Tom: vous leur faites quoi a ses filles....
Harris ( voix a peine audible): rien
Tom ( le regarde soupçonneux): vous les séquestrait.... vous les observait..... vous qui avait jamais eu une fille pour vous
Harris le regarde, il commence a défier Tom du regard
Tom: un homme a des besoins... ( le regarde) c'est pour ca que vous les enlever pour satisfaire ses besoins
Harris (cris): non !!!!
Tom avait réussis a toucher un point sensible, est-ce que cela voulait dire qu'il allait passer au aveux, ou jouait-il la comédie....
Tom: qu'est-ce que vous leurs faites
Harris: rien
Tom: vous savez que comme ca, vous vous faites une place direct en prison
Mais Harris se mua a nouveau dans le silence. Tom le fit ramener dans sa cellule. Tom etait sceptique, il n'avançait pas. Il était persuader qu'il avait avoir quelque chose dans cette affaire, mais a quel point etait-il impliquer......

Bill rentre alors et s'installe a son bureau, il voit son frère perplexe.
Bill: alors?
Tom: rien... ce mec se mur dans le silence
Bill: il est peut être innocent
Tom: on a trouver des objets des filles disparues, chez lui
Bill ( le regarde): bizard
Tom: il a le profil parfait
Bill ( le regarde): mais....
Tom:on me l amène sur un plateau
Bill: tu dois explorer toutes les pistes
Tom: et comme par hasard, les coups de fils ont arrêter
Bill: ca c'est étrange
Tom: bon, une chose et sur c'est que il a avoir quelque chose la dedans, il a fait quelque chose mais quoi
Bill: je t'invite a manger, j'ai faim depuis ce matin
Tom: non merci
Bill: profite, c'est pas tout les jours que j'invite
Tom: je sais ( rit) ramène moi un truc au poulet et du café
Bill: okay
Tom: et ton affaire
Bill: dans deux jours c'est le procés
Tom ( rit): comme t'es hyper détendus
Bill ( rit): je suis l'homme calme par excellence
Il partit laissant son frère travailler sur ce dossier, il voulait avoir le fin mot de ce qui se passait.

Bill avait besoin de prendre une pause, il n'avait pas encore déjeuner il était 14h et il mourrait de faim, il décida donc de se rendre a son restaurant favoris ou il avait ses habitudes. Et quand il veut s'installe a une table, il voit Cynthia entrain de déjeuner, un sourire malin apparaît sur son visage, il ne savait pas pourquoi cette femme le rendait fou, il n'avait jamais vécut une relation aussi intense baser uniquement sur le physique mais il avait bien l'intention d'en profiter encore une fois, cette femme l'agacait au plus haut point mais il ne pouvait pas s'empêcher de passer de bon moments avec elle, et il avait justement une en tête...

Bill ( la regarde): regarder qui voilà ( s'asseoit) je me permet
Cynthia: je vais finir par croire que vous pouvez plus vous passer de moi
Bill: ca vous ferez trop plaisir ( lui pique une frite)
Cynthia: vous êtes sans gênes ma parole
Bill: merci du compliment
Ils se regardent et tout les deux ne peuvent s'empêcher d'en rire
Cynthia: vous savez a quoi vous me faites penser ( le regarde) a une asperge mal fagoté
Bill: je devrais vous offrir des cours ou on vous apprendrez les bonnes manières
Ils sont exploser de rire tout les deux, toujours a se chercher comme ca. Il prends un papier et griffone quelque chose et lui tends, elle le lit : " rejoignais moi en-bas"
Cynthia: mais...
Il se lève il lui sourit et lui fais un clin d'oeil, et se dirige vers l'étage inférieur ou se trouvait les toilettes du restaurant.

Quelques minutes plus tard, elle descends et la porte se trouve ouverte et a peine, elle la franchit que elle s'en qu'on l'y attire, qu'on s'empare de ses lèvres avec fougue, l'embrassant de façon enflammer, elle se retrouver maintenant contre le mur froid, elle ne pouvait pas se détacher des lèvres de l'inspecteur, il lui faisait envie. Il ferme la porte pour que personne ne puisse entrer, ils disposaient maintenant de ce vaste endroit rien que pour eux.
Bill ( son visage contre le sien): content que vous soyez venus
Cynthia ( ses yeux dans les siens): vous êtes fou.......... ici
Bill ( mordant tout doucement son cou): et alors, ya personnes.... autant en profiter
Cynthia: mais......
Bill ( pose un doigt sur sa bouche): c'est de votre faute ( se colle contre elle) vous me rendez fou ( la vois sourire) et puis j'ai trop envie de vous faire l'amour
La langue de Bill jouant a son cou
Cynthia ( regard passioné): moi aussi j'ai envie de vous inspecteur........

Spoiler:

Il lui paya ensuite un café, ils ne disait rien mais il ne put s'empêcher de lui faire du pied sous la table.
Mais aucun des deux n'avaient remarquer que quelqu'un les observait. Elle les avait vut descendre, elle avait attendus quelques minutes et, elle était descendus et les avaient entendus faire l'amour, là, dans les toilettes de ce restaurant. Et là, elle voyant Bill avec elle, la regarder. Elle était en colère. Comment pouvait-il lui faire ça, comment pouvait-il faire l'amour a une autre femme que elle et apparament il avait aimer. Elle devait se contrôler, mais elle le voulait tellement. Elle devait savoir qui était cette fille et pourquoi il s'interesse a elle, elle s'était promis d'avoir Bill que pour elle.

Au moment ou tout les trois était dans ce restaurant, une autre disparition venait d'avoir lieu...........

p*tain le lemon

tu m'as tuée pousette
tu m'as achevée

comment survivre à ça ???????????????????

my god

tomate tu m'as encore tué

youpi Lena a la rage ouais
niahaha

suite maud

aller quitte ton foutu Karl enfui toi pendant qu'il est pas là!!!!!!

je sais pas pk mais je sens que ce mec est innocent....c'est un piège



c'est chaud entre ces deux là
ce lemon waouh....

je sens que cette Lena va causer des problèmes....



je demande une suite!!! c'est a toi miss Joker

Une foule considérable de curieux s'était rassemblée devant le tribunal. Bill et ses hommes attendaient non loin de l'endroit où devait arriver la voiture de Michael, afin de l'encadrer pour qu'il passe sans encombre. La mobilisation des fans ne s'était pas faîte attendre. Ils étaient venus des quatre coins des USA et même du monde pour certains afin de soutenir leur idole. Bill regarda avec un léger sourire les innombrables pancartes et banderoles sur lesquelles était écrit "On t'aime, Michael". Il avait des fans formidables! Bill lui même s'était rangé de leur côté et était à présent profondément convaincu que Michael était innocent. Seulement voilà, il devait faire son boulot ... Un peu plus loin, il distingua la silhouette de Cynthia, qui ne l'avait pas encore vu. Il s'approcha d'elle et posa sa main sur son épaule. La jeune femme sursauta et essaya de sourire en reconnaissant l'inspecteur. Mais Bill n'était pas dupe. Elle était morte de trouille. Michael était innocent mais ces pourritures étaient tellement corrompues qu'ils étaient capables de le faire enfermer pour quelque chose qu'il n'avait pas fait.
"-Vous vous sentez bien? s'inquiéta Bill. Vous êtes toute pâle.
-ça va aller, je vous remercie", répondit la jeune femme d'une voix éteinte.
Elle semblait avoir perdu cette ironie et cet humour un peu grinçant qui la caractérisaient.
"-Tout repose sur Maître Di Marco, dit Bill.
-Paola est une excellente avocate. Elle défendra Michael jusqu'au bout, je ne m'inquiète pas pour ça, dit-elle. Mais j'ai peur que ces pourritures trouvent un moyen de le briser. Il est déjà tellement fragile. Je me sens si impuissante!
-Cynthia, ça ne dépend pas de vous. Arrêtez de vous torturer l'esprit. Vous avez fait ce que vous pouviez. Vous l'avez soutenu et vous continuez de le faire, vous lui avez trouvé une alliée de premier choix. Celà ne signifie pas rien. Vous avez beau être la femme la plus insupportable que je connaisse, vous avez un bon fond."
Bill parvint à la faire sourire.
"-Je suis insupportable et je le revendique, dit-elle. Et vous, dans le genre casse-pied, vous n'êtes pas mal non plus.
-Et pas seulement dans ce genre là, à en croire ce qui s'est passé au restaurant, lui glissa-t-il le regard étincelant.
-Oh, tout de suite! Ce que vous êtes pervers!
-Ah bah dites donc, ça n'avait pas l'air de vous déplaire.
-Je ne vois pas de quoi vous voulez parler", le taquina-t-elle.

Bill allait répondre mais enfin, une voiture noire se gara à quelques mètres. En sortirent des gardes du corps, Michael, ses parents et Paola. Bill et Cynthia se dirigèrent vers eux. Le coeur de Bill se serra en découvrant le visage blafard et crispé de Michael. Dire qu'il ne pensait pas que c'était possible pour lui d'être encore plus pâle qu'il ne l'était déjà! On dira ce qu'on voudra. Même quand on est innocent, un procès n'a rien d'amusant. Pris d'un élan de compassion, Bill tira une barre de céréales de sa poche et la tendit à Michael.
"-Tenez, dit-il. Mangez quelque chose.
-Mais ...
-Pas de mais. Vous allez tournez de l'oeil."
Michael finit par accepter avec un sourire timide. Bien que très réservée en public, Paola osa une caresse timide sur le bras de Michael. Cynthia tiqua légèrement. Le regard que Paola adressait à Michael ne trompait pas. Y aurait-il anguille sous roche entre ces deux là? songea-t-elle avec un léger sourire. Michael sourit légèrement à la jeune femme et passa affectueusement sa main sur son épaule. Enfin, ils se dirigèrent vers le tribunal. Bill et ses hommes les encadrèrent, empêchant tant bien que mal les journalistes de les importuner.
"-Monsieur Jackson, qu'avez-vous à dire à vos accusateurs?
-Comment se fait-il que vous vous fassiez arrêter deux fois en dix ans pour le même motif?
-On raconte qu'il s'agit d'un complot...
-ça suffit! trancha Bill. Foutez-lui la paix! On arrête maintenant."
Michael adressa un regard reconnaissant à l'inspecteur. Une fois devant le tribunal, Paola se retourna vers tous les fans qui sifflaient, encourageaient leur idole, lui criaient de se battre.
"-Un petit sourire?" murmura-t-elle.
Michael se tourna vers la foule et leur fit signe avec un sourire timide mais sincère. Les fans répondirent aussitôt en applaudissant et en sifflant.

Une fois à l'intérieur, ils passèrent tous au détecteur de métaux. Bill s'approcha de Michael, qui discutait alors avec Cynthia
"-ça va aller, dit-il. Ne vous en faites pas. Je sais que c'est facile à dire mais ... Paola ne vous laissera pas tomber.
-Je le sais, répondit Michael. C'est ... c'est quelqu'un de bien.
-Et tenace! J'ai déjà eu affaire à elle, je peux vous dire qu'elle m'en a fait baver."
Un petit rire échappa à Michael.
"-Qu'est ce que vous dîtes encore, comme méchancetés? intervint Paola en se joignant à eux.
-Je disais simplement que vous êtiez tenace et qu'après Cynthia, vous êtes la femme la plus chiante qui soit.
-Mais je conserve quand ma première place, que je revendique! intervint Cynthia.
-En d'autres termes, il dit que vous faîtes bien votre boulot.", dit Michael.
Paola sourit, même si le vouvoiement employé par son compagnon lui fit mal au coeur. Mais dans un tribunal, cette soudaine prise de distance était obligatoire. Ils n'étaient plus un couple; mais un accusé et son avocat. Et aussi, ils devaient cacher leur relation au public, du moins pour l'instant.
"-Je peux vous parler une minute? demanda-t-elle à Michael.
-Bien sûr."

Bill et Cynthia échangèrent un regard complice en les regardant s'éloigner.
"-Est ce que vous pensez à ce que je pense? demanda Cynthia.
-ça dépend. A quoi pensez vous que j'étais en train de penser?
-Je pense qu'il y a anguille sous roche du côté de Paola et de Michael.
-Incroyable, vous avez lu dans mes pensées, la taquina Bill. Mais ... Maître Di Marco est mariée, non?
-Oui, c'est ça qui m'inquiète. Je vous avouerai que je n'ai jamais pu encadrer son mari. C'est ... un petit peu un con. Il en a rien à fiche d'elle. Il l'a trompée je ne sais combien de fois, n'empêche qu'elle reste. J'espère sincèrement qu'elle le quittera pour Michael.
-ça, c'est à elle de gérer, répondit l'inspecteur. Nous n'avons pas à nous en mêler. J'espère juste qu'ils seront discrets. Si effectivement ils s'aiment et si les journalistes l'apprennent, ça va faire le tour du monde en moins de vingt-quatre heures!
-C'est sûr, ça la fout mal, répondit Cynthia. Les gens vont penser qu'il y en a un qui manipule l'autre. Et aussi, Michael est accusé de pédophilie et il se retrouve avec une femme qui a vingt ans de moins à son bras ... Je vous laisse imaginer le scandale!
-Bon, nous n'en sommes pas sûrs. Ne crions pas avant d'avoir mal, nous n'avons aucune preuve.
-Si vous croyez que les journalistes attendront des preuves pour diffuser ça, vous rêvez, mon p'tit gars."
Bill adressa un regard effaré à la jeune femme.
"-Quoi? dit-elle.
-Vous avez vraiment dit ... mon p'tit gars?"

Une fois un peu à l'écart, Paola réajusta la cravate de son compagnon.
"-Respire, dit-elle. ça va bien se passer. Tu as confiance en moi?
-Oui.
-Ils vont en baver avec moi. Ils vont t'acquitter juste pour plus voir ma tronche."
Michael sourit. Paola approcha son visage du sien et l'embrassa. Michael glissa ses bras autour d'elle et répondit au baiser de sa compagne. Puis, elle mit son visage au creux de son cou et ferma les yeux. Ils restèrent un moment enlacés, sans un mot. Michael déposa des baisers sur le front de sa compagne.
"-Je t'aime, souffla-t-il.
-Je t'aime aussi, répondit-elle en se blottissant contre lui. Je ... je peux dormir avec toi cette nuit?
-Bien sûr. Enfin, si on ne m'a pas fichu dans une cellule d'ici là.
-Mon amour, dis pas ça", murmura-t-elle.
Michael prit le visage de Paola dans ses mains et déposa plusieurs baisers sur ses lèvres avant de l'embrasser avec passion. Paola sentit qu'il tremblait légèrement sous l'effet du stress. Elle passa doucement ses doigts dans ses cheveux, sans interrompre leur baiser. Michael se détendit un peu. Les mains de Paola étaient si calmes, qu'elles lui redonnaient confiance.

Enfin, on les appela pour entrer dans la salle d'audience. Michael jeta un regard angoissé à sa belle. Cette dernière effleura discrètement mais tendrement sa main et lui sourit. Ils entrèrent dans la salle et les portes se refermèrent.
"-ça y est, c'est parti, dit Cynthia à Bill. Tout repose sur elle, maintenant. J'espère que ça va aller.
-Elle va le sortir de là, je m'inquiète pas trop pour ça."
Une larme coula sur la joue de Cynthia, qu'elle s'empressa d'essuyer. Bill passa son bras autour de ses épaules pour la réconforter.

j'espère que tout va bien se passer, le pauvre Michael il est mort de trouille


je sens que Cyn et Bill se rapproche lentement

et l'amour entre Michael et Paola est si beau, il faut qu'elle quitte Karl

je demande une suite à toi ma rivale

le pauvre, Michael est tellement stressé
mais ça va bien se passer =) Paola est là est va pas lacher le morceau =D
et Bill et cyn non plus vont pas laisser Michael =D il est pas seul

il se rapproche bien ces deux là

et Bill effaré ptdr:
vous avez dit... mon ptit gars?
ptdr XD

suite stp ma tomate

oui paola doit quitter son imbécile de mari

j'adore bill et cynthia

je m'occupe de la suite
quand je me serait remis de ma gastro

dsl les filles

tkt ma chérie
ta santé passe avant tout

Au tribunal, une personne c'était déguiser pour suivre le procés, c'était le seul moyen pour suivre et espionner l'inspecteur Kaulitz. Lena avait totalement changer d'apparence, perruque, maquillage grossier, vêtement large, il était impossible qu'on la reconnaît, elle était venue pour surveiller Bill mais surtout celle qui l'accompagnait. Quand elle vit qu'il posa sa main autour de ses épaules, elle eu du mal a se contenir, intérieurement ca chauffait....
" J'y crois pas de ce que je vois.....pourquoi il fait ca... fait attention Bill, je me suis renseigner sur elle... elle dirige le refuge de "la deuxiéme chance" tu fais dans les bonnes causes maintenant... c'est sur que quand on voit sa tête je comprends que tu as pitié, non mais regarde cette fille, elle ressemble a rien... mais hors de question que ca aille plus loin... je ne partage pas... j'en ai appris des choses sur elle: la mort de ses parents, que c'est Jackson qui la receuillis et élever, je sais c'est moindre secrets, je sais tout d'elle, je sais c'est moindre faiblesse, je paris que tu en sait pas autant sur elle Bill...., ca va être facile de jouer avec elle... fais attention Bill...je t'ai a l'oeil..."
Cela faisait plusieurs jours qu'elle le suivait et elle ne voulait pas s'arrêter
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Pendant ce temps Tom était plus qu'embêter, il en était au point mort de son enquête, de plus pendant la garde a vue de Harris Sulivan, une autre disparition venait d'avoir lieu, au même endroit, la nouvelle victime s'appelait Hayley Blair. C'était un échec, ca voulait dire que tout ce temps il faisait fausse route et le vrai coupable était dans la nature et devait bien rire de lui. Mais pourquoi Sulivan avait des objets des victimes chez lui, c'était la le hic. Il savait forcément quelques chose, il est forcément au courant de quelques chose, ou alors il connait l'identité du coupable et il est de mèche avec lui, il était persuader que il avait quelque chose a voir de prés ou de loin avec le coupable.....

Tom: J'ai encore une question a vous poser
H.Sulivan: vous avez rien contre moi, vous devez me laissez partir
Tout les deux se défis du regard, Tom, n'est pas prés a céder si vite
Tom: Théoriquement votre garde a vue ne finis que dans 2h
H.Sulivan: et ( le regard suspicieux):
Tom ( le regard franc): on a des trouver des affaires des victimes chez vous?
H.Sulivan: je..
Tom: comment ca se fait ( le regard intimidant)
Mais voyant qu'il ne dit toujours riens, il décide de le heurter au faits, il sort de son tiroir, les plastiques contenant les objets trouver chez lui, il le voit faire de grand yeux.
H.Sulivan: mais.....
Ca y est Tom venait peut-être de trouver un point sensible
Tom: vous m'expliquer ( le ton impatient)
H.Sulivan: je les ai trouver
Tom: voyez vous ca... et comment
H.Sulivan: je prends cette route tout les jours pour travailler et je les ais trouver
Tom ( le fixe): et vous avez habitude de ramasser tout ce que vous trouvez ( prends un carnet d'adresse) a quoi ca vous sert ( puis le foulard) pour sentir l'odeur..
Il essaye de le provoquer un maximum
Tom ( tient un portefeuille): c'est pour rendre visite ( vois des photos avec) a moins ( le fixe) que c'est pour votre collection personnelle
H.Sulivan ( énerver): taisez-vous!!
Tom ( hausse le ton): on baisse le ton avec moi okay ( lui montre qui c'est lui qui commande)
H.Sulivan: les pauvres elles ont rien demander, elles sont si gentilles
Tom ( donne un coup sur la table): je le savais que vous les connaissiez
H.Sulivan: oui...........
Tom: vous avez a voir quelque chose la-dedans....
Restait plus qu'a Tom de savoir a quel point il était impliquer.....
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Quand elle sentit le bras de l'inspecteur se poser autour de ses épaules, elle eût une sensation bizzard, surtout venant d'une personne pour lui qui croyait mieu que tout le monde, c'est surtout cet air suffisant qu'il arborait toujours sur son visage en permanence qui l'énervait, mais elle devait bien reconnaître que a cet instant, et surtout dans cette situation, que ca lui faisait du bien, une épaule sur qui se reposer.
Bill ( rit): j'ai crus que vous alliez m'attaquer a coup de griffes
Cynthia ( rit aussi): c'est que vous avez peur ma parole
Bill: seulement des personnes enragées a la langue de vipère bien pendus
Cynthia: j'avoue que que ca me ressemble bien ca
Bill: vous voyez ( tout fière)
Cynthia: je préfére être une langue de vipère, qu'une asperge mal fagoter
Bill se contente de rire, personne ne lui avait jamais sortie une chose pareil
Cynthia: en tout cas, ca prouve au moins que vous avez peur de quelque chose
Bill: de plus de chose que vous ne pouvez l'imaginez
Le bras de Bill n'avait pas bouger des épaules de la jeune femme, comme si cela le rassurait aussi...
___

Le procés venait de commencer, le juge venait de rappeler les faits qui sont reprocher a Michael Jackson.
Juge: vous avez conscience des accusations contre vous Mr. Jackson
Michael: oui
Juge: vous êtes conscient de la peine encourus
Michael: oui ( la gorge serrer)
Juge: vous plaidez.....
Michael: non coupable
Là il sentis les regards des jurés et de toutes les personnes présentes sur lui, comme si il s'attendaient a le voir plaider coupable, il se sentait mal

La partie adverse ne tarda pas a rentrer dans le vis du sujet en faisant témoigner les enfants, mais Paola put se rendre compte que le dossier était bien maigre, a part les paroles des enfants il n'y avait rien qui plaidait la cause de la pédophilie. La partie adverse voulait attendrir les jurés, en faisait dire ce qu'il voulaient au enfants, elle savait bien que a cet âge là, c'est facile d'influencer des enfants. Aprés c'était autour d'ex employés de maisons de témoigner comme quoi ce ne serait pas la première fois qu'il aurait ce genre de comportements, mais que personne n'avait oser rien dire. Paola décide de s'en prendre a la dernière nurse qui s'occupait des enfants de Michael.
Paola: vous avez travaillez combien de temps pour lui?
Kimmy: 5 ans
Paola: jusqu'a quand?
Kimmy: il y a 1 semaine
Paola ( la fixe): et pourquoi être partie
Kimmy: j'ai trouver une meilleure place
Paola ( la regarde féroce): je dirais plutôt que vous êtes partie sans plus jamais revenir je me trompe ( la nurse ose rien rien dire) dites moi qui est votre nouvelle employeur ( elle ose rien dire) je vous en prie parler
Kimmy: Mme Vicky bardwell
Paola: je tiens a rappeler que Mme Bardwell est la soeur de mon chèr confrère ( montre l'avocat de la défense) Mr Lionel Bardwell
On put entendre des soupirs de stupéfactions dans la salle...... Les jurés commencaient a se poser des questions, au point ou le juge décide de reporter l'audience au lendemain...
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Tom n'avait plus le choix, il était obliger de faire libérer Harris Sulivan, même si il avait de forte présomptions, ce n'était rien de tangibles, il ne pouvait rien prouver. Et pourtant il savait qu'il touchait prés du but. Pourtant il n'avait pas le choix, il fait un dernier briefing avant sa libération, avec ses hommes.
Tom: je veux aucun dérapage.... il faut qu'on le coince
Tom était persuader qu'une fois sortis il allait entrer avec le coupable et il voulait pas rater ca
Tom: les micros?
Officier martin: on les a placer chez lui.. ils sont indétectable... son téléphone est sous écoute
Tom: je veux qu'une fois qu'il sort d'ici on le suis, je veux savoir tout ce qu'il fait, partout ou il va, qui il voit, a qui il parle
Regardaient ses hommes avec un regard décider, il était trés respecter de ses hommes qu'il menait d'une main de maître.
Tom: je ne veux pas qu'on perds sa trace ( les regardent) je compte sur vous
Ses hommes le suivent , Tom allait libérer Harris Sullivan, c'est maintenant que tout aller se jouer....
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Au tribunal la journée c'était écourtée, elle fût trés éprouvante, Bill proposa de ramener Cynthia chez elle mais arriver devant chez Bill..
Cynthia: c'est pas chez moi là
Bill: perspicace ( la regarde qui dit rien) depuis quand vous croyez ce que je dis
Cynthia: un jour vous allez me séquestrer tellement vous pouvez plus vous passer de moi
Bill ( la regarde avec un sourire): quoique... je vous verrais bien menotter a mon radiateur et faire de vous mon joujou
Cynthia ( rit): je suis pas un chien
Bill s'abstient de faire un commentaire, une fois entrer chez lui, Mulan lui fait la fête dans tout les sens du terme, sautant dans tout les sens, cherchant les caresses de son maître...

Il partis a la cuisine lui donner a manger, et par la même occasion préparer des cafés. Mais quand il revient il voit qu'elle c'était endormis dans son salon
Bill: regarder moi ca ( parle a Mulan) je fais quoi je la laisse la
Bill commence a rire, il parlait a son chien
Bill: je fais quoi je la laisse ici ( Mulan lui fais de grand yeux) ou je la couche dans mon lit ( la Mulan lui fais plein de calin) j'ai compris ( regarde son chien) si elle me tue au demain c'est ta faute.
Mulan met une patte devant ses yeux. Bill quand a lui porte la jeune femme jusque dans sa chambre, ou il la couche d'un côté du lit la couvre et la borde. Il se couche a son tour de l'autre côté.

Pendant la nuit, alors qu'elle est toujours endormie, elle se retourne et se retrouve dans les bras de l'inspecteur, c'est ainsi qu'ils se réveillent tout les deux le matin.

ça y est elle a dormi dans le lit de bill
un petit réveil coquin ??

oh lala aller Paola t'es la mailleur tu va sle sauvé ton Michael!!!!!


Tom est un super inspecteur faut l'avouer *-*


un peitt réveil en douceur j'adore elle va être surprise


suite s'il-vous-plait
je vous n'aimes

c'est à toi ma miss Joker

Une fois couchés, Paola se blottit contre Michael, posant sa tête sur son torse. Elle frissonna quand Michael glissa sa main sous son T-shirt pour caresser son dos. Elle ferma les yeux et remonta légèrement pour mettre son visage au creux de son cou, se concentrant toujours sur le contact entre la main de Michael et son dos. Une chaleur bizarre et agréable à la fois se fit sentir dans le creux de ses reins.
"-Pfff... Ils étaient vraiment obligés de reporter cette foutue audience? soupira Michael. Maintenant ça va s'éterniser. Venir tous les jours au tribunal... ça me tente pas.
-Ne t'en fais pas, mon coeur. Demain ça sera terminé. Promis.
-Au fait, je ne t'ai toujours pas payé.
-Oublie ça, murmura-t-elle en l'embrassant dans le cou.
-Mais ...
-Pas de mais. Tu laisses tomber ça."
Michael devina que plus il dirait blanc, plus elle dirait noir. Inutile d'insister pour le moment. Mais je trouverai un moyen de te rembourser, ma petite. Ne rêve pas. Il la serra un peu plus dans ses bras. La jeune femme répondit en l'étreignant à son tour. Cette chaleur dans le creux de ses reins s'était propagée jusque dans le bas de son ventre, se répercutant dans chacune de ses cellules. C'était un fait, elle avait envie de lui. Une petite voix ne cessait de lui dire qu'elle était mariée, qu'elle n'avait rien à faire dans les bras de Michael et encore moins dans son lit! Mais son corps tout entier lui hurlait de céder, réclamant les caresses qui lui avaient tellement manqué pendant toutes ces années.

Spoiler:

Ce matin là, quand Cynthia ouvrit les yeux, le premier visage qu'elle vit fut celui de Mulan, qui l'observait avec curiosité, les deux pattes posées sur le lit. La jeune femme sourit et caressa la tête de la petite dalmatienne.
"-Et toi, ma belle? dit-elle. Bien dormi?"
Mulan répondit en lui léchant affectueusement les doigts. L'inspecteur avait beau être un magnifique spécimen de casse-pied et l'arrogance dans toute sa splendeur; il fallait bien reconnaître qu'elle avait eu raison de lui faire confiance en lui confiant Mulan. La petite chienne avait l'air tellement bien, ici. Et elle ne s'ennuyait pas, au vu de tout le temps qu'elle passait assise devant le grand aquarium du salon à contempler les poissons. Un chat n'aurait pas fait mieux! Elle observait le banc de néons, avant de s'intéresser aux guppies et à leurs couleurs chatoyantes. Puis, elle suivait les moindres mouvements des scalaires... Et elle ne s'en lassait pas!

Cynthia se retourna dans le lit et se trouva nez à nez avec ...
"-Vous! s'écria-t-elle en le faisant tomber du lit. Qu'est ce que vous faîtes là? Je ne vous permets pas!
-Comment ça? Je suis chez moi ici, répondit Bill. Je ne pense pas avoir besoin de votre permission pour dormir dans mon lit."
Cynthia sentit le feu lui monter aux joues ... Il avait foutrement raison! Vite, la réponse de la mort qui tue, songea-t-elle en cherchant une répartie cinglante.
"-A cours de mots, miss? la taquina-t-il.
-Moi? Sûrement pas! Et du reste, je n'avais pas besoin que vous me prêtiez votre pieu!
-C'est tellement facile de dire qu'on aurait pu se débrouiller seul alors qu'on n'a pas eu à le faire.
-J'aurais très bien pu dormir dans le canapé, maintint Cynthia.
-Ou sur le paillasson devant la porte, si je n'avais pas eu la gentillesse de vous offrir l'hospitalité pour la nuit.
-Vous n'étiez pas obligé de me garder ici, si vous ne pouvez pas encadrer ma tronche.
-Vous êtiez endormie, soupira Bill. Je vous aurais bien mise à la porte à coups de pied au derrière, mais je ne voulais pas vous réveiller.
-Trop aimable. Mais vous auriez très bien pu me laisser dormir dans le canapé!
-C'est pas mon genre de laisser une demoiselle en détresse dans un canapé alors qu'il y a un lit à deux pas.
-Dans ce cas, vous auriez pu me prêter votre lit et dormir vous même dans le canapé! répliqua Cynthia.
-Vous m'auriez laissé mourir de froid dans mon salon?
-Les couvertures et les radiateurs n'existent pas, sur votre planète?
-Les femmes aimables non plus, apparemment, lui asséna-t-il.
-Pourtant, il me semble que hier soir, vous vouliez me menotter à un radiateur.
-Si je vous attache quelque part, ça sera près d'une niche! Et vous aboierez si quelqu'un essaie d'entrer. Aboyer, ça devrait pas vous poser de problème. Et au moins, vous vous rendrez utile.
-Parce que vous, vous vous croyez utile? ricana Cynthia.
-Oui, puisque je vous ai prêté mon lit et vous ai épargné une nuit glaciale sur le paillasson.
-Je répète que je n'avais pas besoin de votre pieu.
-N'empêche, vous avez bien dormi. Vous ronfliez, même! Il est confortable mon lit, non? la taquina Bill.
-Plus confortable que le parquet sur lequel vous êtes allongé, ça c'est sûr."

Bill réalisa alors que depuis qu'elle l'avait jarté du lit, il ne s'était pas encore relevé et était toujours les quatre fers en l'air sur le sol.
"-Vous comptez passer toute la journée par terre, sans doute? continua Cynthia.
-Désolé de vous décevoir, mais non, répondit-il en se relevant. Maintenant, vous allez répondre à une question! Voulez-vous oui ou non ...
-Vous épouser? Plutôt mourir!
-Je n'avais pas tout à fait terminé, soupira Bill.
-Ah. Finissez, je vous en prie.
-Voulez-vous oui ou non; des croissants pour le petit déjeuner?
-Qu'est ce que vous avez mis dedans? De la mort aux rats? demanda Cynthia.
-J'y ai pensé... Mais finalement, non. Je peux encore avoir besoin de vous."

Quelques minutes plus tard ...
"-Je ne trouve pas le café, dit Cynthia.
-Peut être que si vous cherchiez ailleurs que dans le placard à chaussures, vous trouveriez."
Cynthia réalisa alors qu'une fois encore, le bougre avait raison! Décidément, elle était mal réveillée. Toutefois, incapable d'admettre qu'elle s'était trompée, elle ne put se retenir d'envoyer une vanne à l'inspecteur.
"-Ah, je me demandais aussi pourquoi ça sentait le fromage. Tout s'explique, ce sont vos chaussures!
-Non, plutôt les vôtres que j'ai mises là hier soir avant de vous border."
Cynthia se retint de lui donner un coup de genoux bien placé...
"-Je ne vous conseille pas d'essayer, dit Bill comme si il lisait dans ses pensées.
-Pourquoi pas?
-Parce que vous seriez bien embêtée. Peut être même plus que moi, au final."
Cynthia se mordit les lèvres en songeant que ce n'était pas faux.
"-Allez, boudez pas," fit Bill.
Cynthia allait répondre vertement quand Bill saisit son visage entre ses mains et l'embrassa. La jeune femme s'apaisa aussitôt et répondit au baiser de l'inspecteur, alors que le feu se rallumait au creux de ses reins. Les mains de Bill descendirent sur les épaules de Cynthia, puis sur sa poitrine. Il glissa impatiemment ses mains sous le T-shirt de sa compagne pour toucher ses seins. Un gémissement échappa à Cynthia alors que les doigts de Bill traçaient de petits cercles autour de ses tétons. Bill saisit sa compagne par la taille et l'assit sur la table. Il releva précipitemment son T-shirt et se pencha pour promener sa langue sur la poitrine de la jeune femme. Cynthia passa sa main fine dans les cheveux noirs et brillants de son compagnon et laissa tomber sa tête en arrière en se mordant les lèvres. Les yeux clos, la jeune femme s'abandonna totalement à l'inspecteur, n'ayant d'autre échappatoire que la confiance.

_____

Plus tard, dans l'après midi, Michael était de nouveau assis sur le banc des accusés. Plus agacée qu'inquiète, Paola serra les dents, déterminée à en finir une bonne fois pour toute avec cette histoire! L'avocat de la défense, Maître Lionel Bardwell la regarda d'un air mauvais. Il n'avait pas oublié le coup qu'elle lui avait fait la veille! Paola lui adressa un petit sourire satisfait.
"-Un problème, maître Bardwell? demanda le juge.
-Non, votre honneur. Simplement, j'ai une question pour maître Di Marco.
-Accordé, répondit le juge.
-Merci votre honneur. Donc, Maître Di Marco, vous êtes l'avocate de Mr Jackson."
Heureusement que tu me le dis, je ne m'en serais jamais apperçue, songea la jeune femme.
"-C'est exact, se contenta-t-elle de répondre.
-Et en votre qualité d'avocate, vous avez passé beaucoup de temps avec votre client ...
-Oui, et alors?
-Il est normal que des liens se créent, poursuivit Maître Lionel Bardwell. Des liens même assez forts, si j'ose dire."
Tout à coup mal à l'aise, Paola soutint toutefois le regard de son collègue alors qu'il s'approchait d'elle. Elle s'efforça de rester impassible. Elle sentit son regard devenir opaque, pour ne laisser filtrer aucune émotion qui la trahirait. Elle devinait le regard angoissé de Michael sur elle, se demandant ce qu'elle allait répondre à celà. Maître Bardwell s'approcha de Paola, la regardant droit dans les yeux. Joli bout de femme, il fallait l'admettre. Entêtee et agaçante, mais charmante. Après un instant, il finit par lui dire abruptement:
"-Vous êtes tombée amoureuse de Mr Jackson. Est ce la vérité?"
Paola en avala sa salive de travers. Elle savait ce que sous entendait son collègue mais ne s'attendait pas à ce qu'il le lui demande devant tout le monde!
"-Suffit! trancha le juge. La vie privée de Maître Di Marco ne nous intéresse pas.
-Si vous avez d'autres questions sur ma vie personnelle et sexuelle maître Bardwell, je vous demanderai de me les poser en dehors de la salle d'audience, grinça Paola. Même si je ne promets pas de réponse. Maintenant, j'aimerais revenir au sujet, si vous le permettez."

Une fois encore, l'enfant qui accusait Michael de l'avoir aggressé fut appelé à témoigner. Ecoutant le témoignage d'une oreille attentive, Paola s'apperçut que le gamin ne semblait pas sûr de lui. Il n'était pas assez précis pour qu'elle le prenne entièrement au sérieux. Bien sûr, le petit obéissait à ses parents. Lui n'avait rien demandé.
"-Tiens, vous avez écrit une nouvelle version? demanda-t-elle en se tournant vers les parents du gamin.
-Pardon?" demanda la mère en fusillant du regard la jeune avocate.
Paola s'approcha d'elle, lentement, la dominant de toute sa hauteur. Assise, la maman du gamin se fit violence pour soutenir le regard de Paola. Haute sur pattes, habillée toute en noir et manifestement déterminée à défendre son morceau de viande; elle était impressionnante.
"-Etrangement, certains éléments du témoignage ne figuraient pas dans celui d'hier. De même que des morceaux de votre version d'hier semblent avoir été ... occultés.
-C'est un enfant, Maître Di Marco. Je me doute bien que les enfants sont étrangement exotiques pour vous, qui n'avez pas eu le plaisir d'en avoir..."
Douche froide pour la jeune avocate qui se retint de lui coller son poing dans la figure.
"-Il est complètement perturbé, continua la maman du gamin. Il n'est pas à l'aise, en témoignant devant tous ces gens qu'il ne connaît pas. Il est normal qu'il oublie certains éléments.
-Des évènements aussi traumatisants qu'un viol ne s'oublient pas, Madame, grinça Paola. Des victimes de viols sont capables de vous restituer dans les moindres détails ce qui leur est arrivé, même des années plus tard. Madame, franchement. Le dossier est déjà bien maigre. En dehors des témoignages, rien ne parle en faveur d'un cas de pédophilie. Alors la prochaine fois que vous voudrez faire du pognon sur le dos d'une célébrité; tâchez au moins d'inventer une histoire qui tienne la route."

____

Dans le hall du tribunal, Cynthia faisait les cent pas, attendant le verdict avec impatience. Agacé, Bill lui lança:
"-Non mais vous allez arrêter de gesticuler comme ça? Vous êtes infernale!
-On voit toujours la paille dans l'oeil du voisin, marmonna Cynthia. Je voudrais bien vous y voir, Monsieur Je Sais Tout!
-Elever la voix ne nous mènera à rien, Miss Casse-Pied."
Bill se leva, saisit Cynthia par les épaules et l'assit sur une des chaises dans le hall.
"-Tenez. Mettez-vous la et ne bougez plus! Si vous faîtes mine de bouger, vous en subirez les conséquences!
-Arrêtez de vous faire des illusions, je n'ai pas peur de vous, maugréa Cynthia.
-ça, je l'avais compris. Je vous ferai un massage ce soir, si vous voulez, pour vous détendre.
-Vous? Me masser? Dans vos rêves.
-Ouais, ou cauchemards, marmonna Bill.
-Oh vous! cracha Cynthia. Je vais ... je vais ....
-Vous n'allez rien du tout. Assis! Plus vite que ça! Allez, pas de résistance!
-Arrêtez, vous allez me faire pleurer de rire!
-Si ça continue, je serai forcé de vous emmener au poste, dit Bill en la mettant en garde.
-Vu comment vous recherchez ma compagnie, celà ne vous dérangerait pas outre mesure de m'embarquer.
-Qu'est ce qui vous prouve que je cherche votre compagnie?
-A part les nuits qu'on a passées ensemble? Rien du tout, vous avez raison." répondit Cynthia avec un sourire moqueur.

Un peu plus loin, déguisée, Lena crut que son coeur allait cesser de battre. Ainsi, Bill avait couché avec cette espèce de ...
"-Sale pute, marmonna-t-elle entre ses dents les larmes aux yeux. Tu me le paieras."

NIAHAHA LENA PLEURE
suis heureuse Lena pleure

pauvre Michael
mais il est plus seul ils sont là

et comment il sait tout ça Maitre machinchose là o0

suite stp cyn

ooh mais l'attitude de bill vis à vis de cynthia j'hallucine
on dirait un jeu du chat et de la souris

à toi ma pousette nadorée

je vais réfléchir a la suite

Le procès se poursuivit, la partie adverse demanda d'ajourner la séance, Paola savait qu'elle avait destabiliser la partie adverse, et elle compta bien continuer le lendemain. Le juge accepta la requête, s'en était fini pour aujourd'hui.
La salle du tribunal se vida, il ne resta plus que Michael, Paola, Bill et Cynthia dans la salle.
Paola: bon ben, faudras remettre ca demain
Cynthia: je sais pas si mes nerfs tiendront
Bill: je vous attacherais a la chaise si il le faut
Cynthia: ca deviens une habitude de me voir attacher
Bill: vous savez pas que vous êtes mon objet de torture
Cynthia: pour couronner le tout vous êtes complétement fou
Paola et Michael ne pouvaient pas s'empêcher de rire en voyant la scéne
Michael ( chuchote a Paola): ils me font rire
Paola ( réponds en chuchotant): je me demande ou il vont chercher tout ca
Michael ( s'adressant a Bill): Inspecteur ( Bill le regarde) que diriez vous si je vous invitait a dîner
Cynthia ne laissa pas a l'inspecteur le temps de dire quoique se soit..
Cynthia: je crois pas qu'il va avoir le temps
Bill ( rit): vous répondez a ma place maintenant
Cynthia: de toute façon vous avez pas le temps
Bill: qu'est-ce que vous en savez si j'ai pas le temps
Cynthia: vous avez pas le temps
Bill ( regarde Michael): j'accepte l'invitation ( regard provocateur vers Cynthia)
Cynthia: vous le faites exprès de me pourrir la vie
Bill ( regard provocateur): comme si le seul but de ma vie etait de pourrir la votre.

Tom était toujours sur son enquête, lui et ses hommes étaient sur la trace de Harris Sulivan, il ne voulait pas le lâcher d'une semelle. Il était persuader qu'il avait quelque chose de prés où de loin a voir avec ses crimes, il ne savait pas encore quoi, mais son intuition ne le trompait que rarement. Lui et un de ses hommes, le prenait en filature, qualité principale pour cet exercice, rester discret. Mais leur suspect de se rendait compte de rien...
Il n'avait rien fait de bien palpitant. S'acheter un paquet de cigarettes, s'asseoir sur un banc, regarder les gens passer, gens qui d'ailleurs le regardait avec scepticisme. Il s'était acheter un glace parfum framboise et le journal local ou bien il y avait un article sue l'enquête et surement un article qui parlait de sa libération, il se met a sourire. Il laisse se journal sur le banc, puis commence a marcher vers des rues un peu désertes, cela se compliquait un peu pour l'inspecteur. Il pris une ruelle pour arriver dans une rue passante de la ville, l'inspecteur Kaulitzs, demandait bien a quoi il pouvait jouer. Puis il s'asseoit a la terasse d'un restaurant. Il reste assis pendant plusieurs heures, se commandant plusieurs cafés, c'était a se demander qu'est-ce qu'il attentait, puis d'un coup, venant de nul part, une jeune femme viens s'asseoir a côté de lui.
Officier: vous avez vus ca
Tom: oui, ils ont l'air de se connaître
Officier: on dirait
L'inspecteur se posait des questions sur l'idendité de la jeune femme. Il se demandait ce qu'une femme aussi jolie qu'elle, s'interesse a lui. Ils discutent longuement, puis au bout d'environ 30 minutes, il s'en va, Tom le suit mais il rentre chez lui et n'en bouge pas. Heureusement, l'officier qui l'accompagnait avait eu le reflexe de prendre des photos.
Tom: faites moi développer ses photos, faut que je sache qui est cette femme.

Le soir comme il était convenus, Bill Kaulitz se rends dans la demeure de Michael Jackson, pour honorer l'invitation a dîner qu'il lui avait faite quelques heures plus tôt.
Tous s'installe a table pour le repas, avec la gentillesse légendaire de Cynthia pour pimenter la soirée.
Michael: je suis content que vous ayez accepter inspecteur
Bill: mais de rien
Mais Cynthia se met alors a rigoler
Bill ( la regarde): quoi encore
Cynthia: oh rien
Bill: oui oui c'est ca... c'est encore une de vos stupidité
Cynthia: bien sur que vous êtes content d'être là, comme ca vous n'avez pas a tenir compagnie a votre plante verte
Bill: au moins elle ressemble a quelque chose, pas comme vous
Paola: il y a quelque qui m'interpelle
Bill: quoi....
Paola: pourquoi vous vous dites toujours " vous" , ca fait un moment que vous vous connaissez
La c'est Bill et Cynthia rit en même temps
Cynthia: ce serait lui trop d'importance
Bill: oui surtout ca voudrait dire qu'on a un tant soit peu d'interet commun ce qui est pas le cas
Cynthia: de toute façon qui voudrais d'un énergumène comme vous
Bill: c'est mieu qu'une vipère sans jugeotte
C'est le moment ou le repas arrive, de succulente lasagne faite par Paola elle même
Bill: c'est un régale
C'est alors qu'il sent que Cynthia est entrain de lui faire du pied sous la table, il la regarde, elle a regard provocateur, elle continu de manger comme si de rien n'était, quand cette fois-ci c'est le pied de la jeune qui remonte le long de sa jambe, il était pris au dépourvus, mais il trouvait cela agréable.
Aprés quelques verres de vin, et une longue discution entre Michael et Bill, Cynthia continuait de le titillait sous la table, mais maintenant elle remontait le long de sa cuisse, il se mordit la lèvres, personne a part Cynthia qui souriait et qui continuait son manége, et pendant qu'ils étaient tous entrain de discuter elle glisse sa main sur l'entrejambe de l'inspecteur qui réagis tout de suite par un petit soupir de contentement.
Paola: vous aller bien
Bill: oui, oui ( regarde Cynthia)
Lui aussi avait passez sa main sur la cuisse de la jeune femme, un jeu de caresse se passait sous la table, attisant un désir qui ne cessait pas de grandire entre eux deux. Mais Cynthia passa a la vitesse supérieur, elle se met a le caresser, il essaye de se contrôler mais sous les caresse de plus en plus vive de la jeune femme, il ne contrôle plus et il s'était laisser aller en soupirant fortement de plaisir, tout le monde l'avait entendus, il se lève, une grosse bosse visible sous son pantalon et se dirige vers les toilette pour se soulager.
Michael: qu'est-ce que tu lui a fait
Cynthia: rien de désagréable
Paola: t'es pas croyable
Cynthia: faut bien que quelqu'un s'occupe de lui, il me fait pitié le pauvre
Paola: comme t'es méchante
Cynthia: t inquiéte il se vengera

Quelques instant plus tard, il revient, tout le monde sait ce qui sait passer mais personne ne dit rien. Bill adresse un regard a Cynthia, l'air de dire qu'il se vengera.
Michael: vous m'êtes très sympathique
Bill: merci
Cynthia: ca dépends avec qui
Bill ( sans la regarder): estimez vous déja heureuse que je vous dise bonjour
Cynthia: ce que j'en ai de la chance
Bill ( l'air hautain): je pourrais tout autant vous ignorez
Cynthia: je crois que je préférerais
Tout les deux se regardent alors furtivement. Michael propose a Michael de rester ici pour la nuit, vus qu'il avait un peu abusez du vin, Michael ne voulait pas qu'il prends de risque
Bill: je ne veux pas abusez de votre hospitalité
Michael: Cynthia ( il la regarde) vous montreras votre chambre
Bill ( arrogant): j'en ai de la chance....

Paola ( qui c'était assise sur les genoux de Michael): non mais ses deux la
Michael: oui j'ai vus, il me font rire ( rit)
Paola: comme ils se cherche
Michael: les opposés s'attire
Paola: ca va faire des étincelles
Michael: pourquoi tu crois que je l'ai fait rester
Paola ( la regarde avec de grand yeux): me dit pas que tu l'a fait exprés
Michael: solidarité masculine ( rit)
Paola: j'y crois pas
Michael: ben quoi il a le droit de se venger.....
Paola: quoique je pense que cela ne va pas lui déplaire
Il posa alors une main sur sa joue pour attirer plus son visage contre le sien, et il l'embrasse amoureusement....

Bill suivait Cynthia qui allait lui montrer sa chambre, une fois arriver, il la pousse a l'intérieur ou elle manqua presque de tomber
Cynthia: non mais ca va pas, vous êtes une brute ou quoi
Bill se contentait de la regarder, fermant la porte derrière lui, et laissant tomber sa veste par terre
Cynthia: vous me faites quoi la, un numéro de cirque
Il la pousse alors contre le mur ses mains de chaque côté de la tête de la jeune femme, pour ne pas qu'elle bouge...
Bill: vous êtes la pire garce que j'ai jamais connus
Cynthia ( le provoque): a parce que vous avez connu d'autre femmes ca m'épates
Il passa alors une main sous le t-shirt de la jeune femme qui soutenait son regard
Bill: ce que vous m'avez fait....
Cynthia ( continu de le regarder): comme si ca vous avez pas plus
Bill: j'ai pas dit ca
Cynthia: ah oui c'est vrai, aucune fille veut vous faire se plaisir vous êtes trop égoiste
Bill ( ballade sa main sur son ventre): je vais me venger...............

Spoiler:

Le lendemain matin, Bill décide d'aller au bureau pour aller voir son frère avant de se rendre a nouveau au tribunal pour la suite du procés qui promettait encore d'être assez houleux, il devait arriver au tribunal avant lui, pour lui permettre de se frayer un chemin parmis la foule d'anonymes venues le soutenir et des journalistes prés a tout pour l'approcher. Il voulait mettre un peu d'ordre dans tout ca. Sur le chemin, il s'arrête prendre deux cafés et quelques petites choses a grignoter, car il savait que son frère n'avait surement pas manger depuis la veille. Arriver au bureau, c'est bien ce qu'il avait deviner, son frère était là, a travailler a son bureau. Il rentre, l'odeur du café envahissait la piéce.
Tom:oh Bill ( le regarde) ca va?
Bill ( lui tends un café): tiens... et puis mange je suis sur que t'a rien avaler depuis hier
Tom ne dit rien mais sourit, son petit frère avait encore taper dans le mille. Il mange les quelques viennoiseries qu'il avait amener. Ils prennent un petit déj rapide avant de parler a nouveau boulot.
Tom: alors le procès
Bill: c'est un déférlement médiatique, comme il s'acharne sur lui
Tom: dit moi tu es bien joyeux ce matin
Bill: pas plus que d'habitude
Mais son frère le connaissant par coeur, il se doutait bien
Tom: nan j'y crois pas ( rit) t'as encore batifoler avec cette fille que soit disant tu déteste ( rit)
Bill: je crois que mot détester est pas assez fort
Tom: rohhh.... je suis sur que tu exagére
Bill: non, c'est la pire garce que j'ai jamais vus, c'est la méchanceté incarner
Tom: c'est pour ca que tu passes tes nuits avec elle ( Bill dit rien) tu sais ce qu on dit, les contraires s'attires
Bill ( rit): je préfére me casser une jambe alors

Après quelques minutes, le temps de reprendre ses esprits
Bill: et ton enquête
Tom lui regarde et les explique les derniers évenements arriver.
Bill: tu avais aucune preuve pour le garder
Tom ( soupire): nan...
Il lui explique le systéme qu'il avait mit en place pour suivre ses moindres fait et gestes, et lui dit qu'il avait des photos de lui avec une femme mais qu'il ne connaissait pas l'idendité
Tom: tu veux pas jeter un coup d'oeil
Bill: je peux, mais je sais si je te serais d'une grande aide
Tom sort les photos et les tends a Bill, et la, il n'en crois pas ses yeux. Il reconnut la silhouette et le visage de cette femme. Il fut surpris.
Tom: tu la connais?
Bill: Lena Pavlovna ( lui rendant les photos) c'est une dessinatrice qui a déja travailler pour la police
Tom ( le regarde longuement): comment tu l'a connait
Bill: disons que aprés une soirée un peu trop arroser, j'ai passer la nuit avec elle. ce qui n'aurait jamais du arriver d'ailleurs
Tom: tu m'en caches des chose toi ( le regarde)
Bill: c'était sans importance
Tom: bon, qu'est-ce que elle peut bien faire avec lui
Bill: j'aimerais bien le savoir...........

ils ont beau se détester mais en tout cas ils ont du mal à résister à l'appel de la chair
tom connait bien son petit frère pour ça

haaaaaaan le lemon de choque

suite stp Maud

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhh!!!!!!!!!!!!!

je meeeeeeeeuuuuuuuuurrrrrs!!!!!!!!!!!!!
Le lemon!! mondieumondieumondieu!!
tu veux ma mort???? ^^

Désolée pour le retard au passage, je suis pas chez moi, là. ^^
Je m'occupe de la suite mais je devrais sans doute attendre d'être rentrée de vacances pour la poster

Lena Pavlovna ajoutait les dernières retouches à sa tenue avant de sortir. Puis, elle mit son manteau et s'empara de son sac à main avant de quitter son appartement. Bill lui avait demandé de la rejoindre dans un café, ça ne se refusait pas! Avec un peu de chance, il avait laissé tomber l'autre greluche... Comment s'appelait-elle déjà? Ah oui, Cynthia. Lena monta dans le tram. Qu'allait-elle pouvoir dire à Bill? Comment, Bill? Que dis-tu? ... Tu m'aimes? ... Je, je ne sais pas quoi dire ... Oh non Bill, ne pleure pas! ... Mais bien sûr que je t'aime! Depuis la première seconde!
Lena fut tirée de sa rêverie en voyant Maître Paola Di Marco monter dans le tram, comme toujours accompagnée de son chien. La jeune avocate reconnut Lena, qu'elle avait croisée une fois en compagnie de Bill.
"-Tiens, mademoiselle ... Pavlovna, si j'ai bonne mémoire. Comment allez-vous?
-Bien merci et vous maître Di Marco?
-Plutôt bien.
-Vous allez au tribunal, j'imagine? hasarda Lena.
-Non. Je vais voir Mr Jackson. On doit préparer la prochaine audience.
-J'imagine, oui."
Le portable de Paola sonna. Elle fouilla dans son sac, faisant tomber au passage son porte feuille. Tandis qu'elle répondait au téléphone, Lena se baissa pour ramasser ledit porte feuille. Un sourire hypocrite apparut sur son visage en appercevant vite fait une photo de Paola en compagnie de Jackson. Tiens tiens, songea-t-elle. Est ce vraiment pour préparer l'audience que vous allez là-bas, maître? songea-t-elle. Puis, elle afficha son plus joli sourire et rendit son porte-feuille à Paola.
"-Tenez, il était tombé de votre sac.
-Oh, merci, répondit la jeune avocate.
-De rien. Ah, je vais pas tarder à descendre du tram. Bonne journée à vous, maître. Et bon courage."
Paola répondit par un sourire. Lena descendit du tram et se dirigea vers le café où Bill lui avait donné rendez-vous. Tout en marchant, elle songea à la photo qu'elle avait vue vite fait dans le porte feuille de Paola. Je me demande ce que ce vieux Karl penserait de ça ...

Dans le café, Bill vit arriver Lena. Il lui fit signe, et elle vint s'assoir en face de lui après avoir commandé.
"-Alors? dit-elle en souriant légèrement. Pourquoi voulais-tu me voir?"
Bill serra les dents en sentant la jambe de Lena frôler la sienne. Il s'assit alors de biais pour ne plus supporter ce contact.
"-Pour l'enquête de mon frère. Nous pensons que tu pourrais nous aider.
-Tu m'en diras tant. Et en quoi puis-je vous être utile?
-Pour faire court, mon frère enquête sur les disparitions de l'autoroute A6, expliqua Bill. Il a rencontré un suspect du nom de Harris Sullivan."
Lena se crispa légèrement mais tâcha de ne rien laisser paraître, s'efforçant de paraître détendue.
"-Oui, et alors? dit-elle.
-Eh bien, en pistant ce type, il l'a trouvé un après midi qui bavardait avec une femme. Une femme qui te ressemblait beaucoup.
-Vraiment?"
Bill sentit déjà son sang commencer à bouillonner. Dieu ce qu'elle pouvait l'agacer! Il respira profondément et fouilla dans la pochette noire qu'il avait apportée. Il en tira quelques photos et les mit sous le nez de Lena.
"-Là! dit-il sèchement. Ne me dis pas que ce n'est pas toi sur cette photo.
-Tu m'espionnes, maintenant? dit-elle avec un sourire charmeur.
-Ne rêve pas, Lena. C'était mon frère qui pistait Harris. Et il se trouve que tu étais avec lui ce jour là. De quoi parliez-vous exactement?
-Pourquoi ça t'intéresse tant?
-Tu le fais exprès ou quoi? grinça Bill entre ses dents. Lena, des jeunes filles ont disparu le long de cette auroroute. Certaines ont été retrouvées mortes! Mortes! Tu comprends?! Si ce mec est le responsable, tu comprendras qu'il vaut mieux que tu arrêtes de le fréquenter et que tu me dises de quoi vous parliez.
-Je ne savais pas que tu te faisais autant de soucis pour moi.
-J'aimerais en effet te dire que je m'inquiète pour toi, Lena. Mais ça serait franchement hypocrite de ma part."

Douche froide. Blessée, Lena serra les dents. Bill ne serait pas facile à avoir. Mais, foi de Lena, elle y arriverait! Toutefois, ce qu'il venait de dire lui avait fait l'effet d'un coup de pied dans le ventre.
"-Dans ce cas, pourquoi es-tu venu me trouver? grinça-t-elle.
-Parce que ce type est peut être dangereux. Mais sans preuve, nous ne pouvons rien faire. Alors on essaie de récolter le plus d'informations possibles. Bon sang Lena, c'est quand même pas sorcier! Imagine que tu sois sa prochaine cible! Je ne veux pas apprendre demain dans le journal que tu as disparu alors qu'on aurait pu l'éviter!
-Tu tiens tant que ça à moi?"
Profondément agacé, Bill ferma les yeux et respira profondément.
"-Lena, ce n'est pas une question de tenir à toi ou non. J'agis avec toi comme j'agirais avec n'importe quelle personne qui aurait été vue avec Harris Sullivan. Ne mélange pas tout, s'il te plaît."
Cette fois, Lena finit par craquer. Elle prit son visage dans ses mains et sanglota. Se sentant coupable, Bill s'adoucit. Il paya l'addition et emmena Lena faire un tour dans le parc.
"-Lena, je suis désolé si je t'ai blessée. Ce n'était pas le but, dit-il. Mais voilà. Je te parle d'une enquête importante et toi, tout ce que tu fais, c'est ressasser indirectement cette seule et unique nuit qu'on a passée ensemble et qui n'aurait jamais dû arriver.
-C'était important pour moi! gémit-elle. Je t'aime, Bill.
-ça me touche beaucoup mais ... je ne partage pas tes sentiments, Lena. On pourrait être de bons amis si tu comprenais ça.
-Qu'est ce que je t'ai fait?
-Mais rien du tout, Lena. Si ce n'est que tu es un peu envahissante depuis cette nuit là, répondit-il calmement. Tu trouveras quelqu'un d'autre, je suis pas inquiet pour ça. Tu es jolie, tu es intelligente...
-Je ne veux personne d'autre! C'est toi que je veux.
-Lena, pourquoi est ce que tu m'aimes au juste? Est ce que c'est vraiment pour moi? Ou est ce juste parce que je te résiste?
-Les deux, admit Lena. Je déteste qu'on agite sous mon nez quelque chose que je ne peux pas avoir!
-Je n'agite rien sous ton nez, Lena. Je pense avoir été très clair en te disant je ne sais combien de fois que cette nuit était une erreur de parcours. On était aussi saouls l'un que l'autre. Ce n'est pas comme si j'avais une attitude ambigüe avec toi.
-Laisse-moi une chance, Bill. S'il te plaît.
-Lena, soupira-t-il. Réfléchis. Est ce que toi, tu laisserais une chance à quelqu'un si tu savais d'avance que c'était mort? Je ne crois pas. Passe à autre chose, Lena. Tu te fais du mal."
N'y tenant plus, la jeune femme saisit le visage de Bill entre ses mains et tenta de l'embrasser. Bill la prit par les épaules et la maintint à distance.
"-ça suffit! trancha-t-il. Arrête ça!
-Bill, s'il te plaît.
-Non! Lâche moi!"
Bill la repoussa et s'éloigna, sans un mot de plus.

Quelques jours plus tard
Michael s'approcha en nageant de Paola, qui était assise sur le rebord de la piscine et semblait pensive. Il croisa les bras sur les genoux de la jeune femme.
"-Qu'est ce qui se passe mon amour? Tu es bien silencieuse.
-Rien, c'est juste que ... Karl revient demain."
Michael soupira. Ces derniers temps, leurs seuls soucis avaient été de se chouchouter l'un l'autre, faire l'amour toutes les nuits, et aller au tribunal de temps à autres pour un dossier qui ne tenait pas la route. Le retour de Karl signifiait la fin de la tranquillité pour eux.
"-Paola, il faudra bien que tu fasses un choix, non?
-Mais j'ai déjà choisi, c'est toi!
-Mais maintenant, il va falloir le dire à ton mari."
Paola frissonna rien qu'en imaginant la réaction de Karl quand il l'apprendrait. Mais il faudrait bien qu'il le sache, de toute façon. Elle songea un instant à tout raconter à Michael; les insultes, les menaces, les
coups... Mais elle se ravisa et se contenta qu'acquiescer d'un signe de tête.

Spoiler:

Quand Bill arrêta sa voiture devant la maison de Michael, il fut à peine surpris d'y trouver Cynthia qui l'attendait, appuyée contre la barrière, un sourire narquois flottant sur son visage.
"-Qu'est ce que vous faîtes là, vous? demanda-t-il en refermant la portière après être sorti de la voiture.
-Bah, je vous attends. Je savais que vous deviez venir voir Michael.
-Vous avez l'intention de me suivre partout où je vais?
-Non. Figurez vous que mon monde ne tourne pas autour de vous, inspecteur", répondit Cynthia avec insolence.
Bill soupira. Il avait l'habitude de ce genre de remarque avec Cynthia. Il la rejoignit et ils entrèrent dans le jardin. En marchant dans l'allée qui menait à la maison, Cynthia demanda:
"-Alors, ce foutu procès?
-Bah écoutez, je pense que Michael va s'en tirer. Les scénarios des prétendues victimes ne tiennent pas la route. Ils ne peuvent pas l'inculper. Le dossier est beaucoup trop maigre, il n'y a aucune preuve. Bref, Mr Jackson n'a pas de soucis à se faire pour ça. En plus avec une avocate comme Maître Di Marco, c'était quasiment gagné d'avance."
Cynthia sourit. Elle avait hâte d'annoncer à Michael que tout serait bientôt fini.

Enfin, ils entrèrent dans la maison.
"-Michael? appela Cynthia. Michael, tu m'entends? Je sais que tu es là, ta voiture est devant la maison. J'ai de bonnes nouvelles pour toi."
Aucune réponse. Pensant qu'il s'était endormi, Cynthia se dirigea vers la cuisine.
"-Vous voulez boire quelque chose en attendant qu'il arrive? demanda-t-elle à l'inspecteur.
-Vous me proposez de boire quelque chose? Vous êtes polie? Vous avez arrêté d'aboyer? ... Qui êtes-vous, qu'avez vous fait de Cynthia? plaisanta Bill.
-Quand vous aurez fini de faire le con, faîtes-moi signe.
-Ah pardon, vous êtes bien Cynthia alors. Et je prendrais bien un coca s'il vous plaît."
Cynthia se rendit dans la cuisine pour chercher le coca. La fenêtre donnait sur la véranda, dans laquelle se trouvait la piscine. En regardant par la fenêtre, Cynthia resta sans voix.
"-C'est bien silencieux, tout d'un coup, fit Bill en entrant. Si vous ne parlez pas, c'est que vous êtes malade ou préoccupée.
-Non, stupéfaite, plutôt." dit-elle.
Bill regarda dans la même direction qu'elle pour voir Michael et Paola dans la piscine. La jeune femme était face au bord du bassin, Michael se tenait derrière elle et leurs mouvements ne laissaient aucun doute sur leurs activités.
"-Et si on allait dans le salon? proposa Bill les yeux toujours rivés sur le couple.
-Pour une fois que vous avez une bonne idée..."

Cynthia et Bill, après s'être servi chacun un verre de coca se rendirent dans ledit salon et s'installèrent dans le canapé.
"-Les petits cachottiers! fit Cynthia. Mais depuis combien de temps ils fricotent ensemble? Et j'ai rien vu!
-Je me doutais bien que ça arriverait, répondit l'inspecteur en portant à ses lèvres son verre de coca.
-Comment ça?
-Attendez, vous n'aviez pas vu comme ils se dévoraient des yeux? Dés que je les ai vus, j'ai senti qu'ils étaient attirés l'un par l'autre.
-Et vous ne m'avez rien dit! fit Cynthia.
-Pourquoi je vous l'aurais dit? pouffa Bill. C'est leur vie, pas la vôtre.
-Mais attendez, je débarque dans la maison comme une fleur et je les vois en train de faire l'amour dans la piscine ...
-Ne me dîtes pas que vous êtes choquée, je ne vous croirais pas. Ils ont bien raison, laissez-les donc tranquilles.
-Dîtes, c'était qui la nana avec qui vous êtiez, l'autre jour? demanda-t-elle en changeant brusquement de sujet. Dans le Café des Trois Brigands?
-Je rêve ou vous me faîtes pister?
-Répondez-moi, plutôt. C'était qui cette fille?
-Une dessinatrice, portraitiste. Elle a travaillé en collaboration avec la police pour faire des portraits robots d'après des témoignages. Elle s'appelle Lena Pavlovna, elle est de St Petersbourg."

Bill crut voir une lueur de jalousie dans les grands yeux verts de Cynthia. Et ce n'était pas pour lui déplaire ...
"-Vous la connaissez depuis longtemps?
-Qu'est ce que ça peut vous faire? la taquina-t-il. Vous êtes jalouse?
-Moi? Sûrement pas! cracha-t-elle. Je m'informe, c'est tout.
-Je la connais depuis un an, environ.
-Vous la côtoyez beaucoup?
-Oui, répondit-il.
-Vraiment?
-Vraiment et malheureusement."
Léger soupir de soulagement de Cynthia. Le fait que Bill n'aime pas trop cette fille la rassurait.
"-Pourquoi ça vous intéresse tant? demanda-t-il avec un léger sourire.
-ça m'intéresse PAS!"
Devant le petit sourire moqueur de Bill, Cynthia réprima tout juste son besoin urgent de l'étriper. Ce sourire! Ce sourire arrogant, narquois, moqueur, insolent ... Mais tellement séduisant! Et ces grands yeux chocolat n'arrangeaient rien! Elle avait du mal à l'admettre mais il la faisait littéralement fondre. Dans un accès de colère, elle finit par tout déballer.
"-Oh et puis pourquoi vous le cacher, hein? cracha-t-elle. Oui, je suis jalouse! Et je ne supporte pas l'idée qu'une autre fille vous tourne autour! Voilà, vous êtes content? J'ai besoin de vous avoir pour moi seule! Quand vous n'êtes pas là, j'ai l'impression d'être sur la Lune, privée d'oxygène! Je ne supporte plus d'être loin de vous, ça me rend malade! Malade, vous entendez? Et la première qui vous approche je la tue! Je ..."

Avant même qu'elle ait fini sa phrase, Bill l'attrapa et attira sa bouche contre la sienne. Cynthia se débattit et détourna la tête, sans pour autant parvenir à se dégager de l'étreinte de l'inspecteur. Ce gringalet avait plus de force qu'il n'y paraissait.
"-Comment osez-vous? dit-elle. Lâchez-moi! Arrière! Au large, traîne potence!
-Tais-toi! Je t'aime!" trancha-t-il avant de l'embrasser une nouvelle fois.
Cette fois, au contact des lèvres de Bill, la colère et la jalousie de Cynthia s'évaporèrent. Elle reprit son souffle, laissa son rythme cardiaque se calmer avant de passer ses bras autour du cou de Bill et de l'attirer au dessus d'elle sur le canapé.

A quelques kilomètres de là ...
Lena composa le numéro de Karl.
"-Hallo?
-Hallo Karl? C'est Lena.
-Ah! Comment tu vas? ça faisait longtemps, répondit la voix de Karl au bout du fil.
-Je vais bien merci. Quand est ce que tu rentres?
-Je rentre demain.
-D'accord. Karl, je suis désolée mais ... j'ai une mauvaise nouvelle à t'annoncer, dit-elle d'une voix faussement ennuyée. Tu sais, Paola ...
-Quoi, Paola? demanda-t-il en s'impatientant brusquement.
-Je ... C'est difficile à dire mais ... Tu sais qu'elle travaille pour Michael Jackson?
-Je sais, oui. J'ai fini par le découvrir en fouillant ses dossiers à la maison. Et alors?
-Eh bien ... Disons que sa relation avec Jackson n'a plus rien de professionnel, répondit Lena qui jubilait.
-Tu veux dire que ...
-Elle te trompe, Karl ... Karl?"
Tûûûût .... tûûûût .... tûûûût ...

New York
Karl raccrocha. Ivre de rage, il songea à téléphoner à Paola, mais se ravisa. Il lui règlerait son compte une bonne fois pour toute en rentrant à la maison.

putin t'approche pas de Paola ducon
ça crain...
et Bill et Cynthia s'aime enfin ouais

suite stp ma siam

youpee ils se sont avoués leur amour ça se fête
p*tain lena s'est vengée
je crains pour paola au retour de karl