la vie cachée des twins Kaulitz (avec Missbill et Amy-lia)

-Marine-

L'aéroport d'Hambourg est noir de monde. Je déteste la foule. Je ne sais pas ce qui se passe, mais j'entends des tas de filles hystériques crier comme si on les égorgeait. Pathétique. J'essaie tant bien que mal de me frayer un passage pour aller récupérer mes bagages. Je suis attendue à l'hôtel dans une heure, mais si ça continue comme ça, je ne suis pas encore arrivée. Mon agent va me tuer. Je bouscule un groupe de furie pour atteindre le tapis roulant. J'attappe mes valises et sors d'ici, non sans avoir entendu auparavant: Bill ich liebe dich!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
"ta gueule, ça nous fera des vacances" me dis je en mon fort intérieur. Je hêle un taxi et indique le nom de mon hôtel. Même cinéma: un tas de filles en folie sont groupées devant l'entrée. Elles ne sont tout de même pas là pour moi? Je sais que j'ai écrit un roman érotique à succès, mais quand même!

-Moi:"pardon je voudrais bien passer!"

-une fille:"vous essayez pas de doubler par hasard?"

-Moi:"j'ai réservé dans cet hôtel bon sang de bonsoir! merci de vous pousser"

On me laisse passer, de mauvaise grâce. Je ne sais pas qui est ce Bill, ni ces Tokio Hotel, mais on peut dire qu'ils m'auront gâché le voyage jusqu'au bout! Depuis que je suis arrivée à Hamburg je n'entends parler que d'eux, c'est le comble! Je me dirige vers ma chambre et pose mes valises en poussant un soupir de soulagement. Je préviens mon agent de mon arrivée. On se verra demain, il me laisse la soirée pour me reposer. Trop gentil. Les hurlements redoublent dehors. Je me mets à la fenêtre et regarde ce qui se passe. 4 garçons sont en train de se diriger vers l'hôtel. Un grand maigre avec une crête, un petit blond, un brun avec des tresses et un autre aux longs cheveux lisses. Alors ce sont eux les Pekin Machin? Pas de quoi ameuter tout ce monde. Je secoue la tête et vais prendre une douche histoire de me relaxer. Puis je décide d'aller prendre un verre dans le hall de l'hôtel. Je vois le grand maigre en train de siroter tranquillement une bière. Il m'adresse un grand sourire

-Bill:"bonsoir"

-Moi:"bonsoir!"

Je commande un Martini

-Bill:"vous séjournez dans cet hôtel vous aussi?"

-Moi:"oui demain j'ai une conférence"

-Bill:"vous êtes écrivain je me trompe?"

-Moi:"vous me connaissez?"

-Bill:"j'ai vu votre photo dans le journal!"

Il me tend la main

-Bill:"je m'appelle Bill Kaulitz"

-Moi:"Marine Rossi"

Il me détaille des pieds à la tête. Je dois avouer que ce mec est vraiment très mignon. Son côté androgyne est sexy au possible! Mon dieu faites qu'il arrête sinon...Il esquisse un sourire en coin

-Bill:"vous êtes française?"

-Moi:"exact!"

Je crois l'entendre murmurer:"c'est pour ça que t'es si belle", mais je préfère éviter les fausses joie, si ça se trouve il a dit tout le contraire:" c'est pour ça que t'es trop laide!" Je termine mon verre et prends congé

-Moi:"eh bien monsieur Kaulitz ce fut un plaisir!"

-Bill:"tout le plaisir est pour moi"

-Moi:"on se reverra peut-être d'ici la fin de nos séjours"

-Bill:"surement, l'hôtel n'est pas si grand"

Il m'adresse un clin d'oeil et s'éloigne en me laissant pleine vue sur son adorable petit derrière moulé dans un jean blanc. Je retourne dans ma chambre et me fais monter un plateau repas (la flemme de sortir manger dehors). Je regarde distraitement la télé, lorsqu'on frappe à ma porte. C'est le garçon d'hôtel

-garçon:"tenez c'est de la part de monsieur Kaulitz"

Il me tend un bouquet de roses avec une carte: "votre accent français est aussi irrésistible que votre sourire"
Je ne peux m'empêcher de sourire béatement devant la carte

-garçon:"madame tout va bien?"

-Moi:"tout va bien et c'est mademoiselle!"

-garçon:"pardon!"

-Moi:"pouvez vous m'indiquer la chambre de monsieur Bill Kaulitz s'il vous plait?"

-garcon:"chambre 483"

-Moi:"merci"

Je vérifie dans le miroir si j'ai une allure convenable et me dirige vers la chambre 483. Bill m'ouvre, tout sourire

-Moi:"merci pour vos fleurs et vos compliments"

-Bill:"c'est sincère, croyez moi"

Je ne sais rien de lui, à part que son groupe a le nom d'une ville japonaise suivi de Hotel et qu'il s'appelle Bill Kaulitz, seulement j'ai terriblement envie de l'embrasser, voire plus...

début fort intéressant ma foi
suite stpp

pas mal, intéressant!!
Les "Pékin Machin", mdrrrrr!!!!!!!!!
pourquoi pas? trop fort!!!!
ça m'a tuée!!!

j'attends la suite!!

Enfin le panneau "Hamburg". Je roule tranquillement dans ma mini Cooper lorsque la jauge d'essence clignote : réservoir à sec. Eh mince, toujours quand il faut pas ... Je continue cependant de rouler jusqu'à la station service la plus proche. Je me gare au niveau d'une pompe. Ouf, pas besoin de pousser la voiture cette fois ci. Je suis si intelligente que je ne pense jamais à remplir le réservoir à temps. Bref, je descend de voiture et empoigne le pistolet. Je remarque une jolie Audi sport garée à la pompe juste à côté. Un grand mec au look de rappeur est en train lui aussi de faire le plein. Il porte des lunettes de soleil : sauf que pas de soleil. Le truc inutile quoi ! Il se retourne vers moi, puis je me retrouve de nouveau face à l'arrière de sa tête.

... : Eh merde.

C'était lui. Je me retournai et l'interloquait.

moi : Qu'est ce qui ne va pas ?
... : Rien, ne vous inquiétez pas.
moi : D'accord, comme vous voudrez.
... : Merci quand même. Vous venez de loin avec un accent pareil ?
moi : De Paris, en France.
... : C'est vrai ? J'adore cette ville.
moi : Oui, simplement la plus magnifique ville du monde.
... : Et pourquoi vous venez jusqu'à Hamburg ?
moi : Juste envie de visiter. J'aime beaucoup voyager.
... : Moi aussi j'adore ça ! Découvrir de nouveaux horizons ...
moi : Oui. Oups !

A force de discuter, je n'avais pas remarqué que le réservoir était plein et que de l'essence avait jailli par terre, ainsi que sur mon t-shirt.

moi : Oh zut ! Voilà, je suis toute tachée maintenant ! Et ça pue !

Ce charmant jeune homme était gentiment en train de se foutre de ma tête.

moi : C'est pas drôle ! J'ai l'air fine comme ça !
... : Je trouve ça plutôt mignon une fille couverte de gasoil.
moi : C'est ça oui. Bon ben voilà ...
... : C'est quoi votre petit nom ?
moi : Amy. Amy Durel. Et vous ?
... : Tom Kaulitz.
moi : C'est bizarre. Votre tête me dit quelque chose, et votre nom ne m'est pas inconnu.
Tom : Ah ... si je vous éclaire, vous gardez notre conversation pour vous ?
moi : Bien sûr, vous pouvez compter sur moi.
Tom : Je suis le guitariste du groupe Tokio Hotel.
moi : Ah oui, voilà ! Je me disais aussi ! J'ai une célébrité en face de moi !
Tom : Euh oui ... vous restez ici combien de temps ?
moi : Une semaine je pense. Peut être deux si je me plaît bien ici.
Tom : Ok. Avec mon groupe, on vient de finir notre tournée Européenne. J'habite ici avec mon frère, mais là on s'accorde une petite nuit à l'hôtel. Histoire de ne pas se séparer de l'ambiance "tournée" trop tôt.
moi : Ok ok. Ce n'est pas que je m'ennuie mais je vais aller me changer.
Tom : Oui, d'accord. Heureux de vous avoir rencontrée.
moi : Tout le plaisir est pour moi !

Je commençais à me diriger vers la portière de ma voiture lorsque ...

Tom : Hey !
moi : Oui ?
Tom : Vous allez dormir où ?
moi : Je vais faire le tour des hôtels jusqu'à ce que je trouve une chambre.
Tom : Suivez moi si vous voulez, comme ça vous trouverez peut être une chambre dans mon hôtel.
moi : Pourquoi pas ? Ça m'évitera de chercher.

On monta chacun dans notre voiture. Il sortit de la station service et je le suivis.

trop bien ta suite miss! j'adore!

au début des chapitre précisé les points de vus c'est plus facile a comprendre ^^

sinon j'adore trop votre fic

SUITEEEEEEE [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]

ah j'ai trop adorer!!!!!!!
vos suites sont génials les filles

moi ja'dore, mais c'est vrai mettez les points de vue ^^.

suite

** Cynthia

Paris, le soleil viens a peine de se lever, et me voilà déjà ici, dans cet endroit que peu de personne connaissent, il faut être une habituée pour connaître tout ses petit coins de Paris, aussi charment que pittoresque...
J'adore la lumière du matin quand le soleil commence a peine a me donner sa lumiére et oui pour ce que je fais de la lumière, un endroit un peu reculé pour pouvoir bien la capté....
Et oui je suis une artiste, j'adore la photographie, j'ai toujours mon appareil a porter de main...
Hier c'était la foule pas loin d'ici, un attroupement de fille couraient partout, elles arboraient toutes des signes d'un groupe qu'elles devaient aimer " Tokio Hotel" je dosi dire que moi même je connais pas ce groupe, j'ai peut-être entendus déja mais leur visage, je les connaît pas, mais pour que des jeunes filles se mettent a hurler leur noms, a les chercher partout, a les poursuivre partout ou ils vont, je me dis que ils ont bien raison d'être cacher...
Bien sur, je n'ai pas rater d'en prendre des photos, de ce que la folie peut apporter sur les gens, mais j'ai pas pus m'empêcher de rire en pensant a eux, non mais quel groupe peut avoir un tel effet sur des personnes....

Bref, ce matin je suis là pour une autre de mes passion le dessin, je m'installe et commence a admirer ce magnifique paysage, d'une vue sur Notre-Dame qui ferait bien des jaloux, les rayons du soleil se posait sur ses vitreaux, il faut se dépêcher de capter ceci, avant que la lumiére tourne et change mes perspectives..
J'avoues que de se lever a 6h du matin pour admirer un tel spectacle, faut être un peu folle, mais je le suis, c'est un des de moi qu'on dis le plus souvent, mais j'assume, je préfére avoir ce grain de folie que de ne pas profiter de la vie.....
j'étais bien partie quand tout a coup je pus deviner qu'une ombre se formait derriére moi, il etait facile pour moi de deviner que quelqu'un se tenait la...

.......: très beau dessin
cynthia: merci
Je me tournai et je le voyais, voyais le soleil se posait sur ses yeux noisettes et sa peau avait d'un coup un halé doré, je ne pus m'emêcher de me saisir de mon appareil photo
cynthia: vous permettez
......: je vous en pris
Je ne me privais pas, les photos que je prenais etait parfaite, ce n'était pas dus que a la lumière, c'est que la personne en elle même subjuguais l'appareil, il fallais dire qu'il etait plutôt beau garçon, il avait cette beauté naturelle que tout photographe damnerais de pouvoir capturer, et j'eus cette chance.
en plus il jouait le jeu, il ne se forçait pas, il avait un sourire a mourir, je ne me rendis pas compte mais mon la pellicule fut vite vider....
cynthia: merci.....
en guise de réponse j'eu droit a son sourire, qui je dois reconnaître me laissait pas indifférente, il le remarqua et je pus m'empêcher de lui rendre
.....: ce fus un plaisir
cynthia: excuser moi....cynthia Meyer
.......: enchanté mademoiselle....Bill Kaulitz
il me disait ceci en plongeant ses yeux noisettes dans les mieu et je sais pas pourquoi ca ne me laissait pas indifférente, je me sentais toute chose et je ne pus expliquer pourquoi, il avait un je ne sais quoi qui me faisait craquer....
Bill: vous êtes une passionée a ce que je vois
Cynthia: je prépare mon exposition...et j'avoues que cet endroit m'apaise
Bill: j'avoues, Paris est uen trés belle ville
Il avait l'air trés captiver par l'endroit, comme si il etait tomber sous le charme de cette ville, ca se voyait dans ses yeux que c'était quelqu'un de passioné
Et c'set la que cette rencontre aussi brève qu'agréable, s'acheva, me laissant de magnifique photos pour mon exposition...

Je pensait ne jamais le revoir mais c'était sans compter sur le hasard qui me laissa encore cette chance, le soir même alors que la journée touchait a sa fin
.....: vous voudriez pas faire mon portait
Cette voix je l'aurais reconnus, c'était lui, je retourne et le voix tous sourire
......: j'aimeriez que vous faisiez vous portrait
J'essayais de me reprendre, un tel modéle, d'une telle beauté etait rare, je ne peut pas me priver
Cynthia: c'set avec plaisir Bill

Il me souris et s'installe sur cette petite pierre en face de moi et me regarde, cette beauté me rappelait celle d'un ange, le teint pale tout en ayant ce hâle doré que les rayons lui donnait....les traits de son visage etait fin, mais parfait, il n'y avait aucune imperfection, c'est comme si lui même avait était dessiner par peintre, une telle beauté est presque insolente...
Ses yeux noisette et son regard donnait le frisson, son regard etait si intense qu'il pourrait me figer sur place
Un nez très fin juste fait pour son visage, et ses lèvres si fines mais si bien déssiné etait un appel a la luxure, je ne sais pas pourquoi il me mets dans un etat pareil.
Je voulus lui montrer mais
Bill: c'était juste pour passer un moment avec vous, j'aime votre présence
Cynthia: euh...merci
Son regard profons et un rien charmeur ne me laissait pas pas indifférente, il ne quitte pas mes yeux
Bill: c'est rare pour moi de pouvoir passer un moment aussi agréable, surtout avec le métier que je fais
Cynthia: vous faites...
Bill: vous me connaissez pas
Je me souviendrez si je le connaissez, quelqu'un d'une beauté pareil, je commencait maintenant a le détailler, alors que jusqu'a maintenant je ne regardait que son visage.
Il etait mince mais ca lui allait plutôt bien, il faut dire qu'il etait bien fait, et que ca donnait envie de le connaître et de le découvrir de plus prés..
Il parut surpris que je ne le connaisse pas
Bill: je suis le chanteur de Tokio Hotel
Ca me cloua sur place, c'était donc lui que ses filles cherchaient hier, pour lui qu'elles criaient et etaient devenues presque hystériques, quoique la je peut les comprendre, je l'ai devant moi, et la en cette seconde moi aussi je pourrais devenir hystérique.................

Bill: c'est pas dans mes habitudes de faire ca, mais vous me plaisez beaucoup
Il avait dis ca, avec cette passion dans les yeux, comment résister il sait qu'il plaît et il en joue, c'était pas le moment de rougir et pourtant je n'ai pas pus me retenir
Cynthia: merci
Bill: je peux vous invitez a dîner
Cynthia: avec plaisir
Un bel échange de sourire s'enn suivis. Comment aurais-je pus refuser une telle invitation quand dans ma tête des pensées pas trés catholique m'envahissait, éspérant plus qu'un simple dîner..

oh cyn ta suite est vraiment magnifique j'adore!

trè belle rencontre entre Bill et Cynthia
j'adore

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trop bien écrit ma choupette

ses lèvres si fines "un appel à la luxure"
mon dieu j'adore ma cyn
très belle rencontre vraiment
un diner au restaurant avec bill ?
oh oui moi je veux bien

"des idées pas très catholique"
oula, déjà? XD remarque, je comprends, moi c'est pareil xp

j'adore comme tu décris Bill, ça donne envie de lui sauter dessus...

c'est qui qui doit suiter après?

moi j'adore votre fiction, vous écrivez super bien autant les unes que les autres!!!!

SUITE!!!!!

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-Marine-

Bill m'invite à rentrer dans sa chambre. Je me sens troublée comme une jeune adolescente. Surement parce que sa beauté
est troublante, limite intimidante. Une perfection digne des anges de Raphael. Je ne peux décrocher mon regard de ses yeux
en amande. Un regard mystérieux, voilé d'une teinte de tristesse. Il m'invite à m'asseoir sur un fauteil.



-Bill:"Puis je vous offrir quelque chose à boire?"



J'ai la bouche sèche. J'en aurais bien besoin. Je réponds pourtant par la négative. Je n'ai jamais éprouvé tel sentiment pour un homme.
Aucun, avant lui, ne m'avait fait autant d'effet. J'ai toujours aimé mener la danse, mais cette fois-ci je suis comme pétrifiée. L'attachement
est loin d'être ma qualité principale. Les hommes me l'ont souvent reproché. Je leur brisait le coeur pour mieux reconstruire le mien. J'étais
euphorique les premiers jours, voire les premières semaines, puis la lassitude commençait à s'installer. Leurs défauts me sautaient aux yeux
comme le nez au milieu de la figure. Bill, je le sens, est différent. Il s'asseoit sur le fauteil en face du mien.



-Bill:"comme ça, vous êtes écrivain?"




-Moi:"oui, enfin c'est vite dit. Je n'ai publié qu'un seul roman pour l'instant"



-Bill:"Il faut bien commencer un jour vous savez. Mais d'après ce que j'ai lu dans la presse, votre livre a cartonné d'entrée"



Je rougis légèrement, bien que je me sente flattée par l'interêt qu'il porte à mon travail, à ma carrière naissante. Il s'aperçoit
de mon trouble et sourit. Un petit sourire en coin, qui le rend encore plus irrésistible.


-Bill:"j'aime les femmes créatives. Encore plus lorsqu'elles sont belles comme vous"


Il sait parler aux femmes, c'est indiscutable. Jamais aucun homme ne m'avait parlé de la sorte. Sa façon un peu obsolète d'entamer
avec moi une phase de séduction, est des plus agréable. Combien d'hommes offrent encore des fleurs à une femme pour lui
déclarer son attirance? Les mots les plus vulgaires ont remplacé le merveilleux langage des fleurs. Combien d'hommes dans la rue
m'ont déjà abordé en me lançant avec désinvolture:" eh poupée, t'es trop bonne!" Pourquoi tu m'as déjà goûtée? Pathétique au possible.
Je n'imagine pas Bill avoir des mots aussi malsains. Mon regard se pose sur ses mains magnifiques. Des doigts longs et fins. Soigneusement manucurés.
Des ongles longs, décorés d'une french noire et blanche. Les pensées les plus érotiques me viennent à l'esprit. Un homme avec des mains pareilles doit rendre folle n'importe quelle femme. Surtout qu'elles sont soignées et semblent aussi douces que de la soie.





-Bill:"j'aimerais bien lire votre livre, si il reflète ce que vous dégagez, il doit être vraiment magnifique"



-Moi:"je...eh bien...je peux vous en offrir un exemplaire si vous le souhaitez"



Je me déteste d'être aussi destabilisée. On dirait une gamine effarouchée. Ses moyens de séduction sont aussi troublants que sa beauté. Il se lève.





-Bill:"pouvez vous me citer un passage de votre roman? juste pour avoir une idée"



Je lui souris. Je reprends peu à peu confiance en moi. Mon livre parle largement des anges, et il pourrait fort sortir de mon histoire. Bien que le caractère érotique ressorte fortement dans mes lignes. Ce qui, d'après la critique, a beaucoup plu aux lecteurs. Il semble déjà conquis par ma personne, je vais achever de le séduire. Avec mes mots






-Moi:" Il semblait venir tout droit du Paradis. Sa beauté noble et insolente en faisait un être non seulement mystérieux, mais aussi fascinant. Il déambule dans ce jardin avec grâce et volupté. Tous les regards sont attirés vers lui, comme un aimant. Aussi bien les regards des femmes que ceux des hommes. Il ne semblait pourtant pas s'en soucier. Marchant avec détermination, comme s'il avait un but précis. J'étais là, perdue parmis tous ces gens, et j'aurais donné n'importe quoi, pour qu'il m'adresse un regard. Même s'il était rempli de mépris envers mon insignifiante personne."





Il est littéralement suspendu à mes lèvres. Ses yeux brillent d'admiration. Je suis sure qu'il a compris que ces mots lui étaient, en quelque sorte, adressés. Il s'approche de moi



-Bill:"c'est vraiment, magnifique. Mais cet homme ne peut que vous regarder avec admiration et amour"



Il caresse lentement ma joue. Je ferme les yeux pour savourer cet instant. Je pose ma main sur la sienne. Elle est douce et chaude. Il colle ses lèvres contre mon oreille



-Bill:"cet homme n'a vu que vous parmi la foule..."



Je sens que mon coeur va exploser. Je meurs d'envie de l'embrasser, mais je préfère qu'il prenne les directives lui-même. Mon côté furie, risquerait de l'effrayer et je n'en ai

pas envie du tout. Je ne veux pas gâcher la magie de cet instant que le ciel m'envoie sur un plateau d'argent. Je lève le regard vers lui. Je me noie dans l'océan chocolat de ses yeux.

Il penche son visage vers moi. Nos lèvres se frôlent. Il pose délicatement sa main sur ma nuque et m'attire à lui. Je sens ses lèvres douces et chaudes contre les miennes. Elles ont la saveur sucrée du gloss à la cerise.

j'adore l'effet que bill lui fait
elle essaye de se controler mais comment resister a ses regard, son sourirs, ses attentions
impossible!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Billaun don pour fait fondre les filles
marine en est la preuve vivant


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mais comment ne pas fondre devant un tel homme ??
superbe suite vraiment

j'adore votre fic les filles
je suis déjà accro

Je le suivis pendant environ 20 minutes, puis il bifurqua dans une toute petite ruelle au bout de laquelle se trouvait un hôtel assez retiré. Je m'y engageai à mon tour. Et là, des centaines de filles étaient attroupées, retenues par des barrières de sécurité. Tom s'engouffra dans le parking sous terrain, je le suivis. La porte se referma, impossible pour les fans d'y pénétrer. Je descendis de voiture. Tom semblait m'attendre.

Tom : Je préfère entrer par le parking. Par la porte avec toutes ces fans, j'en ai pour des heures. Et puis si vous rentriez en même temps que moi, je vous raconte par les ragots que ça aurait fait ...
moi : Si on se tutoyait ? On a pas encore 50 ans.
Tom : Comme tu veux. Et ne me parle pas des 50 ans, quelle horreur. Je veux profiter un maximum de ma jeunesse moi !
moi : Tu as bien raison. Si on rentrait ? Il fait un peu froid ici.
Tom : Bonne idée, suis moi.

Je le suivis le long du parking et on arriva à un ascenseur.

Tom : On va essayer d'éviter le coup de la panne.
moi : Oui, j'ai hâte d'avoir une chambre et de pouvoir prendre un bon bain. Et surtout de changer de vêtements, cette odeur d'essence est insupportable.
Tom : Surtout que là on est enfermés alors l'odeur se sent plus ...
moi : Quelle horreur ... j'espère qu'ils ont encore des chambres de disponible. Je n'ai pas envie de chercher un autre hôtel pendant des heures.
Tom : Oui c'est sûr.

On arriva enfin au rez-de-chaussée. La porte de l'ascenseur s'ouvrit et on pénétra dans un hall assez luxueux.

moi : Mon dieu la nuit doit être assez cher dans un hôtel pareil ...
Tom : Si t'as des soucis d'argent, tu me le dis je te payerai la nuit.
moi : T'es fou ! On s'est rencontrés il n'y a même pas une heure. Et si je n'étais pas tombée sur toi, il aurait bien fallu que je me débrouille toute seule. Donc c'est hors de question.
Tom : Si tu préfère dormir sur le paillasson à l'entrée ...

Et il s'éloigna. Moi, je me dirigeai vers le guichet.

Guichetier : Bonjour mademoiselle bienvenue à vous. Comment puis-je me montrer utile ?
moi : Bonjour monsieur. Ce serait pour une chambre simple s'il vous plaît.
Guichetier : Très bien. Je vais consulter les listes et je vous donne réponse dans un très court instant. Merci de bien vouloir patienter.
moi : J'attends.

Je me retournai. Tom était toujours là, assis dans un fauteuil à l'air plutôt confortable. Il me fixait du regard, intensément. J'étais plutôt mal à l'aise et je me sentis rougir.
Il me fit un sourire ravageur. J'eus l'impression de fondre sur place comme un sorbet citron laissé au soleil.

Guichetier : Hum hum mademoiselle ?
moi : Excusez-moi. Je vous écoute.
Guichetier : Je puis vous proposer une chambre simple avec petit balcon et jacuzzi sur celui ci.
moi : Eumh ... puis avoir le tarif s'il vous plaît ?
Guichetier : 500 euros la nuit.

J'eus du mal à avaler ma salive.

moi : Je suis désolée, ce n'est pas dans mon budget. Pourriez vous me proposer votre chambre au plus bas prix s'il vous plaît ?

Dis donc les Tokio Hotel ça va tranquille, ils ont peut être de quoi se payer le luxe, mais pas moi !

Guichetier : Eh bien, c'est que c'est celle ci notre chambre au prix le plus bas.
moi : Je vous remercie beaucoup, mais je ne peux vraiment pas financièrement. Je vais chercher ailleurs. Merci beaucoup !
... : Vous laisserez la note de cette jeune demoiselle au nom de monsieur Tom Kaulitz s'il vous plaît.

C'était Tom. Il est fou ce type !

moi : Je refuse ! Tom enfin ! C'est de la folie !
Tom : Ça me fait plaisir, je t'assure.
moi : Ça n'empêche rien ! Pourquoi ferais tu ça pour moi alors qu'on se connaît à peine ?
Tom : Justement pour apprendre à mieux te connaître. Et puis c'est moi qui t'a entraînée ici, j'assume.

Si tu savais à quel point moi aussi j'aimerais faire plus ample connaissance ... Ses vêtements larges façon rappeur US, ses longues tresses atterrissant sur le haut de son torse, son sourire d'un blanc plus blanc que la neige au sommeil de l'Hymalaya,
et son piercing au labret qu'il faisait bouger avec sa langue. Non, ne craque pas !

moi : Je te déteste déjà ...
Tom : C'est bon pour moi. Bonne soirée monsieur.
moi : Mais !
Tom : Il n'y a pas de mais.

Et il s'éloigna. Je le suivis.

moi : Je m'en vais, je te préviens.
Tom : Tu es en train de me dire que je vais payer dans le vent ?
moi : Je ... non ! Mais ... pffff t'es fou c'est tout.
Tom : Ouais je suis fou ...

Et tout bas je crus entendre "de toi". Oulà, un peu de sommeil me ferait du bien, je commence à avoir des hallucinations.

moi : C'est quelle chambre ?

Il me tendis le papier.

Tom : En face de la mienne.

C'était fait exprès, pas possible autrement ! Et de voir son attitude "je m'en foutiste de tout ce qui se passe" me donnait envie de lui sauter dessus. Déjà qu'il m'attire physiquement, mais de plus de voir qu'il faisait style "je m'en fout de toi" ... Je craque complet.

Tom : Voilà, c'est là.
moi : Ok.

Il introduisit la clé dans la serrure de sa porte.

moi : Tom ?
Tom : Oui ?
moi : Merci.
Tom : C'est rien. Ça me fait plaisir.

Et il s'enferma dans sa chambre. Je fis de même, posai mes sacs sur mon lit et filai directement dans la salle de bains où je me fis couler un bon bain plein de mousse. Je me glissai dans l'eau. Avec toute cette mousse autour de moi et l'image de Tom dans mon esprit, je me serrais crue sur un nuage. Un nuage qui fit "Pok !" lorsqu'on frappa à la porte.

moi : J'arrive !

J'enfilai rapidement une serviette autour du haut de mon buste et j'allai ouvrir la porte.

moi : Tom ! Que me vaut ce plaisir ?
Tom : Jolie tenue ...

Il passa sa langue sur ses lèvres. Arrêtes pitiiiiiiiiiiié !

moi : Tu parles ! Je venais à peine de rentrer dans mon bain ...
Tom : Oh désolé ... c'était juste pour savoir si tu voulais un peu de champagne et discuter ... mais je peux repasser plus tard.
moi : Non non, vas-y entres ! Juste le temps de me changer et je suis à toi.

Oh oui, tout à toi ! Amy, enlèves moi ces pensées "olé olé" de ton esprit ! Je pris des vêtements dans un de mes sacs et je retournai dans la salle de bains pour m'habiller. J'enfilai alors une petite robe rouge qui arrivait un peu au dessus du genou, tour de cou et dos-nu. Je brossai mes longs cheveux bruns que j'attachai en une queue haute qui redescendait dans le haut de mon dos. Puis je sortis de la salle de bains. Tom n'était pas là. Je sortis sur le balcon et il y était, assis à la table de bois exotique, sa bouteille de champagne dans un sceau remplit de glaçons, une cigarette à la main.

Tom : Très jolie robe. Une coupe de champagne ?

j'adore ta suite miss! c'est excellent, et puis la description de Tom, je comprends qu'elle ait craqué^^

waouhhhhhhhhhhhhh
j'adore comment Tom il est, il lui fait déja un de ses effets
et je vois que la soirée fait que commencer

j'adore!!!!!!!!!!
suite ma belle

j'adore t'as suite amy
c'est très bien écris

suite les filles [Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]