Une vie sans elle [TOME 2]

Je suis l'ancienne membres qui été "Choudou27" ayant un problème avec ce compte, je reviens avec Lowrah. Je reviens après une longue absence avec la deuxième partie de la fiction "Une conquête de plus... Mais l'histoire est différente". J'espère que celle-ci vous plaira.

Cette fiction est le Tome 2 de la fiction « Une conquête de plus… Mais l’histoire est différente ».
La fiction est sur le point de vue de Tom.

Cela fait maintenant 5 ans que Max, la mère de ma fille nous à quitter.  Depuis sa disparition douloureuse, ma vie, notre vie à complétement basculé. Je vis toujours avec ma mère et Gordon, car j’ai encore besoin énormément de leurs soutiens et de leurs présences. 1 an après la disparition de Max, j’avais laissé tomber les études et je me suis mis à travailler dans le garage de Gordon. Pour suivre aux besoins de ma fille et la rendre heureuse. Noëlla à présent 7 ans. Elle grandit tellement vite, elle voit souvent la famille de Max. Je n’ai jamais voulu qu’elle ne voie plus la famille de sa mère.  Elle est maintenant en CP, le temps passe à une vitesse. Par moment j’ai la sensation de voir Max dans ses gestes, dans son attitude. Malgré mon portrait craché, elle a le petit caractère de sa mère. Je l’aime plus que tout. J’aimerais tellement voulu que Max l’a voit, qu’elle voit à qu’elle point elle grandit vite. J’en veux toujours à Friederike mais je ne peux pas l’empêché de voir sa petite fille. Aujourd’hui c’est la première semaine d’école pour Noëlla… Mais c’est difficile. Il est 7h, je suis avec ma mère dans la cuisine, j’ai toujours une boule à l’estomac quand je sais qu’il faut que je laisse Noëlla à l’école, je sais que cela va être l’enfer.

Simone : Ca va allez t’en fais pas. Tous les ans, c’est la même chose tu devrais y être habitué.
Tom : Oui… Mais je n’aime pas la voir pleurer.
Simone : Je sais bien que c’est difficile, Tom et Bill c’était la même chose. – ris doucement – C’était une bataille sans fin pour emmener à l’école.
Tom : Oui. – petit rire – J’aimerais tellement qu’elle soit là. – ton sérieux et triste -
Simone : Mais elle est là ! Dans ton cœur, dans ton esprit mais aussi dans ta fille.

Je souris aux paroles de ma mère. C’est vrai qu’elle n’avait pas vraiment tors. Puis je regarde l’heure il était déjà 7h20.

Tom : Bon je vais réveiller le petit monstre.
Ma mère me sourit. Je me dirige vers la porte de la chambre de ma fille, je me pose alors accroupi face à elle et me mis à lui caresser les cheveux.
Tom : Allez mon cœur, réveilles-toi. Il est l’heure de se lever. – d’une voix douce –
Noëlla : Hum… Je ne veux pas y allez. – voix endormi -
Tom : Je sais mais il le faut. C’est tonton Bill qui viendra te cherché.
Noëlla : Je ne veux ! Je ne veux pas ! – en criant -
Tom : NOËLLA KAULITZ ! JE VEUX TE VOIR PRÊTE DANS 10 MINUTES ! SANS DISCUSSION !

Je sortis dans la chambre en entendant les pleurs de ma fille. Je n’aimais pas haussé la voix mais je n’avais plus vraiment le choix. Je retourne dans la cuisine, Bill était déjà debout.

Bill : Ou lala ! Y a une petite fille qui s’est fait disputé par son père.
Tom : Oui. – soupire – Chaque matin c’est la même chose ! Mademoiselle veut pas allez à l’école.
Bill : Elle me rappelle quelqu’un – ris -
Tom : Sans commentaire. – ris –

Ma mère préparer avec amour le petit déjeuné de sa princesse comme elle l’appeler. Je continuer de discuté avec mon jumeau quand ont vis mademoiselle descendre les escaliers avec une mine boudeuse.

Noëlla : Bonjour mamie ! Bonjour tonton Billou !
Simone : Tu es triste ma princesse.
Noëlla : Oui, je ne veux pas allez à l’école.
Bill : C’est chouette l’école et en plus je viens te cherché à 16h30. C’est génial ! – grand sourire -
Noëlla : Non ! Je n’aime pas l’école !
Tom : Bon Noëlla tu manges ton petit déjeuné et tu arrêtes de faire le bébé. Tu es grande maintenant et les grandes filles vont à l’école sans ronchonner.
Noëlla : Mais papa…
Tom : Y a pas de mais qui tienne.

Elle finit son petit déjeuné, je la coiffe d’une queue de cheval ses cheveux blond descendis au milieu de son dos. Je lui mais alors sa veste en cuir noir que Bill lui avait acheté pour la rentrée, ses petites bottines. Elle mit son cartable sur le dos et dis au revoir à tout le monde. Sur la route du bus de l’école elle ne m’avait pas adressé la parole. Arrivé au bus, je m’accroupi face à elle, elle me regarde alors avec ses bleus qu’elle tenait de Max avec pleins de tristesse.

Tom : Ca va passer vite ma puce, t’en fais pas puis tu vas pouvoir retrouvé tes copines.
Noëlla : M’oui.
Tom : Allez fais-moi un bisou.

Ma fille me fit un bisou sur ma joue que je lui rendis.  Et lui glissa un « je t’aime », qu’elle me rendit avec grand sourire en me disant « moi aussi mon papa ». Puis elle monta dans le bus. Sur la route pour aller au garage de Gordon. Je reconnu alors Friederike, elle me stoppe alors dans ma marche.

Friederike : Bonjour Tom.
Tom : Bonjour. – froidement – Vous êtes de retour à Magdeburg.
Friederike : Oui, je suis venue me rapproché de ma petite fille.
Tom : Je vais être sincère avec vous, cela ne m’enchante pas vraiment.
Friederike : Je sais. Mais tu ne peux pas m’empêché de voir ma petite fille.
Tom : Ah bon ?! Cela ne vous a pas pourtant déranger de l’empêché de voir sa mère. Vous le saviez que Noëlla était toute sa vie à Max. Mais vous l’aviez pourtant enlevé, vous avez retirez un enfant à sa mère. Et vous avez aussi enlevé la vie de votre fille. Alors oui Madame Zimmermann, j’ai tous les droits mais je ne suis pas un salopard. Je vous laisserais la voir.

Puis je pars en direction du garage, Gordon m’attendais déjà depuis 20 minutes. Il vit alors à ma tête que quelque chose n’allait pas.

Gordon : Y a un problème avec la petite ? – un ton inquiet -
Tom : Non, la mère de Max est de retour à Magdeburg.
Gordon : Oh !
Tom : Elle souhaite ce rapproché de Noëlla. A vrai dire cela ne m’enchante guère, avec tout ce qui s’est passé elle à le culot de revenir comme-ci rien ne s’était passé.
Gordon : Hum… C’est quand même la grand-mère de Nono. C’est une partie de ta fille.
Tom : Oui, je sais. – soupire –

La discussion ce fus bref et je continuer de travailler. Mais l’esprit était ailleurs.