Ne vous fiez pas aux apparences (avec MissBill)

il court il court le furet le furet des bois mesdames
il court il court le furet des bois jolies il est passé par ici il repassera par là

mdr désolé petit pétage de plombs ptdr

suite

hé, cool billou!
T'inquiète, tu la gonfles aussi la Cynthia! mdrr!!!!

Pauvre michael... -__-'
Et tom qui en bave pour rattraper son criminel en vadrouille ....
je m'occupe de la suite!!

Bill quitta son appartement en claquant la porte. Cette histoire lui prenait la tête! Il avait besoin de penser à autre chose. Il prit un bus et descendit au centre ville pour flâner un peu dans les rues et s'aérer la tête. Il entra dans sa libraire préférée. Il pouvait passer des heures à éplucher les rayons. Il ne ressortait pas forcément avec un nouveau livre mais il adorait lire les résumés sur la quatrième de couverture, et se torturer en se disant "Non, tu as déjà un tas de bouquins à finir, tu en prendras un nouveau après!" Il arrivait la plupart du temps à résister ...

Oooohh! Un recueil de haikus! (j'ai bien dit, "la plupart du temps"...). Bill sauta alors sur ledit recueil pour le feuilleter. Les petits poèmes japonais étaient illustrés par de magnifiques dessins à l'encre. Bill avait toujours adoré les haikus, ces petits textes qui transmettaient plus d'émotions et d'images en quelques mots, que les poèmes dits "classiques" de je ne sais combien de stroffes.
"-Toujours fan des haïkus, à ce que je vois."
Bill se retourna et tomba nez à nez avec Lena Pavlovna, une dessinatrice à laquelle la police faisait parfois appel pour faire des portraits de suspects à partir de témoignages.
"-Eh oui, fit Bill en souriant. J'y peux rien, je craque complètement pour eux.
-Je vois ça. Je voulais t'offrir un recueil pour ton anniversaire mais tu en as déjà tellement, je ne sais même plus lesquels tu as ou pas!"
Bill sourit et baissa de nouveau les yeux sur le livre.
"-Te prends pas la tête, tu vas craquer, dit Lena en riant.
-Oui bon! Allez, je le prends!"
Bill alla à la caisse et paya le livre. Lena paya ses propres achats et sortit à son tour.
"-Tu vas où? demanda-t-elle.
-Oh moi, je me ballade un peu pour me changer les idées. Voilà tout.
-Un café, ça te dit?"
Bill réfléchit un instant. Ce n'était pas une mauvaise idée!

En se rendant dans un café avec Lena, Bill reconnut un peu plus loin une haute silhouette avec un long manteau noire, accompagnée d'un berger allemand qu'elle tenait en laisse. Lena jeta un regard soupçonneux à la femme que Bill venait de remarquer.
"-Tiens tiens, qu'avons-nous là? fit Bill en se dirigeant vers la femme en question. Maître Paola Di Marco.
-Inspecteur Kaulitz, quel plaisir, fit Paola en lui serrant la main et en adressant un signe de tête à Lena. Alors, une ballade pour se changer les idées, je présume?
-Avocate et clairvoyante! Et vous? Que faîtes-vous ici?
-J'emmène mon chien au parc."
Bill lança un regard soupçonneux à Domino. Il n'avait pas oublié que le chien lui avait grogner dessus une fois.
"-N'ayez pas peur, il n'est pas méchant, dit Paola.
-Vous m'en voyez ravi. Vous voulez prendre un café avec nous? proposa Bill.
-Les chiens ne sont pas autorisés, trancha aussitôt Lena, peu désireuse que Paola les accompagne.
-Et quand bien même, j'aurais été forcée de décliner l'invitation, inspecteur, répondit Paola qui avait vu clair dans le jeu de l'autre. J'ai autre chose de prévu. Mais peut être une autre fois.
-Bien sûr, répondit Bill. Eh bien dans ce cas, je vous souhaite une bonne journée. Et à bientôt, sur le terrain... Je ne vous ferai pas de cadeau, ajouta-t-il plus bas avec un léger sourire.
-Ma victoire n'en sera que plus belle, répondit Paola avec un clin d'oeil. Bonne journée inspecteur. Mademoiselle, j'ai été ravie.
-Moi de même", grinça Lena qui n'en pensait pas un mot.

Lena se retourna pour regarder Paola s'éloigner avec son chien qui trottinait à côté d'elle.
"-C'est qui, celle là? demanda-t-elle. Tu la connais d'où?
-C'est Maître Paola Di Marco. Une remarquable avocate. Elle va défendre Michael Jackson et je sens qu'avec elle, j'ai pas fini d'en baver.
-Pfff ... Tu as vu le clin d'oeil qu'elle t'a fait?
-Lena soupira Bill, c'est juste pour dire qu'il n'y a rien de personnel entre nous. Chacun défend son bout de viande et puis voilà. Mais en dehors du boulot, on ne va pas s'entretuer pour cette affaire, c'est tout.
-Mouais ...
-Tu serais pas jalouse, toi?
-Jalouse? Moi??? euh ... bredouilla Lena à qui le feu montait aux joues. Arrête de rêver, Bill."
Lena ne put s'empêcher de se retourner. Paola et son chien s'étaient noyés dans la foule. Une fois dans le café, Paola commanda un café et Bill demanda un chocolat viennois. Le serveur leur apporta leurs tasses et s'en alla.
"-Bill, cette fille, tu es sûr que ...
-Lena, Paola ne m'intéresse absolument pas. En plus, elle est déjà mariée. Et de toute façon, toi et moi ne sommes pas ensemble, que je sache. Je n'ai aucun compte à te rendre."
Pour l'instant, songea Lena qui, à vrai dire, ne dormait plus à cause de Bill.
"-Je ne suis pas jalouse, Bill. Je m'informe, c'est tout!
-Ben voyons."

Qu'elle t'approche seulement et je lui fais la peau, à cette mijorée! songea Lena. Comme à toute autre nana qui essaierait d'approcher Bill, d'ailleurs. Lena avait réussi une fois, à faire virer une des collègues de l'inspecteur qui lui tournait trop autour à son goût. Et elle recommencerait, si il le fallait. Maître Paola Di Marco ... C'est pas parce que tu es une "remarquable" avocate que tu es intouchable, ma belle! Car, il fallait bien l'admettre, Paola était vraiment très belle avec ses cheveux noirs comme l'ébène et ses yeux d'un bleu profond. Et les noms aux consonnances étrangères faisaient rêver les hommes aussi bien que les femmes! Ayant des origines russes, Lena avait déjà puisé dans cette force pour avoir les hommes qu'elle voulait. Lena Pavlovna ... Mais apparemment, face à Bill Kaulitz, celà ne suffisait pas. On savourait d'autant une victoire qu'elle nous avait coûté, n'est ce pas? Pourtant, Lena commençait à s'impatienter.
"-Tu n'as quand même pas oublié qu'on a passé une nuit de folie, lui dit la jeune femme d'un ton calin en avançant la main vers la sienne.
-A l'issu d'une soirée bien arrosée après laquelle je n'avais plus toute ma tête, précisa Bill en mettant sa main hors de portée de Lena. Et si je l'avais eu, crois bien que ça ne se serait pas passé comme ça, Lena.
-Tu veux parier?
-J'aurais volontiers parié, si je n'avais pas eu aussi peur de te ridiculiser. Tu ferais mieux d'oublier ça et de passer à autre chose, Lena. C'était, comme qui dirait, une erreur de parcours.
-Pas pour moi.

__________

Histoire de se changer les idées, Cynthia, Michael et ses trois enfants étaient allés au parc se promener.
"-Tiens, regarde qui est là", dit Cynthia.
Michael jeta un oeil dans la direction que lui indiquait Cynthia et reconnut Paola un peu plus loin, qui jouait avec son chien dans la neige poudreuse.
"-Domino, regarde le frisbee... Allez, on attrape au vol! ... Ouiiii! C'est bien!"
Le berger allemand ramena le frisbee en remuant la queue mais refusa de le lâcher quand Paola voulut le reprendre.
"-Allez, donne-moi ça, dit-elle en riant. Je vais pas te lancer avec!"
La jeune femme profitait à fond de ces rares moments de légèreté où son seul soucis était de récupérer le frisbee. Elle savait qu'une fois rentrée, ce serait fini. Elle s'assoirait dans un coin en espérant que Karl lui foute la paix; et Domino se ferait tout petit dans son panier. Quand elle se retourna, elle reconnut Cynthia et Michael. Elle se dirigea vers eux avec un sourire sincère, après avoir enfin réussi à chiper le frisbee à Domino.
"-Bonjour! dit-elle en faisant la bise à Cynthia et en serrant la main de Michael. Comment ça va?
-ça va, merci, dit Cynthia en souriant. Domino se débrouille de mieux en mieux avec le frisbee.
-Oui. Mais pour le lui reprendre, c'est la croix et la bannière. Et vous Michael?
-Je vais bien, merci. J'en profite pour vous présenter mes enfants. Prince, Paris et Blanket. Les enfants, je vous présente Paola.
-Bonjour, répondit Paola en leur faisant la bise à chacun.
-Bonjour Madame.
-Bon, les enfants, on va aller jouer avec le chien, hein? fit Cynthia. Je crois que votre papa ... aimerait bien parler avec Paola."
Michael grinça des dens alors que Cynthia lui donnait un coup de coude.

Un peu plus tard, Paola et Michael marchaient le long de la rivière gelée en discutant.
"-Je voulais vous remercier de tout ce que vous faîtes pour moi, dit-il.
-Oh, je vous en prie. C'est mon travail.", répondit-elle en souriant.
Michael se sentit fondre et chercha quelque chose à lui dire. Il ne pensait qu'à une chose depuis un moment : l'inviter au resto un soir. Mais comment lui demander? Excellente question! Et aussi, est ce qu'elle aurait le temps?
"-Je ... je suppose que vous avez énormément de boulot, dit-il.
-Assez, oui. Mais je trouve quand même un peu de temps pour me promener et me changer les idées.
-Ah ... Tant mieux. Parce que ... Je pensais à ...
-Domino! Non!"
Paola venait de voir son chien filer à toute vitesse vers la rivière gelée où avait atteri le frisbee. La couche de glace était trop fine, elle ne supporterait pas le poids d'un berger allemand. Paola se mit à courir, dans l'espoir d'attraper son chien avant qu'il n'aille sur la glace. Si Domino freina heureusement à temps, ce ne fut pas le cas de Paola. La jeune femme glissa, la glace se brisa et la jeune femme disparut sous l'eau. Le chien se mit à aboyer comme un fou. Michael se précipita alors que Cynthia et les enfants arrivaient à leur tour. Heureusement, le trou dans la glace était près du bord et pas en plein milieu de la rivière. Michael plongea les bras dans l'eau, aggripa le manteau de Paola et la remonta. La jeune femme ne bougeait plus. Domino léchait le visage de sa maîtresse en gémissant. Un attroupement se forma autour d'eux.

"-Ecartez-vous! s'écria Cynthia. Laissez-lui de l'air!
-Son coeur bat, dit Michael. Mais elle ne respire pas.
-L'eau glacée a du lui faire un de ces chocs!"
Michael allongea Paola sur le dos en lui maintenant la tête en arrière pour qu'elle ne s'étouffe pas avec sa langue. Il se pencha sur elle et insuffla de l'air dans sa bouche. Une fois ... Deux fois ... Trois fois ... Enfin, Paola commença à tousser et cracher de l'eau. Michael retira son manteau pour le mettre sur les épaules de la jeune femme. Il la serra contre lui et la frictionna pour la réchauffer tandis qu'elle reprenait son souffle sous les coups de langue incessants de Domino. Michael la sentit grelotter dans ses bras, il pouvait presque l'entendre claquer des dents. Il repoussa une mèche trempée derrière l'oreille de Paola.
"-Ce que j'ai eu peur, dit Michael en la berçant. ça va aller?
-J'ai tellement froid, souffla Paola.
-On l'emmène chez toi! dit Cynthia à Michael. C'est le plus proche!"
Michael la souleva dans ses bras pour l'emmener jusqu'à la voiture, suivi de Cynthia, des enfants et de Domino.

Bill a une qui lui colle au basque j'aime bien
ca va mettre un peu d'action

ah j'ai beaucoup aimer ta suite
ca va être un plaisir de suiter ca

oh je la sens pas cette fille

et la pauvre Paola j'espère qu'elle attrapera pas une pneumonie

suite s'il-vous-plait

moi non plus je la sens pas cette nana

suite à toi ma petite soeur

moi non plus je la sens pas

suite svp

L'inspecteur Tom Kaulitz était toujours dans son bureau, malgré leur déja tardive. Cette enquête l'obcédait, il était persuader d'avoir oublier un détail, qu'il était passer a côté de quelque chose, il c'était commander la dose de café et commencer a saturer. Il est presque 22h quand il quitte son bureau, les rues de la ville sont illuminés et les passants insouciants rient au éclats et profites pour faire la fête.
Lui aussi aimer bien ça sortir, mais c'était avant. Il y a quelques années il sortait tout les soirs, il était un homme a femmes et pouvait se vanter d'avoir une femme différente dans son lit chaque soir, c'était la belle époque. Et il c'était calmer depuis qu'il l'avait rencontrer, et oui il était tomber amoureux il aurait jamais crus que ca puisse arriver et pourtant, elle l'a fait changer et ils étaient si heureux, mais elle lui a fait tellement mal en le trompant, depuis il était rester seul, se lançant a corps perdus dans son travail. Son frère et son chien était les seule personnes qui lui apportait de l'affection.

Il rentre dans son appartement, son chien, un magnifique braque d'auvergne, se tenait assis et l'attendait, son plus fidéle compagnon vien près de lui et réclamait des caresses.
Tom: mais oui mon beau ( le chien est content) tu as faim ( le chien bouge sa tête) aller viens je vais te donner de quoi manger.
Il caressa encore son chien puis alla vers sa cuisine préparer le repas de son fidèle compagnon.

Lena Pavlovna avait une obcéssion: Bill Kaulitz. Depuis qu'elle l'avait rencontrer elle était tomber sous son charme, il nourissait le désir secret qu'un jour il formerait un couple. Et elle était bien décider a y arriver, il était hors de question qu'un autre femme puisse l'éloignée d'elle. Elle n'oubliras jamais la nuit qu'ils ont passer ensemble, une des plus belle de sa vie. Il était un amant remarquable. Il l'obcèdait tellement, elle n'en dormait plus la nuit, ne pensait qu'a lui toute la journée. Elle avait bien l'intention que ça se reproduise. Elle n'avait pas aimer la façon dont Maître Paola Di Marco. Elle la suivait depuis qu'elle savait que cette Paola avait des contact avec Bill, qu'est-ce qu'elle avait de plus qu'elle, elle n'était pas vraiment jolie et se promenait toujours avec son chien. Elle allait a son bureau, puis dans le domaine de Jackson, puis chez elle, puis ensuite encore chez Jackson, puis chez une personne qui doit être une amie ou de la famille, elle était aller faire des courses et rentrer chez elle. Rien de bien glorieux, mais elle devait le faire, elle s'assurait que cette avocate ne s'approcherait pas trop près de son Bill.
Lena: reste loin de Bill, c'est un conseil

Paola était chez elle et avait préparer le repas en espérant qu'elle éviterait encore des crises de Karl, il était toujours aussi odieux avec elle, tout ce qu'il voulait c'était quelque chose qu'elle ne pouvait plus lui donnait. Et cela finissait toujours mal, toujours des coups qui pleuvent. Mais ce soir là....
Karl: pas la peine de de préparer a manger
Paola: qu'est-ce que tu as....
Karl: j'ai pas faim, c'est tout
Le ton de sa voix était énerver, cela n'annonçait rien de bon, mais Paola continuais de préparer son repas.
Karl: arrête ce que tu fais
Paola: il faut bien que je mange
Karl: ca me dérange. viens là.
Elle savait ce qui allait arriver, elle prit une grande inspiration et alla prés de lui se doutait que ca allait mal finir, il voulait quelque chose qu'elle ne pouvait lui donner.
Et ce qu'elle craignait arriva, il s'approcha d'elle l'embrassa tout en voulant aller plus loin, il passa ses main sous le haut de sa femme mais se montrant trop pressant, elle le repoussa.
Karl ( agacé): ne recommence pas
Il se mit alors sur elle et l'embrassa de force, il était bien décider a obtenir ce qu'il voulait, elle se débattait et ca l'agacait
Karl ( énérvé): ca suffis
Il lui serra alors trés fort les poignets, il lui faisait mal
Paola: je veux pas
Karl ( trés en colère): tu veux jamais de toute façon
Il la regarda alors avec colère, il l'embrassa encore de force, essayant encore d'obtenir ce qu'il voulait, cette fois-ci il réussis a lui déboutonner son chemisier et commence a lui caresser la poitrine, elle commence alors a crier et exéder par se comportement il la gifla fortement qu'elle en tomba du canapé et se fortement la cheville contre leur table
Karl: je t'aurais
Elle se traîna comme elle put, sa cheville et ses poignets lui faisait atrocement, elle trouva la force de lui échapper et malgré la douleur, elle réussie a aller dans sa chambre et s'y enferma a double tour, ses poignets lui faisait, des marques etait encore voyante et la cheville avait un gros bleu. Elle se mit dans son lit en larme........

Bill tout comme son frère était un fervent de la cause animale et tout particulièrement des chiens. Il aimait leur compagnie. Il les trouvait bien plus fidèle qu'une femme et surtout ils faisaient preuve d'une loyauté sans borne envers leur maître. Il avait eu un chien jusqu'il y a très peu de temps et qui l'avait accompagner durant des années, une complicité entre lui et son chien, beaucoup d'affection. C'était un compagnon fidèle. Sa mort avait était un déchirement pour lui et il n'en voulait plus d'autre. Mais son absence lui rappelait a quel point il était seul, quand il rentrait après le travail, il était seul, personne pour l'accueillir, personne por lui montrait qu'on l'attendait, personne pour lui montrer de l'affection. Personne. Il était seul et cela lui pesait. C'est pour ca qu'il a décider d'accueillir un nouveau compagnon, c'est ainsi qu'il se mit en route vers un refuge qui avait bonne réputation dans la ville.
C'est ainsi qu'il arrive au porte du refuge qui se trouvait sur les hauteur de la ville, la vue était magnifique. On le fît entrer et il fit un tour parmis les chiens, il adimirait le travail de ses personnes qui travaillait dans ses lieux pour trouver une famille qui veuille bien accueillir ses chiens, il plaignait ses pauvres bête devoir rester enfermer, bien qu'il avait toujours de quoi manger de quoi boire mais ce n'était pas pareil. Si il pouvait il les prendrait tous avec lui, tellement il ça lui faisait mal au coeur....

C'est alors qu'il reconnût une voix qu'il semblait bien connaître, mais il espérait se tromper, il ne voulait pas se disputer ici....
Cynthia: Qu'est-ce que vous faites-ici.......... Si c'est pour m'intérroger vous avez très mal choisis le lieu
Malheuresement c'était bien elle, jamais une femme ne l'avait exaspérer et agacer a ce point, elle avait beau être très belle, ca il devait bien l'avouer, mais elle lui taper sur les nerfs
Bill: toujours aimable a ce que je vois
Cynthia: seulement avec ceux qui le mérite
Bill ( se lève et lui fait face): et vous... vous ne méritez même pas qu'on vous adresse la parole
Tout les deux se regardent... avec colère et agacement
Cynthia: vous venez m'importuner sur mon lieu de travail maintenant
Bill: ca m'étonne... une personne si froide, si désagréable peut travailler ici
Cynthia: et vous...qu'est-ce que vous faites la
Bill: accueillir un chien
Cynthia: je suis surprise... vous qui êtes tellement imbus de votre personne.... vous occuper d'un chien
Ils se rendaient coup pour coups, sans pitié.
Bill: chercher moi quelqu'un de compètant parce que vous avez l'air de rien y connaître
Cynthia: désolé faudras vous contenter de moi
Bill: quel malheur de vous supporter....

Il fît le tour du refuge et tout a coup il s'arrête devant un magnifique Rhodesian, le chien s'approche tout de suite de lui, cherchant des caresses, comme si il avait attendus son propriétaire, comme si un lien c'était tout de suite créer.
Cynthia: pourquoi vouloir un chien....
Bill: le mien est mort il n'y pas si longtemps
Et la pour la première fois elle peut remarquer que ce malgrè ce côté arrogant, il y avait une personne sensible, il n'y avait qu'a le regarder avec le chien, il était attentioné.
Cynthia: je suis désolé
Il la regarde et pour la première fois il la trouve sincère
Bill: Une rencontre n'est que le commencement d'une séparation.
Cynthia: Le malheur peut être un pont vers le bonheur.
Bill ( ris): je vois que vous connaissait les proverbes japonais
Cynthia: j'aime beaucoup la culture asiatique
Bill pour la première fois depuis qu'il la connait il lui sourit

Spoiler:

Jamais quelque chose comme ca ne lui était arriver, jamais il n'avait céder a une telle pulsion et jamais il n'avait eu autant envie d'une femme surtout elle qui l'agacait et l'énervait, jamais il aurait cru qu'elle lui donnerait tant de plaisir. Il n'y aura plus rien d'autre entre il s'avait que c'était qu'une envie sexuelle, ca s'arrêtera là.
Il alla ensuite au bureau Tom l'attendait déja.
Tom ( les pieds sur son bureau): tu es en retard
Bill ( s'installe a son bureau): j'ai eu un contre temps
Tom lui raconte alors les évolutions de son enquête.
Tom: j'ai eu des lettres anonymes ( lui montre) et des appels anonymes me disant qu'un certain Harris Sullivan serait l'auteur des disparitions
Il attendait que Bill lui dise quelque chose mais rien
Tom: cette lettre donne des détails troublant, je dois explorer tout ca ( regarde bill il dit rien) oh tu as entendus ce que je t'ai dit
Bill ( sursaute): euhhhhh.....
Tom: bon il t'arrive quoi que t'es sur la lune
Bill: je pensait a mon enquête
Tom ( le fixe): pourquoi je te crois pas
Bill ( ris): crois ce que tu veux.
Bill sourit, il aimait son frère entrain de chercher ce qu'il pouvait y avoir.

mourue moi

suite

....... ........
.....................................................
................................................
......................
...................

Je suis mourue ... Cynthia m'a encore tuée! ça y est, on a trouvé l'assassin, c'est elle! Elle tue ses victimes à coups de lemons!!!
Tu t'es surpassée, Cyn!! Il fait chaud, d'un coup ...
*prend une douche froide*

On sent bien le désir et cette certaine "complicité" qu'il y a entre eux, malgré tout.
Héhé, elle l'a pas vu venir, la Cynthia!
Bill? L'inspecteur arrogant? S'occuper de quelqu'un d'autre que lui? S'occuper d'un chien???


Mais alors Karl, putain ....
tuez-le!!!!!! faîtes le rotir! coupez-lui les jambes et pendez-le par les pieds!

Je m'occupe de la suite!!

waouhhhhhhh


là je dois dire que j''aimerais bien que bill m'agace et m'énerve dans ces conditions

je suis morte
y a t'il quelqu'un pour me ressusciter ??



quelle belle mort à cause d'un lemon

grrrr cette fille, c'est une folle je sens qu'elle va mettre de la merde tout comme Karl


le lemon ARRIIIBAA C'EST CHAUD XD
très bien écris, je comprend que plus d'une soit morte miam

je demande et j'exige une suite *-*

Tom se retint de balancer son dossier à la figure de son frère.
"-Bill, je sais pas si tu es au courant mais je t'ai parlé.
-Hmm? Ouais ...
-C'est cool de parler avec toi, ironisa Tom. Tout de suite, on se sent moins seul. Bill, qu'est ce que tu as dans la tête?
-Mon ... enquête.
-Arrête de rigoler du genou. Qu'est ce qui se passe, encore?"
Bill allait répondre mais son téléphone vibra dans sa poche. Il s'en empara et constata qu'il avait reçu un message. Avant qu'il ait eu le temps de le lire, Tom lui piqua son téléphone et lut le message à sa place.
"-Tom! râla Bill. Rends-moi ça!
-Quand j'aurai terminé. Alors, voyons voir ... Un message de ... Cynthia? C'est pas le rottweiler dont tu me parlais?
-Allez, rends-le moi!
-Elle dit qu'elle s'était trompée sur ton compte, qu'elle a passé un merveilleux moment avec toi, que tu fais l'amour comme un dieu ... Billou? Qu'est ce que tu as encore fait? demanda Tom avec un léger sourire en coin.
-Rends-moi mon téléphone!
-Et dire qu'il n'y a pas si longtemps, tu ne pouvais pas la voir en peinture! Excellent! Vous êtes des as, tous les deux!
-Tom, mon téléphone, ronchonna Bill.
-Allez, je te le rends, chiale pas!
-Je ne pleure pas!
-Un peu d'humour, mon vieux! poursuivit Tom en lui donnant une claque sur le dos. Allez, tu boudes un petit coup et ensuite tu écouteras ce que j'ai à te dire, d'accord?"

Les deux frères échangèrent un regard. Bill eut du mal à garder son sérieux. Finalement, ils éclatèrent tous les deux de rire.
"-Allez, qu'est ce qui t'arrive, frangin? demanda Bill en essuyant une larme tellement il avait ri.
-ça fait seulement la troisième fois que je te le dis. Je reçois des lettres anonymes et des coups de fil. On me parle d'un Harris Sullivan, ce nom te dit quelque chose?
-Rien du tout, non.
-J'ai demandé à tous les gens que je connaissais, personne n'en a entendu parler. Si ça se trouve, ce nom n'existe pas et l'auteur de ces lettres a fait ça pour se foutre de nous. Mais d'un autre côté, si ces informations étaient exactes ... Bref, je ne peux pas me permettre d'ignorer ça. Bill, parles-en autour de toi. Demande à tous les gens que tu connais si ils ont entendu ce nom. Harris Sullivan. Tout le monde, tu entends? Maître Paola Di Marco, Lena Pavlovna, ta sorcière bien aimée Cynthia, Michael Jackson la prochaine fois que tu iras chez lui ... Bref, si tu apprends quoi que ce soit sur ce type, tiens-moi au jus.
-Sans déconner, tu peux compter sur moi, assura Bill en notant le nom sur un bout de papier. Fais-voir les lettres que tu as reçues."
Bill saisit les lettres que son frère lui tendait. Il les parcourut. Elles disaient toutes à peu près la même chose. L'auteur des meurtres s'appelle Harris Sullivan. Celà fait des semaines que je lui cours derrière. Je reprends contact avec vous dés que possible. Signé, un ami.
"-C'est clair comme de l'eau de boudin, ton truc, dit Bill intrigué.
-J'ai reçu des appels, aussi. C'était une voix féminine. Je pense que c'est aussi elle qui a écrit ces lettres.
-Dans ce cas, pourquoi ne pas avoir signé <<une amie>> au lieu de <<un>> ?
-Parce que c'est plus vague, répondit Tom. Si elle avait signé "une amie", elle aurait déjà indiqué qu'elle était une femme. Et celà aurait donc été plus facile pour nous de l'identifier.
-Euh frangin, crois pas que je veux gâcher ton bonheur mais, même en ne gardant que les femmes, on a un sacré boulot pour trouver l'auteur de ces lettres. Si on le trouve, ce sera soit parce qu'il se manifestera de lui même, soit parce qu'on aura une chance de cocu! Et puis d'ailleurs, qu'est ce qui prouve que la personne qui t'écrit et celle qui te téléphone sont une seule et même personne?
-Rien du tout, Bill. Mais ce sont les seules pistes que j'ai. La femme qui me téléphone me donne exactement les mêmes informations que l'auteur des lettres. Alors à moins qu'il y ait plusieurs personnes au courant, ce qui m'étonnerait, je ne vois pas d'autre solution.
-Méfie toi, petit frère, grinça Bill. On veut peut être t'attirer dans un piège.
-J'y ai pensé, ne t'inquiète pas. Evidemment, si l'auteur demandait à me rencontrer, je prendrais mes précautions.
-Je viendrai avec toi.
-Je pense qu'il vaut mieux que j'y aille seul, répondit Tom. C'est moi qui m'occupe des disparitions de l'A6. C'est moi que le type veut voir. Toi, tu es sur l'affaire Michael Jackson. A propos, ça avance?
-Pas vraiment. Je ne trouve aucune preuve qui tienne la route pour l'inculper. Soit il est blanc comme neige, soit il dissimule très bien ses preuves.
-Non, moi je pense qu'il est innocent. Il ne correspond pas du tout au profil du pédophile.
-Plus j'y pense et plus je me dis que tu as peut être raison, admit Bill. Mais il n'empêche que le procès aura lieu.
-Je n'en doute pas. Moi je dis que cette famille veut surtout s'enrichir sur le dos de Michael Jackson. Si ça ne tenait qu'à moi, je te les aurais fait coffrer à perpèt', ces enflures!

-Si c'est bel et bien un complot, je suis d'accord avec toi. Allez, je file chez MaxiZoo.
-L'animalerie? Mais qu'est ce que tu vas faire là-bas? s'étonna Tom.
-Chercher un nouveau collier. Demain matin, je vais chercher mon nouveau chien au refuge de La Deuxième Chance. J'y suis allé tout à l'heure pour remplir les papiers.
-C'est pas là que travaille la misstinguette?
-Si, soupira Bill.
-Intéressant ... Quelque chose me dit que ça va encore être chaud quand tu vas y aller. Vous avez fait ça dans le bureau?
-Non, dans un boxe avec tous les chiens autour, ironisa l'androgyne. C'est bon, tu as fini?
-Aucun sens de l'humour. C'est quoi comme chien que tu prends?
-Une dalmatienne. Elle s'appelle Mulan, elle est belle comme tout.
-C'est à croire que tu fais exprès de prendre des chiens casse-pied, soupira Tom.
-Pourquoi tu dis ça?
-Bah, je me rappelle de ton autre chien, Sam. Très gentil mais têtu comme une mule! Comme son maître, quoi!
-Ne juge pas Mulan, tu ne l'as même pas encore vue, dit Bill.
-Non, mais je sais que les dalmatiens ne sont pas réputés pour leur obéissance. Et une fille, en plus! Mon dieu ...
-Bon, j'y vais. Je veux plus t'entendre."

_______

Assis sur un banc dans le parc, Michael sursauta quand il sentit un chien chien lui lécher les mains.
"-Alors mon grand? dit-il en reconnaissant Domino. Comment tu vas?"
Le berger allemand remuait la queue alors que Michael le grattait derrière l'oreille.
"-Où est ta maîtresse?
-Je suis là."
Michael se retourna et un sourire sincère apparut sur son visage en reconnaissant son avocate et amie. Elle s'approcha de lui pour lui serrer la main.
"-Vous boîtez, dit-il. Que vous est-il arrivé?
-Oh, rien de grave."
Ils discutèrent un instant, après s'être assis sur le banc. Domino se coucha aux pieds de Paola, en commença à somnoler. Michael sourit en voyant une telle complicité entre un maître et son chien. Paola était le patron, Domino obéissait, chacun avait sa place. Et c'était là que résidaient le respect et l'amitié qui les unissaient. Ce n'était pas être tyrannique ni cruel que de montrer à son chien qui commandait.
"-Vous voulez marcher un peu? demanda Paola.
-Vous me faîtes mal au coeur, à boîter comme ça. Je serais plus tranquille si vous restiez sagement assise un moment. Au fait, vous allez mieux? Vous n'avez pas attrapé froid après votre ... baignade?
-Non, ça va ... Personne ne m'avait encore sauvé la vie... Et vous avez été adorable de m'embrasser.
-Je n'étais pas précisément en train de vous embrasser. C'était du bouche à bouche", rectifia Michael.
Bonjour, je m'appelle Paola, je suis conne, songea la jeune femme.

"-Désolée, dit-elle, confuse. Je ne vous remercierai jamais assez de m'avoir sauvé la vie.
-Je vous en prie. Je n'allais tout de même pas vous laisser vous noyer.
-ça n'aurait pas été une grosse perte.
-Il faut pas dire ça", dit-il sans pouvoir s'empêcher de passer son bras autour des épaules de Paola.
Elle frissonna en le sentant tout à coup si proche. Michael espérait qu'elle se blottirait contre lui mais elle n'osa pas. Toutefois, elle resta près de lui, ne chercha pas à se dérober. Paola frémit en pensant au jour où, après lui avoir sauvé le vie, Michael l'avait emmenée chez lui. Il lui avait prêté un pull sec, bien trop grand pour elle qui lui arrivait à mi-cuisse. Il l'avait installée près du feu avec une couverture sur les épaules et une tisane, pendant que ses habits séchaient. On n'avait plus pris soin d'elle comme celà depuis longtemps. Ensuite, il s'était assis dans le canapé à côté d'elle et s'était mis à frictionner ses bras et son dos. Elle avait finalement osé passer ses bras autour de sa taille et poser sa tête contre son torse. Elle s'était endormie. Un petit quart d'heure, pas longtemps; mais un sommeil profond et réparateur. Son premier sommeil paisible depuis des années. Blottie contre Michael.

"-Vous êtes libre vendredi soir? demanda Michael.
-Pardon?
-Je pensais vous inviter à dîner.
-Dîner ... demain ... A ... Avec vous? dit-elle, incrédule.
-Qu'est ce que vous en dîtes?
-Euh ... Oui ... Euh, NON! ... Enfin je veux dire non! Enfin oui! ... Ce serait avec joie.
-Parfait, répondit-il. Je passe vous chercher à dix neuf heures trente?"
Paola sourit et accepta. Karl était parti en voyage quelques jours, c'était le moment ou jamais. Michael sourit et saisit la main de Paola pour la porter à ses lèvres. Ce contact fit frissonner la jeune femme, de légers picotements se firent sentir dans le bas de son ventre et au creux de ses reins.
______________

Tom sonna à la porte de l'appartement de Bill, puisque son frère l'avait invité à manger avec lui. A peine avait-il sonné qu'il entendit un chien aboyer derrière la porte. Tom sourit. Il avait hâte de voir à quoi ressemblait la nouvelle venue. Bon, il savait comment étaient les dalmatiens bien sûr mais chacun était différent, aucun n'avait les mêmes tâches, ni la même tête. Certains étaient marrons, d'autres noirs ... Bref! Tom entendit les pas de son frère se rapprocher de la porte.
"-Pousse-toi Mulan", dit la voix de son frère derrière le battant.
La clef tourna dans la serrure et la porte s'ouvrit.
"-Rentre vite", dit Bill qui retenait la chienne derrière la porte pour qu'elle ne sorte pas.
Tom obéit. Bill referma alors la porte et Mulan sauta sur Tom en remuant la queue. Tom sourit en regardant la chienne.
"-Elle est toute jeune, elle n'a pas un an, dit-il. Elle est très magnifique, d'ailleurs. Ces petites tâches bien dessinées, ces grands yeux brillants ...
-Tu vois, je t'avais bien dit de pas la juger avant de l'avoir vue, triompha Bill.
-Je n'ai jamais dit qu'elle serait moche. J'ai simplement dit que ça allait être une chieuse, comme tous les dalmatiens. Et en plus avec un maître comme toi, ça va être joli. Te laisse pas pervertir par cet impertinent, jeune fille", dit Tom en s'adressant à Mulan.
Au moment du repas, Mulan, assise dans un coin, scrutait la salle à manger, elle la parcourait du regard.
"-Qu'est ce que je pourrais bien faire comme bêtise, dit Tom en imaginant ce que la chienne pouvait penser.
-N'importe quoi. N'écoute pas le méchant monsieur, ma belle.
-Ouais, ça lui donnerait des idées. Encore que je pense qu'elle aura pas besoin qu'on lui en donne! Elle doit en avoir toute une panoplie pour faire les quatre-cent coups chez toi.
-Tu dis ça parce que tu es jaloux. Tu aimerais bien avoir une jolie petite chienne, toi aussi, plaisanta Bill.
-Non merci. J'ai déjà Dragibus à la maison. Il est adulte, il est calme, LUI! Pas comme certaines. Suivez mon regard.
-Mais elle n'a encore rien fait.
-Pour l'instant, dit Tom en souriant. Où elle est passée, d'ailleurs?"
A peine Tom avait-il terminé sa phrase que Mulan déboula dans le salon en déchiquetant un rouleau de sopalin "empreinté" dans la cuisine.

Spoiler:

______________

Dans son lit, Paola ne parvenait pas à s'endormir. Elle n'arrivait pas à croire qu'elle avait un rendez-vous avec Michael vendredi soir! Et quelque chose lui disait que ce rendez-vous n'aurait rien de professionnel. Elle glissa ses doigts dans le pelage soyeux de Domino, qui était couché près d'elle sur son lit. Le chien lui lécha les doigts.
"-Il est formidable, tu sais Domino, dit-elle. Je comprends pas qu'on puisse l'accuser de pédophilie. Il est souriant, attentionné ... drôle, aussi! Comment peut-on le haïr au point de le traîner dans la boue comme ça ..."
Son téléphone vibra sur la table de nuit. Paola s'en empara et lut le message qu'elle venait de recevoir. Un texto de Michael. <<Je sais pas vous mais je tiens plus en place! J'ai tellement hâte à vendredi, comme un gamin qui attend Noël. Je vous embrasse, bonne nuit Paola.>>
La jeune femme sourit. De nouveau, ces picotements dans le creux de ses reins ...

comme le chien est juste trop beau
j'ai trop adorer!!!!!!!
et comme tom embête son frère c'est trop fort, surtout le coup du sms

et Michael et Paola c'est trop chou

aller Paola laisse tomber ton connard Michael m'attend que toi
Mulan est adorable, c'est drôle j'écoutais justement ce film hier XD

j'espère que l'enquêtes de Tom va avancer avec tout ses appels et lettres

suite je vous n'aimes

mulan est magnifique... bill l'a bien choisie
les twins me font trop rire avec leurs discussions

paola va prendre du bon temps avec michael
elle ressent enfin des émotions de femme

ra paola laisse tomber Karl!!! Michael est 100000 x mieux!

trop belle Mulan *_*
mdr Tom qui charie son frère ptdr

suite svp

vais m occuper de la suite

Le lendemain Bill se dirige vers la demeure de Michael Jackson, quand Michael le vois faire son entrée dans la cour, il a peur de la réaction de Cynthia, on ne pouvait pas dire que c'était l'entente parfaite, il sonne a la porte.
Cynthia: j'y vais ( se lève)
Michael: oui mais soit gentille cette fois-ci
Il regardait Paola et tout les deux se regardent et se comprennent
Paola ( rit): faut pas trop rêver non plus
Puis ils entendent la porte s'ouvrir, ils s'attendaient a entendre des cris et des insultes, mais rien du tout, on pouvait entendre un oiseaux siffler, tout les deux se regardent ébahis.
Paola: comme c'est calme
Michael: elle est malade?
Puis il entende Bill arriver, le vois la mine détendu avec le sourire, ca aussi ca les étonnes. Il salue Paola et Michael en leur serrant la main a tout les deux.
Michael: vous venez a quel sujet?
Bill: il se peux que j'ai peut-être fais fausse route sur l'enquête
Paola: c'est a dire
Bill: il se peut que les parents du garçon ait fait tout ca pour l'argent.
Cynthia: si vous auriez fait votre boulot correctement ( ris)
Bill ( rit): j'ai pas besoin d'une enquiquineuse pour me le dire
Michael fut surpris de pas entendre Cynthia crier a l'injustice mais rien du tout.
michael: c'est bien de le reconnaître
Bill: par contre je pourrais pas éviter le procés
Michael :je m'en doute

Bill pris alors congés d'eux en leur serrant la main, Cynthia le raccompagne. Michael et Paola suivent discrètement pour surveiller, il trouvait sa louche. Prés de la porte, Bill se retourne subitement et fait face a CYnthia, en la regardant dans les yeux et en lui faisant un sourire plus que charmeur, un regard qu'on résiste pas, il y a quelque temps sa colère aurait fulminer mais depuis le moment qu'ils ont passer.
Il continue de la regarder et pose furtivement une de ses main sur ses hanches, approche son visage de son cou, son souffle s'arrêtant sur sa peau et s'approche de son oreille et lui chuchote.....
Bill: venez chez moi ce soir
Il lui fait un clin d'oeil et s'en va

Elle revenait au salon et elle voit Michael et Paola lui font de grand yeux
Cynthia: ses quoi ses regards
Michael ( ) : alors on frippote avec l'inspecteur
Cynthia fait de grand yeux toute surprise, et eux ont les les yeux
Paola: tu nous fais des cachoteries
Michael: toi et l'inspecteur.... comme il t'a regarder
Paola: ca dure depuis combien de temps
Cynthia: vous vous tromper
Michael: arrête tu sais pas mentir
Paola: avant tu l insultait et la plus rien, toute gentille
Cynthia : je monte
Elle part et Michael et Paola rient
Michael: j'en était sur que ca allait arriver


De son côté Tom continuait de recevoir des appels anonymes, on le pressait d'être moin borner, on lui offrait un suspect tout désigner on lui disait de suivre cette piste. Il fallait bien dire qu'il était entrain de piétiner dans cet affaire, il n'avait pas réussis a trouver le moindre indice, ni le moindre suspect, et il devait bien l'admettre sans ses appels et ses lettres, il ne serait jamais arriver a mettre la main sur ce Harris Sullivan, il devait en tenir compte.
Tom: ca me coûte rien de me renseigner
Il tape alors dans le bande de données de la police ce nom, et il ne fût pas déçus du résultat
Tom: et ben dis donc....
Le moins que l'on puisse dire c'est qu'il avait un passé charger. Plusieurs arrestions pour stupéfiant, des vols...
Tom: tient intéressant ca
Plusieurs arrestations pour violence et agressions, mais n'a jamais était condamné. Les victimes ayant retirer subitement leur plaintes.
Tom: c'est habile.... aprés on peut plus rien prouver

Mais quand il s'interesse a son histoire personelle c'est encore plus troublant. Sa mère a disparue de manière inexpliquer quand il avait 9 ans, son père s'est remarier tout de suite aprés, apparement ce petit a était frapper par sa belle-mère. On ne lui connait aucune histoire amoureuse.
Tom: ca expliquerais pourquoi il n'aime pas les femme
A ses dix-huit elle l'a mis dehors et depuis il n'a plus de contact avec sa famille, pas de boulot fixe, des ptits boulot de gauche a droite, juste assez pour survivre, et fait intéréssant, il vit dans une baraque qu'il s'est aménagée et tout prés de l'autoroute où les enlévements on eut lieu, bizard comme coïncidences.
Tom: tiens... je crois que je vais rendre visite a ce type

Lena: tu ne sais faire rien d'autre toi
Elle était toujours entrain de surveiller Paola, elle n'aimait pas qu'elle puisse être en contact avec Bill, encore moins qu'il puisse se passer quelque chose
Lena: il est a moi
Ca la rendait malade de pouvoir l'imaginer avec une autre femme que lui, une autre femme qu'elle. Elle surveillait Paola. Le matin elle se rendait au Manoir de Jackson restant un moment avant d'aller a son bureau, puis le magasin, puis chez elle, ou elle ne bougeait pas jusqu'au lendemain.
Lena: rien de bien palpitant Maître.... qu'est-ce que vous faites tout le temps chez monsieur Jackson...
D'accord elle savait qu'elle était son avocate, c'était devenus de nororiété publique, les médias en parlait, mais elle passait vraiment beaucoup de temps la-bas, et toujours pas de trace de Bill dans son emplois du temps. Ou bien peut-être qu'il voyait une autre femme, qu'elle c'était focaliser sur cette avocate pour rien. Il la rendait folle. Aucune autre femme ne s'approcherait de Bill, elle mettrait a sa disposition pour l'évincer. Et elle se demandait si elle ne devait pas se mettre a espionner Bill.
Lena: mais ca pose un problème
Bill savait trés bien quand on le suivait, il avait un sixième sens, elle devait y réfléchir a deux fois avant de choisir cette option.

Pendant ce temps Paola respirait un brin de tranquilité, Karl était partis pour quelque jours pour le travail. Elle se souvenait comment ca avait mal fini l'autre soir, sa cheville était moins douleureuse mais la trace en était encore visible. Ca lui faisait du bien de se retrouver seule, elle se sentait juste bien comme, assise dans son canapé, des bougies allumer, elle c'était fait commander a manger, et était installer sur son canapé, elle était juste bie, malgré qu'elle était seule, elle se sentait étrangement en sécurité.
Mais la sonnerie du téléphone se fit entendre.
....: bonjour ma chérie
Son sang c'était glacer pendant une fraction de secondes
Paola: Karl.....
Karl: je vous entendre ta voix avant de dormir
Paola: oui
Karl: je t'aime a bientôt mon coeur
Il raccrocha, il faisait toujours ca aprés qu'il l'ai violenter, faire le beau, comme si tout allait bien, Paola se sentait tout a coup trés mal. Elle culpabilisait. Et si il était comme ca a cause d'elle, si tout était sa faute.

Le soir même Cynthia se rend chez Bill comme c'était prévus. Il habitait dans un quartier assez hupper de la ville dans une résidence de très grand standing, il ne se refusait rien. Il lui ouvrit alors la porte, et elle eu droit a un sourire plus que charmeur. Elle entra et pus remarquer l'élégance de son intérieur, il y avait beaucoup d'espace et cela était décorer avec beaucoup de goût et elle peut remarquer son goût pronnoncer pour l'art. Elle aimait beaucoup l'endroit a la fois moderne et chaleureux.
Cynthia: trés jolie
Bill ( fière): c'est moi qui a tout fait
Cynthia: vous avez beaucoup de goût ( il lui souris d'une manière d'un séducteur) pour quelqu'un de si arrogant
Bill: et vous toujours l'amabilité d'un courant air ( sans la quitter des yeux)
Cynthia ( le fixe a son tour): il me semble que vous aimer ce courant d'air l'autre jour
Bill ( le regard provoquant): ca c'est certain j'ai hâte de regoûter a ce courant d'air
Cynthia ( le regarde): vous m'en direz tant inspecteur....
Puis c'est autour de Mulan de l'accueillir, le petit chien venait de la reconnaître, elle viens se frotter a elle pour avoir des caresses, Cynthia ne peut lui le refuser, vus le temps qu'elle avait passer avec elle.
Cynthia ( la caressant): toujours aussi fofolle toi
Bill ( rit): je confirme
Son regard se lève alors vers lui...........

Tout deux se regardent et comme l'autre jour ils n'arrivent pas a s'en détacher. Son regard était attirant et charmeur. Il portait un pantalon assez serrer, une chemise blanche lègérement transparente et ouverte a moitié, laissant apparaître une grande partis de son torse, elle était toute chose, il était sexy. Il était un appel a la débauche, elle n'allait pas résister longtemps. L'ambiance entre eux se faisait a nouveau électrique. Bill le remarque, lui prends sa main et l'enmène dans sa chambre où il ferma la porte, il l'attire a elle
Bill ( a son cou): c'est pour ça que je vous ais fait venir
Cynthia ( ses mains sous sa chemise): j'ai faillis attendre
Le contact de la jeune femme sur sa peau le rendait fou
Bill ( lui mordille la peau de son cou): j'ai trop envie de vous
Cynthia ( continus de le caresser): montrez moi ca......

Le lendemain Bill l'avait inviter pour une ballade avec Mulan, ils sont dans le parc
Cynthia: je vais finir par croire que vous pouvez plus vous passez de moi
Bill se rapproche alors d'elle et la regarde
Bill: c'est vous prêter beaucoup d'importance ma chére
Puis Cynthia reconnut quelqu'un au loin
Cynthia: Maud
La jeune femme se retourne et reconnait son amie, elle se dirige vers et elle se prennent dans les bras
Maud: ca faisait longtemps
Cynthia ( regarde Bill): c'est une de mes amie,c'est une brillante radiesthésiste, elle a déja aider beaucoup la police
Maud: toujours aussi modeste
Cynthia: je te présente l'inspecteur Bill Kaulitz
Tout les deux se serrent la main
Bill: je crois pas en ses choses la
Cynthia: Vous croyer en rien de toute façon
Bill: a des choses que votre cerveau ne pourrait pas comprendre ( rit)
Aprés un moment a discuter Maud repris sa route, et les deux autres aussi accompagner de Mulan.

j'adore, mmm c chaud entre l'inspecteur et Cynthia *-*

suite stp Maud

ps: c'est quoi radiesthésiste?

héhé!!! j'adore!!!
Comme Michael et Paola interrogent Cynthia!
mais en même temps, pourquoi ils posent les questions, ils connaissent les réponses.

Tu gères bien la relation entre bill et cyn!
j'adore! les vacheries et la complicité mélées, c'est génial! ^^

Alors pour répondre à la questionde Floriane, la radiesthésie est l'utilisation d'un pendule. Comme le professeur Tournesol dans tintin, quoi. ^^
on peut s'en servir pour retrouver des objets perdus, entrer en contact avec les esprits, localiser certaines choses etc.
Tu tiens le pendule dans ta main en lui posant des questions.
Si il tourne dans le sens des aiguilles d'une montre, ça veut dire oui.
Dans le sens inverse, ça veut dire non.

Après, on y croit ou on n'y croit pas hein. ^^
C'est vrai que n'importe quoi peut faire bouger le pendule, finalement. Un léger courant d'air, les mouvements qu'on fait inconsciemment avec le bras etc...
Mais c'est quand même dingue les choses qu'on peut faire avec un pendule!
Une fois, en montagne, les secours avaient fait appel à un radiéthésiste pour retrouver une personne disparue dans une avalanche et ça avait marché.

Bon, c'est pas tout ça mais je vais mettre la suite en chantier. ^^

ah ok je savais pas ^^"" merci pour l'explication

et oui une suite

La voiture de Tom s'arrêta devant l'allée de la maison supposée de Harris Sullivan. Par mesure de précaution, Tom avait emmené quelques uns de ses hommes avec lui. Il avança vers la maison. Elle tombait quasiment en ruines, les murs étaient lézardés et envahis par le lierre. L'endroit semblait mort. Tom déglutit et frappa à la porte. Après quelques instants, il entendit remuer à l'intérieur. Des pas qui se rapprochaient. Enfin, la clef tourna dans la serrure et la porte s'ouvrit.
"-Bonjour, fit Tom. Monsieur Harris Sullivan?
-Oui c'est moi, répondit-il.
-Inspecteur Tom Kaulitz, dit-il en montrant son insigne. Pouvons-nous ... abuser de votre hospitalité?"
Harris se poussa pour les laisser entrer, sans un mot. Il referma la porte derrière eux. D'emblée, Tom fut saisi par l'atmosphère pesante des lieux et se retint de ressortir en courant. L'intérieur était plutôt bien tenu et propre, bien que la maison soit très vieille. Le salon était très sombre, comme si aucun rayon de soleil n'y était entré depuis des lustres. L'ampoule au plafond diffusait une lumière assez faible et semblait constamment sur le point de s'éteindre. Deux vieux fauteuils rapés étaient disposé l'un en face de l'autre, autour d'une petite table. Sur l'un des fauteuils, un chat noir, qui n'était guère en meilleur état que le reste, venait de se réveiller en entendant les visiteurs entrer. Il s'étira et bailla à s'en décrocher la mâchoire, avant d'émettre un miaulement aussi grinçant que désagréable. Harris s'avança vers le chat et le gratta légèrement derrière l'oreille. Dans un coin du salon se trouvait un très vieux mannequin, qui ajoutait encore au côté glauque des lieux. Tom tâcha de l'ignorer et se tourna vers Harris.
"-Mr Sullivan, nous aimerions vous poser quelques questions, dans le cadre de notre enquête. Vous n'êtes pas sans savoir, j'imagine, que plusieurs jeunes filles ont disparu mystérieusement le long de l'autoroute A6.
-Oui, je suis au courant.
-L'une d'elle, Charlotte Brown, a été retrouvée morte il y a quelques semaines. Hier soir, une nouvelle jeune fille a disparu. Il s'agit de Marina Bell. Vous habitez à quelques kilomètres à peine de cette autoroute, Mr Sullivan. Vous n'avez rien remarqué de suspect?
-Rien du tout, inspecteur, répondit Harris. Si un détail me revient, je vous en ferai part.
-J'y compte bien ... Aussi, dans la police, pour nous aider dans de nouvelles enquêtes, il nous arrive quelque fois de fourrer le nez dans quelques vieux dossiers, histoire de voir si il n'y a pas moyen de faire des rapprochements entre deux affaires. Et il me semble que vous n'êtes pas inconnus des service de police, n'est ce pas?"

Harris ne nia pas, se contentant de soutenir le regard de Tom, attendant la suite de son raisonnement.
"-Et il se trouve que nous avons reçu des appels et des lettres anonymes, poursuivit Tom. La personne qui nous a contactés ... pense que vous y êtes pour quelque chose dans ces disparitions.
-Et vous avez l'habitude de prendre tout ce qu'on vous dit au pied de la lettre?
-Non. Mais vous comprendrez bien que nous devons suivre toutes les pistes possibles. Etant donné que la police vous connaît déjà un peu, que vous vous êtes déjà fait échaudé pour des histoires de vols, de traffique d'armes et de stupéfiants, et enfin que des jeunes filles disparaissent à quelques kilomètres à peine de l'endroit où vous vous trouvez; ça ne joue pas en votre faveur, Mr Sullivan.
-Je comprends inspecteur, répondit Harris. Pour les drogues, les armes, les vols, etc, je ne dis pas. Mais dans cette nouvelle enquête, je n'y suis pour rien. Pour une fois, ce n'est pas moi.
-Dans ce cas, vous n'avez rien à craindre. Mes collègues et moi aimerions vous recevoir au comissariat. Je serais désolé que vous décliniez notre invitation."
Harris haussa les épaules. Après tout, résister ne servirait à rien sauf à paraître encore plus suspect aux yeux de la police.
____________

Paola était occupée à masser sa cheville encore douloureuse quand son téléphone vibra sur son bureau. Domino le prit délicatement dans sa gueule et le lui apporta. Paola lut le message qu'elle venait de recevoir. C'était un texto de Michael. <<Plus que quelques heures! Vous me manquez horriblement!>> Paola sourit. Pourquoi attendre, alors?

Michael ne tenait plus en place. Plus que trois heures et enfin, il prendrait sa voiture pour aller chercher Paola. Il ne cessait de lever les yeux vers la pendule du salon. Pourquoi fallait-il que le temps passe si lentement? Parfois, il se retenait le plus longtemps possible de regarder l'heure. Quand enfin, il craquait, c'était pour s'appercevoir que seules cinq malheureuses minutes s'étaient écoulées. C'était à croire que cette maudite pendule le faisait exprès! Il s'efforçait de s'occuper l'esprit en pianotant sur son ordinateur quand on sonna à la porte. Il se leva pour aller ouvrir et tomba nez à nez avec ...
"-Paola? dit-il. Mais que faîtes-vous là? Je croyais que ...
-C'était trop long, vous me manquiez trop. Je ne vous dérange pas?
-Pas du tout! Vous ... êtes sûre que tout va bien?"
Paola lui paraissait plus pâle et plus fatiguée que d'habitude.
"-Vous avez l'air éreintée, que s'est-il passé?"
Paola ne répondit pas. Une nouvelle prise de tête au téléphone avec Karl avait suffit à lui mettre le moral dans les chaussettes.
"-Vu votre état, je ne pense pas que ça serait raisonnable de sortir ce soir."
Paola ouvrit la bouche pour protester mais Michael posa son index sur ses lèvres.
"-En revanche, on peut commander quelque chose et passer la soirée ici."
La jeune femme crut mourir de soulagement! Peu lui importait l'endroit, tant qu'elle était avec Michael! Ce dernier sourit et glissa son bras autour de sa taille pour la faire rentrer. Une fois dans la maison, elle se tourna vers Michael. Ils se regardèrent un instant, puis il passa doucement ses bras autour d'elle pour la serrer contre lui. Paola ferma les yeux et l'étreignit à son tour.
_____________

Bill était assis dans un café et attendait la jeune radio ... radié ... radis ... Enfin bref, il l'attendait! Enfin, Maud entra dans le café et le rejoignit.
"-Bonjour inspecteur, dit-elle.
-Bonjour mademoiselle. Asseyez-vous.
-Merci."
Après avoir échangé quelques mots ...
"-Alors? Pourquoi vouliez-vous me voir? demanda-t-elle.
-Je voulais que vous m'expliquiez un peu le principe de la radia ... ra ...
-Radiesthésie. En fait, c'est assez simple. Le pendule peut être considéré comme la prolongation de votre bras. Vous lui posez une question, et vous en déduisez la réponse suivant les oscillations du pendule. Vous pouvez aussi l'utiliser pour localiser un objet ou une personne.
-Mais n'importe quoi peut le faire bouger, au final, dit Bill en haussant les épaules.
-C'est vrai. C'est pour ça qu'il faut éviter de travailler dans un endroit plein de courants d'air, ni faire de mouvements trop brusques.
-C'est bien mignon votre truc mais je reste sceptique.
-Je le comprends, inspecteur. Vous n'êtes pas le seul. Et mieux vaut garder une certaine distance avec la radiesthésie. Mais vous savez, on a réussi à retrouver des personnes portées disparues avec ça."
Bill rit.
"-Je vois où vous voulez en venir. Ecoutez mademoiselle, c'est mon frère qui s'occupe des disparitions de l'autoroute A6. Si vous voulez, vous pouvez lui proposer votre aide. Mais je doute qu'il accepte de se reposer sur quelque chose d'aussi nébuleux et subjectif que la radiii..."
Au tour de Maud, de rire.
"-Ra-diés-thé-sie. Vous avez vraiment un problème avec ce mot! Je vais vous le faire copier cent fois. Mais dîtes, vous ne m'avez pas faite venir ici juste pour me dire que mon travail était nul, non?
-Ben, je voulais en savoir plus sur la ra... Sur votre domaine."
Maud sourit. Elle sortit un petit sachet en tissu de son sac. Elle en tira un pendule en cristal de roche.
"-Je vous présente Jean-Gildebert, dit-elle.
-Bonjour Jean-Gil... Ne me dites pas que vous avez donné un nom à votre pendule! Enfin, c'est un objet!
-Ne dîtes pas ça, il va se vexer! Jean-Gildebert est très susceptible! Pas autant que Charles-Apollon, celà dit.
-Mais vous en avez combien des pendules? s'étonna Bill.
-Dix-huit. Maintenant taisez-vous, Jean-Gildebert et moi aimerions bien nous concentrer!"
Maud saisit la chaînette qui retenait le pendule en cristal et ferma les yeux. Bill passa la main sur son visage. Il avait déjà échaudé des types pour attitude bizarre. Et ils étaient moins bizarres que cette nana... Maud se concentra un moment. Le pendule, jusqu'alors immobile, commença à osciller. Bill cligna des yeux. pourtant, il ne voyait pas le bras de Maud bouger! Et il n'y avait pas courant d'air! Mais le pendule bougeait!
"-Il y a quelqu'un qui vous observe, murmura-t-elle en ouvrant les yeux. Dans le coin de la pièce, derrière moi."
Bill jeta un coup d'oeil discrètement et vit Lena qui faisait semblant de lire le journal, à quelques mètres. Comment Maud avait-elle pu la voir puisqu'elle lui tournait le dos????
_________

Assis sur le bord de la piscine, Michael regardait en souriant Paola, qu'il avait réussi à convaincre de sa baigner ... toute habillée. La piscine était située dans une grande véranda, bien à l'abri du froid extérieur. La jeune femme arriva enfin dans une zone où elle avait pied et se rapprocha du bord; sortant progressivement de l'eau.
"-Alors ça, dit-elle avec un grand sourire. C'est la meilleure soirée que j'ai jamais passée."
Michael se mordit les lèvres en voyant sa robe beige lui coller au corps, épousant parfaitement ses courbes. La jeune femme vint s'assoir à côté de lui sur le rebord.
"-Merci pour tout, Michael, dit-elle avant de l'embrasser sur la joue.
-Mais de rien, ça me fait plaisir que vous soyez là.
-Je me demande ce que diraient les médias si ils nous voyaient...
-Ne vous arrêtez pas aux qu'en dira-t-on, dit-il. J'en ai vu assez pour dire que ça peut vous rendre malade. Quoi que vous fassiez, les autres critiqueront. Alors faîtes comme vous le sentez.
-Vous avez raison.
-Allez, venez vous sécher. Vous allez geler, avec vos vêtements mouillés.
-Mais j'ai pas de rechange."

Un peu plus tard, Paola était installée sur un coussin près du feu, emmitoufflée dans un pull que Michael lui avait prêté et une grande couverture sur les épaules. Michael vint s'assoir près d'elle et lui tendit une tasse de chocolat, qu'elle accepta avec reconnaissance. Ils discutèrent encore un petit moment. Puis, Michael se rapprocha de la jeune femme et glissa son bras autour d'elle. Paola frissonna mais ne se déroba pas. Elle ferma les yeux et un léger soupir lui échappa quand Michael l'embrassa délicatement dans le cou. Paola porta sa tasse à ses lèvres et but une gorgée pour se ressaisir.
"-Vous avez un peu de chocolat sur les lèvres, dit Michael en souriant.
-Oups."
Michael l'arrêta quand elle voulut s'essuyer les lèvres. Il glissa son index sous le menton de la jeune femme et approcha son visage, frottant le bout de son nez contre le sien. Il frissonna en sentant que Paola était troublée. Troublée, mais apparemment réceptive et disponible, puisqu'elle ne le repoussait pas. Un sourire apparut sur son visage en voyant la très légère trace de chocolat sur les lèvres de sa partenaire. Elle voulut de nouveau essuyer sa bouche avec sa serviette mais il l'en empêcha de nouveau.
"-C'est pas bien, de gâcher", murmura-t-il avant de l'embrasser.
Un long frisson parcourut le dos de Paola quand elle sentit la bouche de Michael contre la sienne. Elle ferma les yeux et tâcha de maîtriser sa respiration tandis qu'il l'embrassait. Le baiser de Michael était aussi doux que passionné. Personne ne l'avait embrassée comme ça. Elle sentit la langue de son compagnon caresser ses lèvres, lui demandant l'accès. Paola finit par passer ses bras autour du cou de Michael.
"-Je vous aime, murmura-t-elle. Je ne sais pas combien de fois j'ai essayé de vous le dire.
-Il me semble que, étant données les circonstances, on pourrait se tutoyer." répondit-il avant de l'embrasser de nouveau.

Paola répondit sans hésiter au baiser de Michael. Elle ne résista pas quand il l'allongea sur le tapis et se coucha au dessus d'elle, sans cesser de l'embrasser. Michael frissonna en sentant qu'elle le serrait contre elle, en devinant comme elle avait besoin d'affection. Il l'embrassa avec passion, passa ses doigts dans ses cheveux, fit jouer sa langue avec la sienne. La jeune femme l'arrêta gentillement.
"-Tu m'en voudrais si ... on attendait un peu avant de ...
-Je ne pensais pas te faire l'amour tout de suite, si ça peut te rassurer. Et non, je ne t'en veux pas, mon coeur."
Paola sourit et glissa sa main derrière la nuque de Michael pour attirer sa bouche sur la sienne.

ENFIN!!!! YOUPI!!!!!
maintenant loup garou Flo arrive et fou Karl au cimetière

Bill et les mots ptdr

suite suite

aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa
suite suite