Ge: Stop! Ça suffit arrêtez!
Il lève la tête et la regarde, une lueur d’interrogation dans les yeux.
Ge: On ne peut pas faire ça!
Bill: Vous plaisantez là...vous avez vu dans quel état je suis à cause de vous.
Sa voix est rauque et sensuel, son corps se presse encore plus fort contre celui de la brune.
Ge: Je...han...non! Je ne peux pas....je suis votre professeure enfin et j’ai...je suis plus âgée que vous.
Bill: Rien à foutre...
Ge: Je pourrais perdre mon emploi si on nous voit...
Bill: Si ce n’est que ça je peux très bien aller vous rende une petite visite ce soir.
La femme déglutit devant l’air aguicheur de son élève qui continue de se frotter légèrement contre elle alors qu’elle tente de reculé en posant les mains sur son torse.
Ge: Ce n’est pas une bonne idée...on ne devrait pas.
Bill: Pourquoi? Vous en avez autant envie que moi, je le sais bien.
Ge: Non, non, écoutez je...je ne peux pas...
Bill: Vous ne pouvez pas....pas vous ne voulez pas...ça peut toujours s’arranger, on peut garder le secret, ça ferait un petit plus, un peu d’adrénaline.
Ge halète alors qu’il presse fermement le derrière de ses cuisses et lui donne un léger coup de bassin. Elle plonge son regard dans celui, noir de désir de son élève.
Bill: Je vous en prie, arrêtez de vous retenir, laissez-vous aller, vous allez adorer.
Il souffle sur les lèvres roses et humide de sa professeur et les frôlent des siennes, sa langue vient titiller le contour de la bouche de la belle, elle gémit. Elle a beau avoir essayé, elle n’y est pas arrivé, elle ne peux pas...lui résister, c’est trop dure pour elle.
Ge: Pas ici....
Bill: Très bien....ce soir alors...chez vous?
Ge: Ok...je...je vous donne mon adresse...mais je vous en prie lâchez moi, je ne veux pas me faire surprendre.
Bill: Bon d’accord.
Il pose un dernier baiser fougueux sur ses lèvres et se recule. Ge écrit son adresse sur un bout de papier et sort le plus vite possible, le souffle court, tentant de calmer les battements de son cœur.
Ge: Mais qu’est-ce que je fais moi....
Ce soir là...
Ge: Oh seigneur....calme toi ma vielle....mais qu’est-ce que tu fabriques au juste hen? Tu es devenue folle c’est sur...et en plus tu parles toute seule!
La pauvre femme continue de lancer tout ses vêtements à travers la pièce en pestant contre elle même.
Ge: Tu es ridicule! Tu ne sais même pas quoi porté...tu aurais pus rester comme tu étais...mais non...y’a fallu que tu essaie de jouer les miss sexy.
Elle a pris sa douche, s’est soigneusement épilé tout le corps, à coiffé ses cheveux qui tombe librement, en de belles vagues, sur ses épaules, elle à appliquer un beau maquillage smoke eyes, enfiler sa plus belle ensemble de sous-vêtements et maintenant elle cherche quoi se mettre. Elle essaie plusieurs ensemble, trouvant sans cesse un nouveau défaut, trop court, trop long, trop blanc, trop coloré, trop noir, trop bouffant, trop moulant....
Ge: Et si je....non...non...tu t’es promis de ne jamais porté ça....cette idée de Ness de t’acheté ça, soit disant pour te décoincé un peu.
Elle lève les yeux vers le haut de son armoire et soupire avant de se levé sur la pointe des pieds et de tiré une boite vers elle. Elle la pose sur le lit et en sort un superbe bout de tissu léger et soyeux.
Ge: Je crois que...bon aller lance toi ma vielle.
Elle enfile délicatement la robe qui tombe avec grâce sur son corps tout en courbe. Elle se regarde dans la miroir et sa bouche s’ouvre d’elle-même.
Ge: C’est moi ça!
Il s’agit d’une magnifique robe d’un rouge satiné, les bretelles tombe sur les épaules et sa poitrine plantureuse est mise en évidence avec un superbe décolté en cœur décoré de tissu noir transparent. Une longue fente commence au milieu de sa cuisse et dévoile l’une de ses belles jambes galbé, le même tissu que sur le décolté décore les bords de la fente ainsi que le bas de la robe et le contour des bretelles.
Ge: C’est peut-être...exagéré....
La sonnette de l’entrée ne lui laisse pas le temps de réagir, elle lâche un petit vcri d’angoisse et court dans le haut des escaliers.
Ge: Entrez!
La porte s’ouvre et Bill entre à l’intérieur, elle ne peut pas le voir d’ou elle est.
Ge: Je...je n’ai pas fini de m’habiller, assoyez-vous au salon.
Bill: Ce n’est pas un problème si tu n’es pas habillé...
La dernière phrase à été murmurer, elle ne l’a donc pas entendu. Elle court dans sa chambre et se regarde dans le miroir une dernière fois avant de commencer à descendre la fermeture de la robe. Elle n’entend pas les pas légers de son élève, ne voit pas la porte qui s’ouvre lentement, ne remarque pas le beau brun qui regarde la robe tombé sur le sol.
Les yeux déjà noir de désir du jeune homme se promène sur le corps de sa prof, depuis le temps qu’il veut voir ça. Il s’arrête à ses fesses rebondies, bien moulé dans une culotte noir s’arrêtant à la moitié de ses fesses, il suit la courbe de ses reins puis redescend pour admirer ses jambes. Il commence à haleter, elle n’a toujours rien vu, elle se retourne lentement vers son armoire et se fige. Elle le voit, la dévorant des yeux, les yeux brillants, les mains moites et...une bosse évidente dans son skinny moulant. Il a mis le paquet lui aussi, portant ses plus beaux vêtements moulant, coiffant ses cheveux à la perfection, maquillant légèrement ses yeux. Il se regarde un moment, lisant le désir et l’envie dans les yeux de l’autre. Le jeune homme se décide enfin à bouger et s’avance d’un pas rapide vers la belle brune...
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moi sadique.....jamais
mais je vais me rattraper promis, ça va être torride