[fan fic] Le temps passe, tout change

non mais oh c'est quoi ce bin's là!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

putin Bill tu vas me fair le plaisir de quitter ta greluche sur le champs
pauvre Saby

SUIITE

Après ça elle sait couché en boule sur son lit, les larmes ont coulé silencieusement pendant un moment avant de s’assécher et qu’elle ne reste là sans expression. Le téléphone à sonner plusieurs fois, ses parents sont venus cogner, mais elle ne répond pas, la porte est verrouiller, elle ne veut voir personne. Maintenant elle erre dans sa chambre sans but, des pensée passent et repasse dans sa tête, elle ne fait que se dénigrer. Comment aurait-il pus un jour l’aimer, après tout elle n’en vaut sans doute pas la peine. Trop jeune, trop idiote, trop laide, trop si et trop ça. Le téléphone sonne pour la millième fois il lui semble, son père vient cogner, encore. Son ton est inquiet, elle lui répond par un simple son, juste pour le rassurer.
Hugo: Je sais que t’es là, nous sommes tous inquiet pour toi, que c’est-il passé? Les twins on l’air désespérés.
Tu parles qu’ils sont inquiets, ils en ont rien a foutre, en plus Tom est un menteur!
Saby: Ce sont que des menteurs et des tricheurs!
Hugo: Quoi? Mais mon ange, ils t’adorent et toi aussi...
Saby: Non je les déteste!
Hugo: Ne dit pas ça voyons.
Saby: Laisse moi tranquille!
Hugo: Bon...
Il s’éloigne lentement en parlant à l’un des jumeaux au téléphone.
Saby: Menteur...menteur...menteur...pourquoi il me fait ça...je suis pas assez bien pour lui...c’est surement ça...
Elle s’arrête devant le miroir et s’y scrute attentivement.
Saby: Je suis beaucoup trop grosse! Mes hanches et mes cuisses sont dégoutantes! Et mes seins...et ce ventre....je dois faire un régime...et changer de look tien. Teindre mes cheveux et m’acheter des vêtements plus sexy, au moins deux tailles en dessous, ça va me motiver, faut que je rentre dedans...en attendant je vais porter des trucs amples, je peux pas croire que je sors comme ça dans la rue, je suis énorme...pas étonnant qu’il veule pas de moi, je suis obèse à côté de lui...et en plus j’ai les cheveux noir, il aime les blondes, je vais me teindre en blonde tien, blond platine, il va adorer!
Elle sourit avant de reprend un air neutre.
Saby: Il va me trouver jolie, vraiment jolie, il aura pas à faire semblant comme les autres fois ou il me disait que je l’était.
Son idée est faites...une idée fausse sans contredit, mais pour elle tout est vrai. Quelque chose c’est déclenché dans son cerveau, malheureusement pas la bonne chose.


Amélie: Tu n’est pas aller à l’école depuis trois jours, ça suffit!
Saby: Ouais, ouais j’y vais ce matin.
Amélie: Bien! Mange ton petit-déjeuner.
Saby: Pas faim.
Amélie: C’est très mauvais de sauter le petit-déjeuner.
Saby: Je te dis que j’ai pas faim.
Amélie: tu n’avais pas faim hier soir et hier matin non plus.
Saby: J’ai mangé hier soir.
Amélie: Mouais...emmène toi une petite collation pour dans la classe, si tu as faim et n’oublie pas ton lunch.
Saby: Non, non.
Le jeune femme prend son lunch sur le comptoir et la pomme que sa mère lui tend avant de prendre son sac et de partir pour l’école. Une fois là elle jette le tout dans une poubelle et se dirige vers son premier cours.
Les jours passent...
Hugo: Tu es tout pâle mon ange tu te sens bien?
Saby: Oui, ne t’inquiète pas, juste mal dormi.
Hugo: Tu as manger?
Saby: Oui, oui!
Hugo: Je trouve que tu as beaucoup maigri en deux semaines...
Saby: Je fais plus de sport c’est tout!
Higo: Ne te braque pas comme ça, on dirait que je te t’ai attaquer.
Saby: C’est bon là! L’interrogatoire est fini? Je peux aller à l’école?
Hugo: Euh...oui bonne journée mon ange.
Saby: Salut!
Ses parents sont de plus en plus inquiet, elle n’a pas reparler aux twins depuis deux semaines. Ils la voient à peine manger et elle maigri à vue d’œil. Elle devient nerveuse et colérique, elle a toujours eu un côté un peu rebelle, mais là...
Ce soir là la jeune femme se retrouve seul, ses parents étant parti pour un souper en amoureux, pour leur anniversaire de mariage. Elle en profite donc pour sortir quelques trucs...décolorant, teinture...
Elle commence à appliquer le décolorant, se félicitant de ne jamais avoir teint ses cheveux, ils seront plus facile à pâlir, après deux décolorant elle obtient la couleur désiré, puis elle applique une teinture blond platine. Elle sèche et coiffe ses cheveux avant de se regarder dans le miroir.
Saby: Pas mal du tout...bon au dodo maintenant.
Le lendemain matin.
Amélie et Hugo: OH MON DIEU!!!!!!!!!!!!!!!!!
Saby: C’est joli hen!
Amélie: C’est....je...oh ma chérie je....
Hugo: Tu veux savoir la vérité...
Saby: Ben oui...
Hugo: Tu étais mieux au naturel...
Saby: Ben il est trop tard!!!!!!!!!!! C’est fait c’est tout!
Amélie: On ne te dit pas que c’est pas correct chérie, on te dit juste que tu as une beauté naturelle, tu n’as pas besoin de ça pour être belle.
Saby: N’importe quoi! Je suis affreuse! Au moins les blonde sont jolie!
Hugo: Quoi? Mais tu es magnifique en brune. Tu as été élue la plus jolie fille du lycée l’an dernier tu te souviens?
Saby: Ben c’était l’an dernier!
Amélie: Calme toi ma chérie, vient manger avec nous.
Saby: Pas faim!
Amélie: Mais ça fait deux semaines que tu ne mange pas le matin.
Saby: Je te dit que j’ai pas faim.
Plus elle parle, plus elle se sent faible, son teint pâlit à vue d’oeil, mais elle tourne les talons et part pour le lycée. Elle fait de même pendant les jours suivants, évitant ses parents et les repas. Les examens approchent et elle passe tout son temps dans sa chambre, ses parents sont de plus en plus inquiet. Puis le dernier jour des classes le téléphone sonnent, Hugo va répondre, c’est l’école, elle a eu un malaise pendant un examen, il faut venir la chercher. Les deux parents inquiet se précipite à l’école et trouve leur fille coucher sur un lit à l’infirmerie, le teint blanc et se débâtant avec l’infirmière qui lui tend une bouché de pouding.
Saby: J’en veux pas! Je vais bien!
Le directeur est présent et il va parler au parents.
Directeur: Je craint que votre fille souffre de trouble alimentaire...

Saby doit souffrir beaucoup,
Je me demande quelle sera la réaction des garçons....
Bill se sentira-t-il coupable????
Quelles explications donnera-t-elle????

Voici bien des questions auquelles toi seule à la réponse,
donc suite ma belle, stp

Je suis trop heureuse de voir que tu n'abandonne pas tes fics.
Merci douce saby.

c'est bien triste tout
comme elle doit souffrir la pauvre
ca fait mal

j espére qu'elle va aller mieu

suite ma belle

Vivement la suite , sa fait vraiment au coeur de la pauvre comme ça

Après cette nouvelle bouleversante Hugo et Amélie se sont consultés et Saby est aller passé quelques jours à l’hôpital, elle doit également suivre une thérapie, elle doit aller voir un psychologue deux fois semaines. Après avoir été forcé de manger et avoir reçu de nombreuses doses de vitamines elle peut retourner à la maison sous haute surveillance de ses parents. D’ailleurs ceux-ci n’ont rien dit, ils l’ont juste aider, bien qu’ils aimeraiet comprendre ce qui lui ai arriver, ils ne peuvent que la soutenir moralement. Ils l’obligent à rester au lit et la surveille lorsqu’elle mange ses trois repas par jour et sa collation de l’après-midi. Elle déteste ça, elle se sent comme un animal de foire, comme un lion en cage. Être sous surveillance constante ne l’enchante vraiment pas et elle déteste l’idée d’être en train de rengraisser à vue d’œil. Elle pleure tout les soirs, recroquevillé dans son lit, elle est perdu, elle ne se reconnait plus et peu à peu elle s’enfonce dans sa douleur. Ce n’est plus que les twins, ce n’est plus Bill, c’est elle, c’est son esprit, sa tête qui lui joue des tours. Elle se regarde dans le miroir et ne vois que de la laideur, sa vision d’elle-même est déformé et chaque fois qu’elle en parle ça lui fait un peu plus mal. Ce soir là, après que sa mère soit partie avec son plateau de nourriture vide elle s’est levé et est aller dans la salle de bain, elle a fixé un moment les lames du rasoir de son père. Non, elle ne veut pas mourir, elle en a juste marre de souffrir à l’intérieur alors peut-être que si elle a mal au dehors cela lui fera moins mal. Elle prend la lame, prête à s’entailler la peau lorsque des coups se font entendre à la porte en bas, elle sursaute et replace la lame à sa place avant de s’élancer dans le couloir. Elle voit sa mère ouvrir la porte et à sa grande surprise une tête blonde apparait.
Saby: Simone!
Cette dernière lève la tête et l’aperçoit.
Simone: C’est justement toi que je venais voir jeune fille.
La concerné à un léger mouvement de recul en entendant le ton froid de celle qu’elle considère comme sa deuxième mère.
Amélie: Si tu as besoin de quoi que se soit viens me voir, je vous laisse discuter.
Simone: Merci ma chérie. Saby, viens donc au salon avec moi.
Saby: Euh d’accord.
Elle descend les escalier et suit Simone au salon, cette dernière s’assied sur le sofa, Saby prend place dans le fauteuil de son père.
Simone: Que se passe-t-il ma chérie? Tes parents ont refuser de me dire, ils disent que c’est à toi d’en parler...
Saby: Je...j’ai eus quelques problèmes.
Simone: Ça je m’en doute, mais dit moi la vérité....écoute sincèrement je suis venue aujourd’hui, oui parce que je t’adore, mais je suis surtout venu en tant que la mère de deux jeunes hommes qui s’inquiètes énormément pour toi.
Saby: Ça j’en doute...
Simone: Qu’en sais-tu! Comment peux-tu dire ça!!!! Est-ce toi qui est parlé à un Bill en pleure et à un Tom sur le bord de la crise de nerfs!!!! Mes fils t’aiment!!!! Ils t’adores tu es sans doute ce qu’ils ont de plus précieux mis à part moi et c’est très différent. Ils ont appeler tes parents, m’ont appeler, ils sont inquiets et tristes et je me dois en tant que mère de les consoler et de les rassurer et surtout de leur dire la vérité alors dis moi ce qui se passe, je n’en peux plus de les entendre comme ça au téléphone et de ne pouvoir rien faire. En plus si je peux t’aider toi en même temps alors se sera encore mieux, mais tu dois me dire la vérité. Ma chérie, tu sais que je te considère comme ma troisième enfant et que je t’aime beaucoup, mais tu dois comprendre que je reste la mère des jumeaux.
Saby: Je....je....j’ai....
Elle hésite. Que lui dire? La vérité au complet? Seulement une partie? Que faire?
Elle plonge son regard dans celui de Simone, elle voit tellement la ressemblance avec les twins, les même yeux chocolat, la même douceur. Elle décide alors qu’elle lui doit la vérité....toute la vérité, elle sait très bien que sa mère et son père sont juste là et l’écoute à côté, elle sent leur présence.
Saby: Très bien....alors je cois que je te dois la vérité...je vous la dois tous...
Sa mère entre alors avec un regard gêné comprenant que sa fille à remarquer sa présence, Hugo la suit de près, ils rejoignent Simone sur le sofa et Saby commence son histoire. Elle commence depuis le tout début lorsu’elle est tombé amoureuse de Bill, en passant par le baiser d’au revoir et enfin la découverte de sa petite amie. Elle leur raconte ce qu’elle ressent, sa maladie qui n’a même plus rapport avec tout ça, les larmes coulent sur ses joues et sur celles de ses auditeurs. Après son récit Simone va la prendre tendrement dans ses bras et posent un baiser sur son front.
Simone: Je...je suis désolé que tu es souffert comme ça, mais...tu comprendras que je me dois...enfin...mes fils....
Saby: Je sais.
Simone dit au revoir à tout le monde et quitte la maison, Saby se tourne vers ses parents qui la regarde en silence.
Amélie: Pourquoi tu....
Hugo: Si elle ne se sentait pas prête à en parler c’était son choix, ça ne sert à rien de lui faire la moral ma chérie.
Amélie: Mais nous sommes ses parents!!!! Elle aurait du nous en parler!!!
Hugo: Ça suffit, si elle ne voulait pas elle avait le droit, c’est sa vie, tout ce que tu as à faire c’est la soutenir, tu es sa mère alors agit en tant que tel!
Amélie: Je....désolé ma chérie, mais tu comprend tu m’as tant inquiéter j’aurais tant aimer que tu nous fasses confiance.
Saby: Ce n’est pas ça maman....
Amélie: Je comprend....tu devrais monter te reposer, tu dois te reposer tu le sais.
Saby: Oui.
La jeune fille se lève, ses deux parents la serre contre eux en y mettant le plus d’amour possible, elle est soulagé d’un poids et surtout heureuse de ressentir tant de soutient. Elle monte à l’étage et pour la première fois depuis 12 jours elle s’endort sans pleurer.


Les jours passent, son moral s’améliore, elle se s’aime toujours pas et se force à manger, mais elle retrouve peu à peu de la force et l’envie de se battre. Elle n’a plus tenté de ce mutilé, ses parents veillent toujours sur elle, mais lui accorde de plus en plus de confiance. Plusieurs de ses amis de l’école l’ont appeler pour prendre des nouvelles, elle les rassures, mais refuse toujours de sortir, de toute façon ses parents refuseraient. Presque trois semaine après son malaise elle a repris un peu de poids, mais elle n’a pas encore repris toute ses courbes et son visage est toujours amincie, ses cheveux autrefois brun et soyeux tombent tristement de chaque côté de son visage. Un soir pendant le souper son père la regarde un moment avant de prendre la parole.
Hugo: Mon ange.
Elle lève les yeux vers lui et pose sa fourchette, elle a repris l’habitude de manger à la table avec eux.
Saby: Oui?
Hugo: Que dirais-tu de reteindre tes cheveux en brun hum?
Saby: Oh eh bien..peut-être, je ne sais pas.
Hugo: Pense-y, je suis prêt à payer pour un bon salon de coiffure si tu veux.
Saby: D’accord je vais y penser, merci.
Après le repas, ils écoutent un film en famille et elle va se mettre au lit, elle s’endort rapidement. Un moment plus tard elle sent son lit s’affaisser, sans doute son père qui a pris l’habitude de venir voir si elle dort bien, elle se rendort tout de suite.
Une douce main caresse ses cheveux, elle se tourne et se blottit contre le corps chaud à côté d’elle. Elle soupir d’aise alors que la personne, mi-assise mi-couché continue de lui caresser les cheveux et l’épaule. Elle papillonne des yeux et tente de voir de qui il s’agit. Elle remarque seulement après quelques instant que ce corps est trop grand pour être sa mère et trop mince pour être son père, elle a un mouvement de recule.
Saby: Quoi!! Toi!!!

pauvre saby sa souffrance est trop intense
il me semble que je sais bien qui est avec elle...

C'est terrible de ressentir ce mal être,
Ce que Saby a pu ressentir a un tres
lèger gout d'aperçu pour moi et ce ne sont pas
les meilleurs moments d'une vie.

Qui la tien dans ses bras...........?

suite ma belle, stp

je parie que c'est Bill qui la tient dans ses bras...

comment il est revenu je sais pas mais c'est Bill
la pauvre Saby

suite stp Saby

Oliger c'est bill
j'en suis sur

suite

pourquoi c'est toujours si triste

La jeune fille se redresse d’un coup sec, repoussant la personne près d’elle.
Saby: Putain, qu’est-ce tu fais ici Tom Kaulitz!!!!
Tom: Calme toi princesse, ma mère m’a dit et...bon sang je me suis tellement inquiéter, je suis désolé de te prendre au dépourvu comme ça, je voulais tellement te voir. Tu...mon dieu princesse.
Il jette un regard triste sur la jeune fille, il semblait accablé, ses yeux passe du corps, visage de sa princesse, les yeux brillants de peine.
Tom: Est-ce que tu vas mieux? Tu...tes cheveux...oh je....ma pauvre.
Il tend la main vers la jeune femme qui se recul un peu, lui jetant un regard de reproche.
Saby: Comment oses-tu venir ici me dire que tu t’es inquiéter après m’avoir trahi.
Tom: Je t’ai caché la vérité, mais c’était pour ton bien, comprend moi, je ne voulais pas que tu l’apprenne comme ça. J’espérais même qu’il...enfin qu’il l’aurait laisser tomber avant qu’on te revois....je l’aime pas cette fille et je lui en ai tellement voulu de t’avoir fait ça, je lui en veux encore. Il connaissait tes sentiments et malgré ça....moi à sa place....enfin....je veux dire....
Saby: Tom? Tu...tu pleures?
Tom: Quoi? Non! Non!
Il essuie ses yeux d’un geste rapide avant de relever la tête qu’il avait baisser le temps de son petit discours.
Tom: Je...ça va....mais toi?
Saby: Moi....moi ça fait longtemps que je n’ai vais plus bien.
Tom: Viens là.
Il lui ouvre ses bras et, après un moment d’hésitation, elle s’avance pour s’y blottir, bien caler contre le torse large du tressé, son visage dans son cou.
Tom: Je suis tellement désolé que tu vives tout ça, à cause de mon frère en plus. Je le déteste de te faire ça. Comment est-ce qu’on peut te faire du mal à toi? Comment on peut...ne pas t’aimer?
La jeune femme se crispe alors que celui qu’elle a toujours considéré comme son frère resserre son emprise sur elle et pose un baiser sur sa tête.
Tom: Je veux juste que tu sois heureuse et cet idiot qui me serre de frère est trop aveugle pour...pour voir qui tu es et pour réaliser qu’il est amoureux de toi.
Saby ne dit rien, trop choqué de ce qu’elle vient de comprendre. Elle se redresse et plonge son regard dans celui de son Tom adoré.
Saby: Pourquoi tu ne me l’as jamais dit?
Tom: De quoi? ...Oh...je...ce n’est pas important, ne tiens pas compte de ça ok, je veux juste ton bonheur et je sais que tu seras heureuse seulement le jour ou mon frère t’aimera en retour et n’aura pas peur de le montrer.
Saby: Mais tu...tu m’as écouter, supporter, tu...
Ton: Chut.
Il caresse ses cheveux et lui sourit tendrement avant de s’avancer doucement et de poser un très léger baiser sur ses lèvres, à peine un frôlement, simple geste de réconfort sans aucune arrière-pensée. C’est cependant à ce moment que la porte de la chambre s’ouvre sur un certain androgyne.
Bill: Oh....Tom? Tu....m’as devancé on dirait. Je pensais que tu étais encore chez maman....
Tom: Bill....
Ce dernier se tourne sans rien ajouter et descend les escaliers.
Tom: Merde!
Saby: Que quoi?
Tom: Il croit que nous...enfin...
Saby: Oh...
Elle n’a pas le temps de rien dire d’autre que Tom est déjà aux trousses de son frère. Elle se laisse tomber sur le lit en soupirant.
Saby: Voila, maintenant c’est bel et bien fini....y’a plus aucun espoir....de toute façon y en a-t-il déjà eu un? D’abord notre âge, puis elle et enfin ça....non je dois me faire une raison, jamais je ne pourrai être avec lui.
Pendant ce temps Tom se précipite dehors à la poursuite de son frère qui est déjà dans sa voiture.
Tom: Bill attend!
Il ouvre la portière du côté conducteur et se penche vers son frère qui fixe droit devant lui.
Tom: C’est pas ce que tu crois....


Après quelques minutes la jeune femme s’est mise à pleurer, elle sanglote doucement dans son oreiller, complètement désespérer, elle voudrais tant avoir le droit de l’aimer. Elle le veut tellement....lui....lui et son sourire, sa voix, sa peau, son corps, son rire, lui tout court. Les larmes coulent bien malgré elle, elle n’en peux plus de toujours pleurer pour les mêmes raisons, elle ne peux pas juste oublier et reprendre une vie normale, elle n’y arrive pas. Le lit s’affaisse près d’elle et elle cesse ses sanglots.
Saby: Tom? C’est fini, j’en peux plus j’abandonne, y’a aucun espoir.
Elle essuie ses yeux et des bras l’encerclent, essuyant délicatement les larmes sur ses joues.
Elle se tourne lentement pour se blottir contre lui, mais tout ses gestes sont bloquer lorsqu’elle reconnait la personne couché près d’elle. Il lui caresse de nouveau la joue et lui sourit tendrement.
Saby: Bi....Bill....
Bill: Shh je suis là, viens.
Il l’attire contre lui et caresse ses cheveux décolorés. Le cœur de la jeune femme s’emballe et elle respire à fond l’odeur douce et musqué de l’homme qu’elle aime.
Bill: Qu’est-ce qui t’as pris hen? Tu étais si belle...tu l’es encore, mais....je te préfère au naturel moi. Avec des rondeurs comme il faut et tes beaux cheveux brun.
Saby: Tu...tu me trouves vraiment jolie?
Elle lui parle sans le regarder, son visage dans le cou du brun.
Bill: Je te trouve magnifique voyons, n’en doute jamais. C’est...c’est à cause de moi que tu as fait ça? Tu....croyais que je te trouverais plus jolie?
Saby: Je...oui au départ c’était ça.
Bill: C’est ma faute, j’ai été bête, je n’aurais jamais du sortir avec elle et si ça peut te rassurer tu es milles fois plus belles qu’elle ne le sera jamais.
Saby: Vraiment?
Cette fois elle a levé la tête, l’androgyne ne peut s’empêcher de sourire devant ses grands yeux verts brillants d’espoir.
Bill: Absolument.
Saby: Je suis désolé Bill. Je suis tellement désolé.
Elle recommence à pleurer et il essuie immédiatement ses larmes.
Bill: Shhh, c’est fini, je suis là ma puce, je serai toujours là.
Alors qu’elle sanglote toujours, le visage noyé de larme, il avance lentement ses lèvres vers celle de sa puce....


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Perso je vais adorée écrire la suite

Tu as adoré écrire cette suite,
J'ai adoré la lire.

Je suis accro à la douceur de Tom,
enfin Bill se laisserait il aller à ses sentiments???

J'ai hate de savoir, suite douce Saby, stp

C'est normal que tom soit doux, je sais pas si c'etait assez clair a la façon que je l'ai ecris, mais il est amoureux d'elle, seulement il l'aime tellement qu'il la jette dans les bras de son frere pour qu'elle soit heureuse. Mais tkt il va avoir son bonheur aussi

J'ai hate de lire la suite.
J'avais bien pensé qu'il était amoureux.
Un amoureux comme Tom, aussi doux,
je prends tout de suite......

Merci Saby tu as le pouvoir de
me faire m'évader dans le rêve par tes écrits.

c'est trop bien écris ^^
j'adore toujous autant

suite

Elle recommence à pleuré et il essuie immédiatement ses larmes.
Bill: Shhh, c’est fini, je suis là ma puce, je serai toujours là.
Alors qu’elle sanglote toujours, le visage noyé de larme, il avance lentement ses lèvres vers celle de sa puce....
La jeune femme ouvre grands les yeux, tout son corps se tend, elle ne peut plus bouger un seul muscles, complètement ahurie. Elle retient son souffle alors qu’elle sent celui de l’homme qu’elle aime contre ses lèvres. Le brun sourit et souffle un peu sur la bouche crispée de la jeune femme.
Bill: Respire ma belle.
Elle prend une inspiration et leur lèvres se scellent. Bill appuie d’abord très délicatement, pour ne pas la brusquer, elle est si fragile, si douce et vulnérable, là dans ses bras. Le jeune homme sent les mains de sa puce agrippé son col et elle se détend lentement, il appuie un peu plus son baiser. Il remonte délicatement sa main pour aller enfouir ses doigts dans les cheveux décoloré de la plus jeune, il appuie ensuite doucement sur sa nuque. Elle gémit légèrement et entrouvre les lèvres, Bill y glisse doucement sa langue et elle fait de même timidement. Le baiser devient plus doux, plus profond, plus...langoureux...amoureux?
Après un moment, le brun se recule lentement avant de sourire à la jeune femme et de caresser l’une de ses joues. Elle à le souffle court, les yeux brillants, les joues rouge, les lèvres roses et mouillé, le plus vieux à le souffle coupé. Comment a-t-il pu ne pas voir à quel point elle est belle avant?
Bill: Tu es si belle...je peux pas croire que je ne le voyais pas....je suis tellement désolé de t’avoir ait souffrir comme ça, mais je te promet que je vais me rattraper. On va surmonter tout ça ensemble et tu iras mieux, tu vas reprendre du poids et redevenir toi-même, la belle et douce Saby. Ma petite puce à moi.
La jeune femme ne peut s’empêcher de verser une larme, elle en a tant rêver. Elle a attendu ce moment depuis ses quinze ans.
Saby: Oh Bill....
Bill: Shhh, ne t’inquiètes pas, viens là.
Il la serre contre lui et elle enfoui son visage dans son cou, collant son nez contre la peau douce, humant le doux parfum dont elle est déjà accro. Elle ferme les yeux et se laisse bercer doucement, un petit fredonnement empli l’air et elle soupire d’aise. Elle finit par s’endormir, bien au chaud, calé dans les bras protecteur de son Bill.

Des coups léger se font entendre à la porte de la chambre et Bill souffle un  petit « entré ». Amélie passe la tête dans la chambre avec un air curieux.
Amélie: Oh...je vous dérange?
Bill: Non, elle s’est endormie...
Amélie: Elle est épuisé la pauvre, elle ne dort pas beaucoup.
Bill: Je sais...mais là ça devrait aller mieux.
Amélie: Je l’espère....enfin le repas est prêt...tu peux descendre quand tu veux.
Bill: Je vais attendre qu’elle se réveille.
Amélie: D’accord.
La mère tourne les talons et s’apprête à sortir de la chambre, mais elle se retourne juste avant de franchir le seuil.
Amélie: Tu sais Bill...je ne peux pas dire que j’approuve tout ça à 100%, c’est ma petite fille après tout, mais....prend soin d’elle d’accord, elle est si fragile.
Bill: Je le promet, jamais je ne lui ferai de mal, tu peux compter sur moi.
Amélie: ... Je sais.
Elle sort de la pièce avec un petit pincement au cœur, sa petite fille est devenu une femme sans même qu’elle n’est le temps de s’en rendre compte.

Saby finit par se réveiller presque deux heures plus tard, elle gigote un peu et des lèvres se pose sur son front, elle sourit avant d’ouvrir les yeux.
Saby: Je croyais que c’était un rêve....
Bill: Non, je suis bien là et je le serai toujours.
Il pose un léger baiser sur ses lèvres et lui sourit tendrement.
Un grondement sourd vient casser leur petit moment de douceur.
Bill: Tu as faim on dirait.
Saby: Désolé...je n’ai pas beaucoup manger ces temps-ci....
Bill: Vient on va aller manger, moi aussi j’ai faim.
Il sortent de la chambre main dans la main.
Saby: Et Tom? Ou est-il?
Bill: Sans doute chez notre mère.
Ils se rendent à la cuisine et sont surpris de n’y trouver personnes.
Bill: C’est drôle, ta mère ne m’a pas dit qu’ils partaient et je n’ai rien entendu.
Saby: Bizarre..
Un autre grondement retentit alors et ils se regardèrent en rigolant.
Bill: Bon je crois qu’il faut que tu manges.

Plus tard ce jour là.

Saby: T’es sur?
Bill: Tu as devant toi un pro, je te dit, c’est la bonne couleur, laisse moi faire.
Saby: Bon d’accord.
Il lui applique alors une teinture brune, qui ressemble vraiment beaucoup à la couleur naturelle de sa puce. Il fait bien attention de bien l’appliquer et de ne pas lui faire mal en lui tirant les cheveux. Elle profite des douces caresses des mains du brun et ferme les yeux.
Bill: Et voila, reste plus qu’à attendre!
Ils attendent trente minutes en regardant la télé, collé l’un contre l’autre, en faisant attention de ne pas mettre de teinture partout. Puis Bill lui rince délicatement les cheveux de sa belle avant qu’elle ne les sèche et les coiffe correctement. Elle se regarde dans le miroir pour voir le résultats et vois le sourire tendre de Bill derrière elle.
Bill: je te préfère comme ça moi.
Saby: J’aurais jamais pensé dire ça, mais moi aussi.
Il l’enlace alors et pose un baiser sur sa tempe, ils se regardent à travers le miroir.
Bill: On est beaux non?
Saby: Oui...
Bill: L’avoir compris avant...
Saby: Bill arrête de t’en vouloir ok. Je t’en veux pas pour ce qui m’est arriver.
Bill: N’empêche si j’avais été moins aveugle, j’aurais pus être là pour toi et ça ne serait surement pas arriver.
Saby: Ou alors se serait arriver quand même, l’anorexie est une maladie tu sais, je l’avais en moi et je l’aurai toujours en moi d’une certaine façon.
Bill: Je ferai tout pour ne pas que tu retombe...
Saby: Je sais.
... Nous sommes là!!!! Ou êtes-vous?
Ils sourient et rejoignent tout le monde en bas, Tom est là aussi.
Tom: Oh!

comme bill est adorable
il a enfin découvert la beauté de sa chérie

oh tom est choqué par la nouvelle coiffure de saby ??

Désormais, Saby ira beaucoup mieux,
Bill sera présent pour l'aider à reprendre gout à la vie.
Et Tom, comment arrivera-t-il a vivre avec son
amour secret tout en étant heureux pour eux???

suite ma belle, stp

comme c'est trognon tout ca
il était enfin temps

suite ma belle
jtd

Tom: Oh!
Saby: Quoi?
Tom: T’es brune!!!!! Beaucoup plus jolie comme ça!!!
Amélie: Je suis d’accord!
Hugo: Je retrouve mon petit ange!!
Saby: Ça va n’en rajoutez pas trop.
Bill: Mais ils ont raison, tu es mieux comme ça.
Saby: Je vais devoir entretenir la couleur cependant.
Bill: Pas grave, je t’aiderai.
Saby: Mais non, je dois finir l’école et puis vous êtes loin et...
Elle réalise en le disant qu’elle a vraiment très peur, peur de les revoir partir encore une fois.
Bill: Il te reste quoi? Deux examens à faire?
Saby: Trois...je les ai manqués à cause de la maladie et il me laisse les reprendre maintenant que ça va mieux.
Bill: Bon très bien alors! Tu voulais venir avec nous non?
Saby: Je...euh...oui...oui....
Tom: Tu as lu dans mes pensées.
Amélie: Attendez là on a notre mots à dire nous!
Hugo: Tu sais bien que c’est ce qu’elle veut depuis longtemps.
Amélie: Non. Non, non. Pas tant qu’elle est mineure! Déjà que si quelqu’un apprend pour elle et Bill...je ne peux pas la laisser partir comme ça.
Saby: Mais maman! Je vais avoir 18 ans dans à peine quelques mois.
Amélie: Tu ne les a pas encore...écoute...je t’aime et je veux ton bonheur...mais comprend moi...
Saby: Mais je vais les avoir juste après l’été! Quelques semaines de plus ou de moins ici...
Amélie: Tu te fous peut-être de ce que je moi je ressent, mais il est hors de question que je laisse mon bébé partir!!!!!!
La mère en colère monte à l’étage et tous peuvent entendre la porte de la chambre claqué.
Hugo: Je vais lui parler, tout va bien aller, tu sais c’est dure pour elle de te voir grandir et elle s’inquiète.
Saby: Je comprend, mais...
Hugo: Je vais lui faire changer d’avis ok, moi je suis d’accord.
Saby: Merci papa.
Elle pose un bisou sur la joue de son père et celui-ci va rejoindre sa femme. Les jumeaux regarde Saby avec un air troublé.
Bill: Je suis désolé...je voulais pas causé de soucis...
Saby: T’inquiètes pas, elle va changer d’avis, elle a toujours eu plus de mal que mon père de me voir grandir....
Tom: Un peu comme un que je connais.
Bill: Hey!!!!!
Bill eu un air triste et Tom posa sa main sur l’épaule de son frère.
Tom: Désolé, je plaisante, tu sais bien.
Bill: N’empêche....
Saby se rapprocha de lui et il l’enlaça, collant son visage dans le cou de la jeune fille.
Bill: Je peux pas m’empêcher de m’en vouloir, je t’ai rendu malheureuse.
Tom: Aller Billou t’en veux pas, mieux vaut tard que jamais non?
Saby: Oui.
Saby et Tom se font un petit sourire, celui de Tom semble légèrement triste, mais cela ne dure qu’une seconde. Bill serra soudainement Saby plus fort et un petit hoquet sortit de sa gorge.
Saby: Bill, tu pleures?
Bill: non...je...pas encore...
Tom: Écoutez...je vais vous laisser, je crois que vous en avez besoin.
Saby: Je d’accord. On va aller dans ma chambre ok.
Bill: Oui...
Sa voix de faisait rauques, il semblait sur le point de craquer, les yeux de la jeune femme s’emplirent d’eau.
Tom: À plus tard.
Tom posa sa main sur l’épaule de son frère quelques secondes avant de sourire à Saby.
Saby: On monte.
Bill se décolla un peu et fit un sourire triste à sa puce qui prit sa main et ils montèrent à l’étage. Ils prirent place sur le lit, Bill s’adossa au mur, à demi assis alors que la brunette se coucha près de lui, posant sa tête sur son torse. Il l’enlace doucement et elle enroule ses bras autour de lui. Il posa sa tête sur la sienne et son corps se tendit, il eu un hoquet et elle sut qu’il pleurait. Elle sentait sa respiration rapide, les soubresauts de son torse, elle commença à pleuré avec lui. Ils restèrent enlacer ainsi à pleuré ensemble, lui par culpabilité, elle par soulagement. Enfin, enfin, elle était dans ses bras, il la serrait, il la tenait, mais....l’aimait-il....un doute subsistait dans son esprit. Peut-être avait-il eu pitié, ou peut-être était-ce uniquement par culpabilité. Elle espérait malgré tout qu’il puisse l’aimer, l’aimer sincèrement, être amoureux d’elle. Leurs pleures ce calmèrent peu à peu, elle continua de pleurer en silence alors qu’il la serrait contre elle, son regard fixant le vide. Il passa ses doigts dans les cheveux de la jeune femme et sourit en les sentant bien plus doux que la veille.
Bill: Ça va ma puce?
Elle hocha juste la tête, son nez collé contre le torse chaud du brun, le tenant solidement, le souffle court.
Bill: Calme toi ma puce. Je suis là....maintenant je serai toujours là.
Saby: Je sais...
Bill: Qu’est-ce qui te tracasse? Ta mère?
Saby: Non...rien ne me tracasse.
Le jeune homme la repoussa délicatement et plongea son regard chocolat dans celui, émeraude, de la brunette.
Bill: Tu peux pas me mentir, je vois bien qu’il y a quelque chose....tu m’en veux c’est ça.
Saby: Mon dieu non! Bill je ne t’en veux et je t’en voudrai jamais pour tout ça, tu le sais bien...
Bill: Alors quoi? Tu ne veux pas venir avec moi?
Saby: Bien sur que je veux venir, rien ne me rendrais plus heureuse.
Bill: Alors pourquoi cette tristesse dans ton regard? Ma puce dis moi?
Saby: Je...je suis ta puce comment?
Bill: Que veux-tu dire?
Saby: Je suis ta puce comme avant ou...
Bill ne put s’empêcher de sourire devant ses joues rosit, elle lui demandait à sa façon s’il était un couple ou non.
Bill: Tu es ma petite puce, ce surnom peut prendre plusieurs sens tu sais.
Saby: Bill...ne joue pas avec moi tu sais très bien ce que je veux dire...moi je....je...je t’aime, je veux être plus que la puce de six ans dont tu te souviens...je veux...je veux que tu....
Bill: Je t’aime ma puce.
Elle eu le souffle coupé et sa bouche s’entrouvrit légèrement. Elle le regarda, tant de tendresse dans son regard, tant de choses qu’elle n’avait jamais vu, jamais connu.
Bill: C’est ça que tu veux savoir? Oui, je t’aime, je serais pas comme ça avec toi sinon, je l’ai juste réalisé trop tard, mais...je crois que je t’aime depuis cette fois ou tu m’as embrassé...
Elle ne dit rien, mais se jeta presque sur les lèvres pleine de l’androgyne, ils restèrent à s’embrasser et se câliner un long moment.

trop cool ils se sont avoués leur amour réciproquement
c'est vraiment très mignon

oh.... La maman a du mall à voir grandir sa fille,
Heureusement, papa est là....
Que d'émotion entre Bill et saby,
Ils s'aiment et c'est encore mieux de se l'avouer...

Suite douce Saby, stp